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Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!

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cine-world

Description :

Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD

Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.

Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance






Surfez bien! ;)

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Un documentaire magnifique, humain et envoûtant!

Un...deux...trois dansez
de Marilyn Agrelo

Genre : Documentaire
Durée : 1h45
Sortie cinéma française : 15 mars 2006
Nationalité : Film américain
Tous publics

New York. Les écoles publiques de Manhattan, de Brooklyn et du Queens sont en effervescence tandis que s'organise le concours annuel de danses de salon pour les élèves de CM1 et CM2. Filmé à travers le prisme de leur regard, ce concours permet à ces enfants issus de l'immigration et du tissu urbain de se métamorphoser, le temps de quelques pas de danse, en de véritables ladies et gentlemen.

Inévitablement devenu un phénomène de mode, notamment à la suite de succès internationaux comme Etre et avoir, La marche de l'empereur ou La planète bleue, le documentaire à portée cinématographique connaît actuellement un essor considérable.
D'abord immiscé dans les salles obscures, de manière plus ambitieuse, par le cinéma français qui est parvenu à atteindre un large publique avec des oeuvres telles que Microcosmos (1996) ou Le peuple migrateur (2001), le documentaire embrasse, aujourd'hui, un succès mondial incroyable qui a d'ailleurs permis à ce genre de passer admirablement du petit au grand écran, mais surtout à être considéré comme un cinéma populaire et plus uniquement élitiste. Ceci se remarque par la multiplication de ce type de films, dont on peut facilement énumérer d'innombrables oeuvres telles que Le dernier trappeur, Genesis, Le Cauchemar de Darwin ou La Planète blanche.
De ce fait, alléché par la perspective de faire de nouveaux bénéfices et de conquérir un public plus vaste, les producteurs hollywoodiens se sont empressés de trouver des cinéastes indépendants pour distribuer leurs films, ce qui a notamment donné naissance à La planète bleue ou à Super Size Me. Notons, cependant, que le cinéaste très engagé Michael Moore a connu un certain succès bien avant ce soudain développement outre atlantique de documentaires et que les producteurs ne sont pas encore tous à ses pieds sachant les oeuvres controversées qu'il signe. En effet, malgré le succès phénoménal qu'a obtenu le documentaire Farenheit 9/11 (près de 120 millions de dollars de recettes aux USA, tout de même), la société Walt Disney a décidé, en 2005, de se séparer de sa filiale Miramax pour avoir distribué ce dernier.

Dans un tout autre registre, le documentaire américain Un...deux...trois dansez ne s'intéresse pas à la vie politique, ni même à la faune ou à la flore d'ailleurs, mais se concentre, en revanche, sur la vie scolaire des quartiers défavorisés de New York. Rappellant inéluctablement sur la forme, le documentaire français Etre et avoir, de Nicolas Philibert, Un...deux...trois dansez relate, en effet, une partie du quotidien d'élèves du CM1/CM2 issus de différentes écoles primaires. Mais la comparaison à celui-ci s'arrête aux locaux scolaires, puisque le spectateur se retrouve plongé, en plein décors urbains, et plus précisément au sein des écoles élémentaires installées dans les quartiers pauvres et les plus désavantages de l'immensité new-yorkaise, qui regroupe autant de populations que d'ethnies différentes. sans jamais chavirer dans une vision éculée de ces quartiers en difficulté qui sont réputés pour baigner dans la misère et la violence, et en évitant les description imbibées de clichés et de stéréotypes, la cinéaste Marilyn Agrelo propose une observation subtile et touchante de la vie des enfants qui y résident, dont certains d'entres eux, trouvent en la danse, une échappatoire aux problèmes économiques, familiaux et sociaux qui sont présents à la maison et qui ont ainsi immanquablement des répercutions dans le comportement et la vie sociale des enfants. Perçue par les enfants et démontrée par l'école comme un outil d'ouverture culturelle, de communication, de socialisation et d'enrichissement des liens entre les individus, le programme de danse gratuite instauré dans les établissements scolaires permet aux enfants, avant tout, de s'amuser, de grandir, mais également de se surpasser, de se sentir capable d'agir et surtout d'éviter le sentiment d'inutilité qui reflète, bien souvent, la situation familiale désastreuse d'un enfant. Magnifiquement narrée, cette histoire véridique offre au spectateur une vision humaine et pleine de tendresse de l'enfance et transmet surtout une douce et agréable note d'espoir. Ce documentaire puise toute sa force dans une humilité remarquable, dans la beauté du message qui prône la danse et l'amusement de la jeunesse, de même que dans la personnalité complexe et attachante de tous les enfants qui étonnent littéralement par leur maturité et leur acharnement dans les tâches effectuées. Bien plus qu'un simple documentaire, Un...deux...trois dansez se dévoile comme une analyse touchante et pertinente de l'enfance à l'adolescence de la jeunesse vivant dans les quartiers difficiles. Avec une naïveté à l'image de l'enfance et avec une touche de poésie véhiculée par le lyrisme du récit, cette oeuvre se présente comme une grande leçon de vie et comme un hymne à l'enfance et à la jouissance des choses simples et élémentaires du quotidien. De plus, la réalisatrice octroie à son documentaire une réelle profondeur et une forte intensité émotionnelle, de sorte que le spectateur soit passionné et fasciné par le sujet toute la durée du film. Finalement, grâce à des rythmes bouillonnants et entraînants de tango, de swing ou de salsa et à la réalisation proche d'un document amateur qui assimile Un...deux...trois dansez à un souvenir chaleureux et irrésistible d'une grande année scolaire, le spectateur passe un moment envoûtant et merveilleux devant ce magnifique documentaire. Une chose est sûre, à la vision de Un...deux...trois dansez, on ne peut que pleinement approuver l'idée que le documentaire forme un partie intégrante du septième art.

Note film : 5/5

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#Posté le mardi 21 mars 2006 09:08

Modifié le mercredi 22 mars 2006 11:59

Un film d'animation novateur et audacieux!

Renaissance
de Christian Volckman

Genre : Animation, Science-fiction
Durée : 1h35
Sortie cinéma française : 15 mars 2006
Nationalité : Film français
Tous publics

2054. Dans un Paris labyrinthique où chaque fait et geste est contrôlé et filmé, Ilona Tasuiev, une jeune scientifique jalousée par tous pour sa beauté et son intelligence, est kidnappée. Avalon, l'entreprise qui emploie Ilona, fait pression sur Karas, un policier controversé, spécialisé dans les affaires d'enlèvement, pour retrouver au plus vite la disparue.
Karas sent rapidement une présence dans son sillage. Il n'est pas seul sur les traces d'Ilona et ses poursuivants semblent prêts à tout pour le devancer.
Retrouver Ilona devient vital : la jeune femme est l'enjeu d'une guerre occulte qui la dépasse. Elle est la clef d'un protocole mettant en cause le futur du genre humain. Le protocole Renaissance...


Entamée depuis la fin du siècle dernier, et plus précisément depuis la fin des années 1990, la course au numérique dans laquelle se sont lancés les grandes maisons de productions hollywoodiennes, en ce qui concerne le cinéma d'animation, s'est transformé en véritablement guerre visant à épater toujours plus le spectateurs avec des technologies de plus en plus performantes. Très largement dominé par les firmes DreamWorks SKG et Walt Disney Pictures - qui a trouvé en la société Pixar, un allié redoutable -, sachant que ces dernières représentent l'une comme pour l'autre, le principal rival, et qui sont en perpétuelle concurrence depuis bien des années, ce sont ces deux immenses groupes qui règnent sur la quasi totalité du "marché cinématographique" de l'animation, en étant que ponctuellement interrompu par diverses productions issues de la Fox - et plus particulièrement de BlueSky (L'âge de glace, Robots) - ou de la maison Warner Bros qui a notamment distribué Le pôle express.

De ce fait, très présentes dans la grille des programmes internationaux comme français, ces productions animées américaines ne laissent que peu de place aux réalisations étrangères (Sauf exception : On se rappelle du succès de Final Fantasy) ou nationales de ce type qui n'ont pas bénéficié d'un budget aussi conséquent. La France n'est d'ailleurs parvenue que timidement à faire son entrée dans le monde numérique de l'animation avec les échecs Pinocchio le robot ou Le Roman de Renart. Pourtant, il semblerait que le film d'animation Renaissance permette au cinéma français de faire une apparition remarquée et époustouflante et surtout que celui-ci marque la nouvelle ère du cinéma d'animation numérique. Bien que l'acharnement des producteurs américains à tenter de signer les dessins animés numériques les plus extraordinaires et les plus novateurs, se ressentent à chaque nouvelle sortie, se sont des concepteurs français qui ont accompli l'incroyable, celui de révolutionner le monde de l'animation. En effet, Renaissance se dévoile incontestablement comme une expérience cinématographique exceptionnelle tant elle se montre novatrice et audacieuse. Le film de Christian Volckman est visuellement époustouflant et bluffant, et le spectateur reste béat durant tout le film devant une image sublime qui utilise habilement une photographie en noir et blanc somptueuse. Avec des effets visuels et une mise en scène qui rappellent nettement Sin City, ou encore des effets de transparence déjà aperçus dans Final Fantasy, on n'attribue, bien évidemment, pas à Renaissance toute la révolution du genre. Pourtant, on sent tout le travail qu'a demandé ce film - tout de même cinq ans - et il est impossible de rester insensible à une vision aussi spectaculaire et aussi sublime d'un dessin animé novateur et inspiré. Si l'impression de se retrouver dans un jeu vidéo se fait parfois ressentir et rappelle l'ambiance installée dans Max Payne, le film est souvent bluffant en raison de son réalisme saisissant qui est rendu possible par des décors soignés et détaillés, mais surtout par la prestation des acteurs qui ont interprété leurs rôles avec des capteurs sur tout le corps pour rendre plus crédibles les personnages dessinés. Et le résultat est grandiose. Toutefois, outre le spectacle visuel magnifique et épatant qui mêle parfaitement les dessins traditionnels aux images de synthèse, quelques défauts viennent saboter la perfection visuelle comme le poids des éléments qui n'est pas toujours minutieusement retranscrit et qui laisse une désagréable impression de légèreté, mais qui passent surtout par le manque de fluidité des mouvements des personnages, de même que par une certaine rigidité au niveau des décors, des éléments, des personnes (...). Néanmoins, l'ambiance noire et oppressante du film qui se révèle comme un hommage au polars et aux films de science-fiction des années 1980, tels que Star Wars, Blade Runner ou Subway parvient, sans la moindre difficulté, à faire oublier les quelques lacunes et permet au spectateur de s'immerger pleinement dans l'univers sombre et futuriste de Renaissance. De plus, sans faire preuve d'une grande créativité mais en réservant de bonnes surprises, les scénaristes ont signé une histoire brillante et très bien ficelée, de manière à captiver le spectateur du début à la fin et à lui garantir un certain suspense. Renaissance est ainsi loin de se montrer novateur pour son scénario. Pourtant, avec ce dernier qui se révèle, à la fois, comme un thriller d'anticipation réfléchit et un policier d'action efficace, qui utilise des thème éculés du cinéma comme le kidnapping et la quête de l'immortalité, tout en parvenant à apporter une certaine originalité, l'oeuvre se distingue du déjà vu et évite admirablement les discours moralisateurs et surtout emprunts de manichéisme. Doté de nombreuses qualités, la réalisation de Christian Volckman se dévoile simplement remarquable, innovatrice et passionnante. On ne peut, cependant, que regretter que Renaissance manque cruellement d'émotion.

Note film : 4/5

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#Posté le lundi 20 mars 2006 08:58

Modifié le lundi 20 mars 2006 17:48

La Panthère Rose vue et interprétée par Steve Martin!

La Panthère Rose
de Shawn Levy

Genre : Comédie, Policier
Durée : 1h35
Sortie cinéma française : 8 mars 2006
Nationalité : Film américain
Tous publics

Un célèbre entraîneur de football est assassiné et une bague, ornée du fameux diamant La Panthère Rose, lui a été dérobée. Le gouvernement français a besoin d'un détective de génie pour résoudre le mystère mais personne n'est libre. L'inspecteur Jacques Clouseau arrive alors à la rescousse.
Une pop star, un joueur de foot, un assassin chinois... tous sont suspects mais qui est le coupable ? Clouseau et son acolyte Ponton vont devoir résoudre ce cas épineux et empêcher leur chef Dreyfus de récolter les lauriers de l'enquête.


Les aventures de l'inspecteur gaffeur Clouseau, qui naissaient sous la caméra du cinéaste Blake Edwards pour finalement se prolonger, toujours sous sa direction, sur une période de trente ans, font parti des grands moments de cinéma qui suscitent les plus grands fous rires notamment grâce à l'énergie et à la malice déployées par l'acteur britannique Peter Sellers, qui incarnait ce policier déjanté.
Quarante-trois ans après le premier épisode de cette saga amusante, les studios hollywoodiens - qui ne parviennent décidemment plus à trouver l'inspiration permettant d'innover un minimum le cinéma actuel, et se contentent, de ce fait, de resservir des thèmes éculés ou rémunérateurs - proposent La Panthere Rose, le dixième épisode de cette série cinématographique policière comique débutée en 1963.

Tout comme ce nouvel épisode des aventures de l'inspecteur Clouseau marque la réinsertion de ce dernier dans le cinéma des années 2000, c'est-à-dire d'un nouveau siècle, cette énième Panthere Rose diffère, en bien des points, des précédents films et a subi un lifting évident. Ces changements s'observent, tout d'abord, au niveau de l'équipe artistique puisque l'on remarque que pour la première fois, ce n'est plus Blake Edwards qui signe les aventures de ce flic "neuneu" et qu'il passe le relais à un très jeune cinéaste dénommé Shawn Levy, ce qui ne nous rassure que très peu lorsque l'on sait qu'il n'a réalisé que quelques comédies banales comme Just married no sex ou Treize à la douzaine. A partir du scénario simplet de Steve Martin, qui a certainement imposé à la production ce réalisateur, après leur fructueuse et lucrative collaboration suite au succès outre atlantique de Treize à la douzaine, le cinéaste signe, sans grande surprise, une comédie ordinaire qui semble bien loin d'atteindre la qualité des oeuvres de Blake Edwards. Non véritablement une suite, mais s'apparentant plutôt à un remake, La Panthère Rose, cru 2006 repose sur un scénario vide, excepté une énumération de gags sympathique qui provoquent quelques éclats de rires. Néanmoins, en plus d'un rythme inégal qui n'empêche pas au spectateur de s'ennuyer ferme par moment, l'humour devient parfois pesant parce qu'il se dévoile bien lourd et qu'il est de plus dénué d'originalité, sachant que les situations abracadabrantes ont déjà pu être vues ailleurs. On aurait d'ailleurs aimé voir un humour plus osé, plus décapant et plus décalé, à l'image des précédents films au lieu de ses gags édulcorés et sans relief, censés plaire, avant tout à un public composé d'enfants. Toutefois, reste que la bonne humeur accompagne pleinement le film et que quelques agréables surprises viennent pimenter le film tel que la parodie de James Bond, qui permet à Clive Owen (Closer, Dérapage) de faire une apparition irrésistible. L'autre principal changement du film est marquée la présence de Steve Martin (Le père de la mariée, Les Looney Tunes passent à l'action), qui reprend le rôle de Clouseau. La prestation déjantée et énergique de l'acteur dans la peau de cet inspecteur français est assez plaisante, mais très rapidement son interprétation surjouée et le fait qu'il en fasse des tonnes finit rapidement par lasser et agacer le spectateur. De même, Kevin Kline (Wild Wild West, La Maison sur l'océan) se montre assez horripilant dans son rôle de politicien arriviste. Mais il est véritablement navrant de constater à quel point la charismatique Emily Mortimer qui était émouvante dans Dear Frankie et magistrale dans Match point, est sous-employée dans le rôle ridicule et caricatural de son personnage de secrétaire, dont il est encore plus exaspérant d'entendre sa doublure française horrible et énervante. Heureusement, le calme et le ton serein de Jean Reno (Léon, L'Empire des loups) relève le niveau et nous soulage. D'autre part, malgré quelques très beaux décors parisiens et de jolies couleurs, La Panthère Rose s'apparente à un véritable supplice pour le public français, tant les clichés sur la France fusent et tant les habitants de ce pays (NOUS!!!) sont tournés en ridicule. De ce fait, outre sa maîtrise technique approximative, La Panthère Rose apparaît comme une comédie policière de plus qui se complait dans la débilité, baignée de stéréotypes et de clichés.

Note film : 2/5

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#Posté le vendredi 17 mars 2006 08:25

Modifié le dimanche 19 mars 2006 07:22

Votre film préféré avec Kevin Bacon!

Kevin Bacon (Né le 8 Juillet 1958)


L'acteur

Après une enfance passée à Philadelphie, Kevin Bacon s'installe à New-York pour y faire du théâtre. Il joue dans des pièces off-Broadway (notamment au côté de Sean Penn) et travaille pour la télévision. En 1978, il débute sur grand écran dans la comédie American College, sous la direction de John Landis.

En 1980, Kevin Bacon fait une rapide apparition dans le film d'horreur Vendredi 13 avant de figurer au générique du Diner de Barry Levinson. Bien que débutant sa carrière au côté de grands cinéastes, il doit attendre 1984 pour se faire véritablement révéler auprès du grand public, avec la comédie musicale Footloose d'Herbert Ross.

Après le succès de Footloose, Kevin Bacon devient un acteur de premier plan. Marié avec la comédienne Kyra Sedgwick, il touche à tous les genres et côtoye les plus grands réalisateurs. Le cinéma fantastique le tente régulièrement et convient à merveille à son physique inquétant et anguleux (Tremors et L' Experience interdite en 1990, Hypnose en 1999, L' Homme sans ombre en 2000). Mais il s'intéresse également à des rôles plus nuancés.

Gardien de prison sadique et violeur dans Sleepers, astronaute dans Apollo 13, flic trouble dans Sexcrimes, Kevin Bacon tente de jouer de tous les registres. Il aborde même le film politique (Des hommes d'honneur, un petit rôle dans JFK) ou la comédie familiale avec Mon chien Skip.

Audacieux dans ses choix cinématographiques, Kevin Bacon s'illustre dans le film d'action Mauvais piège où il campe un ravisseur (2002) avant d'opter pour deux thrillers : In the cut (2003) de Jane Campion et Mystic river (2002) de Clint Eastwood où il incarne un policier chargé de résoudre le meutre de la fille d'un de ses amis d'enfance interprété par Sean Penn.

La carrière de Kevin Bacon est avant tout ponctuée de rôles secondaires. En 2005, il partage l'affiche avec Colin Firth dans La Vérité nue. Les deux acteurs y interprètent deux célèbres humoristes impliqués dans le meurte d'une jeune femme.


Filmographie sélective

2006 - The Air I breathe de Jieho Lee
2005 - La Vérité Nue de Atom Egoyan
2004 - The Woodsman de Nicole Kassell
2004 - Beauty Shop de Bille Woodruff
2003 - Mystic River de Clint Eastwood
2003 - Mauvais Piege de Luis Mandoki et de Richard Sylbert
2003 - Novocaine de David Atkins
2000 - Hollow Man - L'homme Sans Ombre de Paul Verhoeven
2000 - Mon Chien Skip de Jay Russell
1999 - Hypnose de David Koepp
1998 - Trait Pour Trait de Glenn Gordon Caron
1997 - Sex Crimes de John Mcnaughton
1996 - Sleepers de Barry Levinson
1995 - Meurtre A Alcatraz de Marc Rocco
1995 - Apollo 13 de Ron Howard
1994 - Un Joueur à La Hauteur de Paul Michael Glaser
1994 - La Riviere Sauvage de Curtis Hanson
1992 - Des Hommes D'Honneur de Rob Reiner
1991 - JFK de Oliver Stone
1990 - Bienvenue Au Club de Steve Rash
1990 - L'Experience Interdite de Joel Schumacher
1989 - The Big Picture de Christopher Guest
1989 - Tremors de Ron Underwood
1988 - La Loi Criminelle de Martin Campbell
1987 - Un Ticket Pour Deux de John Hugues
1984 - Footloose de Herbert Ross
1983 - Diner de Barry Levinson
1982 - New York, 42e Rue de Paul Morrissey
1980 - Vendredi 13 de Sean S. Cunningham
1978 - American College de John Landis


Mon avis

Bien que l'on ai retrouvé majoritairement Kevin Bacon dans de nombreux seconds rôles, il s'est souvent montré épatant et talentueux dans la peau de ses personnages et notamment dans Sleepers où il se montre terrifiant, dans Sex crimes où il joue à la perfection la carte de la confusion ou encore dans Mystic river où son interprétation est on ne peut plus convaincante. Et lorsqu'on retrouve le comédien dans les rôles principaux de films, il nous prouve avec une force admirable à quel point il s'investit pleinement dans ses rôles. Que ce soit dans Hypnose où il crève littéralement l'écran en offrant au spectateur une prestation inspirée et horrifique où dans La Vérité nue où il allie émotion et mystère dans son jeu, Kevin Bacon se révèle assurément comme un grand acteur, bien trop sous estimé et trop souvent cloisonné aux seconds rôles diaboliques.
Bien que Mystic river m'avait bouleversé, c'est Sleepers qui demeure le film qui m'a le plus marqué de sa filmographie, notamment pour l'interprétation sadique de l'acteur.

Et vous, quel est votre film préféré avec Kevin Bacon?
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#Posté le vendredi 17 mars 2006 07:53

Modifié le vendredi 17 mars 2006 12:42

Du malheur au bonheur!

Du jour au lendemain
de Philippe Le Guay[g/]

Genre : Comédie
Durée : 1h33
Sortie cinéma française : 15 mars 2006
Nationalité : Film français
Tous publics

La vie est bien ingrate pour François Berthier : un chien hurle toute la nuit et l'empêche de dormir, la machine a café lui explose au visage, il pleut, le chef de bureau à la banque l'humilie et le menace de renvoi.
Et puis, du jour au lendemain, tout ce qui était violent ou pénible pour François se transforme comme par miracle.
Que se passe-t-il ? Pourquoi le monde devient-il si brusquement doux et enchanteur ? C'est l'énigme que va essayer de résoudre François.
Mais il ne suffit pas que les choses se passent bien, encore faut-il les accepter...


En septembre 2005, l'acteur belge Benoît Poelvoorde se retrouvait à l'affiche du film Entre ses mains, qui lui avait permis de rompre son image d'éternel clown restreint à des rôles de comiques loufoques et lourdingues.
Préférant néanmoins des rôles plus légers et s'amuser sur les plateaux, le comédien le plus déjanté du cinéma français profite de l'année 2006 pour revenir à la comédie. C'est ainsi au travers de la nouvelle comédie Du jour au lendemain, un film de Philippe Le Guay (Le Coût de la vie), que Benoît Poelvoorde s'est à nouveau illustré dans la peau de personnages censés susciter les éclats de rire.

Avec son indéniable intention de bousculer les idées préconçues et les clichés en tous genres sur le bonheur et le bien-être, comme il le fait fréquemment dans ses films, Philippe Le Guay signe une nouvelle comédie dotée d'un humour décapant, mais surtout d'une justesse incroyable. Ainsi, à la manière d'une fable drôle et sympathique, Du jour au lendemain promet au spectateur une singularité évidente qui repose, avant tout, sur un scénario à la fois original et particulièrement intelligent. Bien que l'impression de déjà vu se fasse indubitablement ressentir à la suite d'un déroulement qui semble convenu - à savoir des journées qui se répètent - et qui rappelle de nombreux films comme Un jour sans fin notamment, l'oeuvre se démarque amplement des films du genre. Ce n'est pas l'humour déjanté, quelques situations cocasses, ni même les répliques cinglantes qui confèrent à ce film, toute sa force et son ampleur, d'autant plus que certains gags s'essoufflent assez rapidement puisque l'on s'aperçoit qu'ils se montrent parfois très répétitifs. Ce qui se distingue de la vulgaire comédie, semble tout d'abord son ton décalé et loufoque, mais on retient surtout de ce film, une satire sociale brillamment menée qui dénonce, de manière cynique et caricaturale, la vie cloisonnée par des couches sociales et professionnelle, et le conformisme exacerbé qui règne sur chacun des individus de la société. De plus, avec humour et dérision, le cinéaste tente de dépeindre une société à la recherche perpétuelle du bonheur, du confort et du "mieux", alors que le bien-être est à portée de main. Sans aucun doute emprunt d'une certaine morale, Du jour au lendemain s'apparente à une jolie petite leçon de vie portée par des acteurs drôles et attachants. Sans en faire de trop et en maintenant sa prestation au niveau de la sobriété, Benoît Poelvoorde (Le Boulet, Entre ses mains) se dévoile épatant tant il parvient tantôt à faire sourire le spectateur, tantôt à le toucher avec délicatesse. Avec la même grâce que sa prestation aperçue dans Je ne suis pas là pour être aimé, Anne Consigny apporte la touche de tendresse et de charme au film. Bien que légèrement tirée par les cheveux et réalisée avec un certain classicisme, la comédie de Philippe Le Guay se révèle comme un divertissement drôle, intelligent et humain.

Note film : 3/5
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#Posté le jeudi 16 mars 2006 11:30

Modifié le lundi 20 mars 2006 14:12

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