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Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!

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Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD

Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.

Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance






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La folle histoire de l'espace!

H2G2 : le guide du voyageur galactique
de Garth Jennings

Cet été, la terre aura été très convoitée par les extraterrestres! Ainsi, après avoir subit une invasion apocalyptique dans La guerre des mondes de Steven Spielberg, sorti en juin dernier, les extraterrestres se remanifestent et cette fois-ci décident simplement de détruire ce que l'on appelle la planète bleue, dans la comédie de science-fiction H2G2 : le guide du voyageur galactique, produite par les studios Touchstone Pictures et Spyglass Entertainment et insiprée du roman de Douglas Adams, célèbre mondialement, excepté en France.

H2G2 : le guide du voyageur galactique apparaît, tout d'abord, comme une oeuvre véritablement originale, marginale et bien loin de ce que nous offre les studios hollywoodiens d'ordinaire. Cette originalité semble d'ailleurs le principal intérêt du film, d'autant plus que ce dernier innove véritablement dans le genre de la science-fiction et nous propose une oeuvre totalement décalée et loufoque.
Bien loin de tous les films de science-fiction habituels, H2G2 nous propose donc une vision inédite de l'univers, sans pourtant oublier les clins d'oeil à des films du genre tels que Star Wars, Dune ou Star Trek.

H2G2 réussi, en effet, à se présenter comme un film de science-fiction vraiment très original autant par son scénario que dans sa narration. Le film plonge ainsi le spectateur dans une histoire complètement déjantée, loufoque et rédigée avec énormément de créativité et d'inventivité. Le spectateur ne cesse d'être surpris par les éléments, les personnages et les situations les plus fous et les plus folles tirée d'une imagination débordante qui semble puiser son inspiration de films cultes, mais se plaît à les tourner en dérision et à les parodier.

Cette imagination qui n'a pas de limite et particulièrement originale, convient bien à l'idée que l'univers est immensément grand et que notre esprit ne peut définir ce qu'il en est véritablement, sa grandeur, ses surprises ou simplement ses formes de vie. Il est donc très intéressant de voir une telle imagination créer toute sorte de choses aussi exubérantes que curieuses puisque après tout comment pourrait-on imaginer quoique se soit avec un esprit si septique et si fermer que celui de l'humain.
Mais malheureusement, l'esprit bien loufoque et son ambiance si particulière font chavirer le film dans l'étrange et prend l'apparence d'un film bizarre que l'on ne voit pas forcément avec beaucoup d'amusement d'autant plus que le film traîne souvent en longueur et finit par ennuyer.

Cet ennui pourrait largement être rattrapé par le côté humoristique omniprésent du film, mais cet humour est tout aussi loufoque que celui-ci et frôle même très souvent le ridicule. Ce qui fait qu'au final, le spectateur ne rit jamais et ne s'amuse que rarement devant les situations rocambolesques, absurdes et ridicules. Le ton comique n'est donc jamais à la hauteur et l'aspect parodique du film qui caricature les films de science-fiction apparaît très souvent comme lourd et indigeste.
Heureusement que la narration du film est particulièrement comique et que l'ensemble du film qui s'accompagne du Guide du voyageur galactique pour d'éventuelles explications et pour expliquer le déroulement du film, se montre hilarant.

De plus, H2G2 séduit également grâce à la note de cynisme, très présente durant tout le film, qui remet discrètement en cause la société, mais surtout qui montre bien sa volonté de ne rien respecter du tout et de passer outre les conventions, la morale et de faire l'inverse des films habituels. La religion est, par exemple, largement remise en cause et elle n'apparaît que par le biais de la caricature et du ridicule.
Mais si H2G2 semble se diriger dans toutes les directions sans queue ni tête et en faisant n'importe quoi, le film aborde, au contraire, quelques thèmes universels et se révèle comme une oeuvre philosophique qui s'intéresse aux questions existentielles dont chaque être humain s'interroge telles que le sens de la vie ou la raison de la vie. Cette philosophie n'est bien évidemment que discrètement abordée, mais prouve que sous les multiples éléments débiles du film, se cache une réelle réflexion.

Si le film semble se rapprocher des parodies aussi débiles que laides (genre Scary Movie) par son humour idiot et ridicule, H2G2 surprend et se dévoile comme un film visuellement magnifique. Le spectateur est tout autant séduit et ébloui par les effets spéciaux parfaitement réalisés de H2G2, qui se composent d'un univers visuel sublime et bluffant, que n'importe quel film du genre tel que Star Wars.
On peut également noter que la photographie est magnifique et très colorée malgré sa prédominance de noir (l'espace). Finalement, avec toutes les réalisations de clip que je n'ai pas arrêté de descendre dans de nombreux films récents, on peut préciser que la réalisation est, ici, parfaite et tout aussi belle que la photographie. Le rendu visuel est donc épatant.

La présence de quelques bons acteurs tels que Sam Rockwell (La Ligne verte, Les Associés), délirant dans la peau d'un empereur schizophrène, John Malkovich (Jeanne d'Arc, Johnny English), en drôle de méchant ou encore Mos Def (Braquage à l'italienne), sympathique en extraterrestre installé sur terre, ajoute encore de l'intérêt à ce film.

Malheureusement, H2G2 : le guide du voyageur galactique n'arrive jamais à captiver le spectateur et l'on risque de s'ennuyer ferme devant ce film parfois très ridicule et qui semble s'inspirer de l'humour des Monty Python.

Genre : Science fiction, Comédie
Synopsis : Sale journée pour le Terrien Arthur Dent. Sa maison est sur le point d'être rasée par un bulldozer, il découvre que son meilleur ami, Ford Prefect, est un extraterrestre et pour couronner le tout, la Terre va être pulvérisée dans quelques minutes pour faire de la place à une voie express hyperspatiale.
Arthur a une chance de survivre, mais il doit pour cela se faire prendre en stop par un vaisseau spatial, avec l'aide de Ford. Sa plus grande aventure va commencer au moment où notre propre monde disparaît... Arthur se jette dans l'inconnu et entame un délirant périple au cours duquel il va découvrir la véritable nature de l'univers.

Durée : 1h48
Sortie cinéma française : 17 août 2005
Nationalité : Film américain
Tous publics
Site officiel

Garth Jennings signe un premier film véritablement original et qui ne respecte aucune convention.
H2G2 : le guide du voyageur galactique se révèle comme une comédie de science fiction très inventive et dont l'imagination est à l'image de l'écrivain du livre dont le film s'inspire. Le film est, de plus, très beau visuellement et se montre épatante et éblouissant dans ces magnifiques images et ses décors somptueux. H2G2 se dévoile d'autant plus intéressant qu'il aborde discrètement quelques idées philosophiques et ne respecte rien : Ni la religion, ni la morale.
Mais le film se montre particulièrement réussi par le fait d'avoir réussi à épargner le spectateur de toute notion manichéenne, en n'évitant de créer des méchants très méchants et des gentils très gentils, ou des personnages caricaturaux. Il est pourtant très facile de tomber dans ce schéma dans ce genre de films.

Malheureusement, H2G2 : le guide du voyageur galactique ne parvient jamais à faire véritablement rire tant son humour est ridicule et absurde. Le film ne captive jamais véritablement et se montre parfois très ennuyeux. C'est vraiment dommage. Malgré toutes ses qualités, H2G2 se montre bien décevant, surtout en raison de son ambiance loufoque et son humour idiot.

Note film : 2/5
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#Posté le vendredi 19 août 2005 12:28

Modifié le mardi 27 décembre 2005 13:32

Le clone de Ewan McGregor!

The Island
de Michael Bay

Le spectateur avait largement de quoi s'inquiéter vis-à-vis du résultat du nouveau film de Michael Bay. En effet, entre l'échec aux Etats-Unis de The Island et le cinéaste Michael Bay aux commandes de ce blockbuster, qui nous a habitué à des films où l'on ne se soucie pas du scénario au profit de l'action ininterrompue tels que Bad boys, Armageddon ou Rock, on imaginait le pire pour ce film qui réunit tout de même Ewan McGregor et Scarlett Johansson.

Pourtant, The Island ne se montre pas aussi catastrophique que l'on pouvait le croire. Ce film se dévoile même comme une très bonne surprise et comme un film où l'on peut très facilement énumérer les qualités.
On peut notamment très largement se satisfaire du scénario qui se dévoile très intéressant et véritablement palpitant du début à la fin. En effet, alors Michael Bay nous signait systématiquement des films complètement vide et sans consistance, The Island se compose d'un scénario particulièrement bien ficelé et, de plus, agrémenté d'une petite réflexion. Ainsi, l'histoire captive sans difficulté le spectateur qui est autant pris par l'intrigue générale que par son thème du clonage, très bien abordé.

Malheureusement, si le thème du clonage est bien abordé et offre au spectateur une vision relativement inhumaine de l'homme, prêt à tout pour la vie éternelle, le scénario ne survole finalement que superficiellement ce thème et semble tomber dans la facilité et la simplicité pour nous offrir un film où l'action est très présente et où les cascades sont éblouissantes.
Ainsi, si le film perd en intérêt au niveau de son scénario, qui tient tout de même largement la route, il gagne en efficacité et évite tout risque d'ennuyer le spectateur.
Il est vrai qu'il est dommage de voir un scénario si brillant à la base s'effondrer devant le souhait de placer une surenchère d'action. Mais, il faut admettre que l'action est omniprésente et que celle-ci offre au spectateur des cascades véritablement impressionnantes et hallucinantes qui ont largement de quoi épater le spectateur.

Ces cascades sont d'autant plus réussies et impressionnantes qu'elles sont magnifiquement chorégraphiées et tournées dans de très beaux décors désertiques américains ou dans une ville futuriste bien imaginée. Ce lot d'action et de cascades n'est malheureusement pas mis en valeur par son image, encore plus hideuse que ce que Bay nous avait habitué jusque là. En effet, comme à son habitude, le cinéaste dirige la caméra comme un pied et aboutit à une réalisation tout aussi épileptique que d'habitude. En plus de cette réalisation hyper nerveuse qui multiplie des plans ultra courts de maximum une seconde, cette réalisation se situe dans la lignée de celles que l'on peut observer fréquemment actuellement et que personnellement, je n'apprécie pas du tout. A savoir une réalisation moche, qui bouge beaucoup, digne de téléfilms et d'une parfaite imprécision. Tout comme dans Les 4 fantastiques ou dans Mr and Mrs Smith, le rendu visuel est dénué de toute beauté, l'image est très souvent floue, hideuse et dépourvue de belles couleurs. Inutile d'espérer voir une belle photographie dans un tel film où l'image est déjà entièrement endommagée par ce genre de réalisation très laide. Malgré son scénario très intéressant et qui pousse à la réflexion, vous ne sortirez pas de la salle avec un énorme mal de tête pour avoir trop forcé vos neurones à force réfléchir, mais bel et bien à cause de cette réalisation accompagnée d'une caméra magnée comme un manche à balais et d'un lot d'action si intense que la boîte d'aspirine se suffit pas.

Cette réalisation très nerveuse et épileptique est l'un des principaux défauts du film. A côté de cela, les effets spéciaux sont simplement magnifiques et très soignés. Mais, le film n'ennuie jamais grâce au suspense très intense qui règne durant les deux heures de projection. Ce suspense est maintenu par l'évasion de deux clones qui sont poursuivis par l'entreprise qui les a créé. A partir de là, s'enchaîne une course poursuite absolument palpitante et angoissante qui plonge le spectateur dans une grande tension, même s'il n'est bien évidemment pas difficile comment cette course poursuite va se terminer et les conséquences qu'elles vont engendrer. Le film reste en effet, très prévisible, mais il n'en demeure pas moins un film très prenant.

Le choix du castin est excellent et se montre également comme l'une des qualités du film. Pour nous accompagner dans cette oeuvre angoissante, on retrouve Ewan McGregor (Big fish, Star wars : épisode III - La Revanche des Sith) qui nous éboui avec sa prestation magistrale et talentueuse où il incarne un clone à la recherche de son identité. Il est vraiment très convaincant et parvient sans difficulté à transmettre chacune de ses émotions au spectateur. A ses côtés, la brillante Scarlett Johansson (Lost in translation, En bonne compagnie) est toujours aussi sublime et son interprétation est très talentueuse également, mais son jeu semble bien transparent comparé à celui de Ewan McGregor. On peut encore noter la présence de bons acteurs tels que Steve Buscemi (Les Ailes de l'enfer, Big fish) et Sean Bean (Troie, Benjamin Gates et le trésor des Templiers), tous deux à la hauteur.

The Island nous ébloui encore par son ambiance sonore impeccable et sa bande originale vraiment belle et entraînante.
On peut encore apprécier la vision pessimiste du clonage qui nous fait amplement réfléchir et même si le cinéaste ne s'engage pas trop, le message sans doute trop moralisateur est clairement présent et dit aussi simplement : "méfions-nous de cette science et ne se prenons pas pour dieu en créant des êtres humains".
En effet, ce message n'est pas très original, mais il n'a pas pour but de protéger l'homme, mais il dénonce bel et bien ce que l'homme est capable de faire autant pour l'argent que pour bénéficier d'une vie plus longue. Et c'est là où le film est très intéressant, il ne montre pas l'homme sous son côté humain, mais sous son côté opportuniste et très largement corrompu par l'argent. The Island semble d'ailleurs nettement faire comprendre que ce n'est pas l'homme qui est le plus humain, mais le clone qui possède le plus d'humanité. Serait-ce la raison de cet échec aux USA?

Genre : Science fiction, Action
Synopsis : D'ici quelques décennies...
Lincoln Six-Echo et sa camarade Jordan Two-Delta font partie des centaines de Produits d'une immense colonie souterraine où la vie est étroitement surveillée et régie par des codes très stricts. Le seul espoir d'échapper à cet univers stérile est d'être sélectionné pour un transfert sur "l'Île". A en croire les dirigeants de la colonie, l'Île serait le dernier territoire à avoir échappé à la catastrophe écologique qui ravagea notre planète quelques années auparavant et en rendit l'atmosphère à jamais irrespirable...
Lincoln, comme la totalité de ses congénères, a longtemps cru à ce paradis. Mais depuis quelque temps, des cauchemars récurrents troublent ses nuits, et le jeune homme commence à s'interroger sur le sens de sa vie et les restrictions faites à sa liberté.
Poussé par une curiosité tenace, Lincoln découvre bientôt l'atroce vérité...

Durée : 2h15
Nationalité : Film américain
Tous publics
Site officiel

The Island est loin d'être le navet annoncé. Il apparaît même comme un film très réussi, captivant, intéressant et angoissant.
Michael Bay signe son meilleur film avec ce thriller d'anticipation. Bien évidemment, le cinéaste choisit parfois la facilité dans son histoire et n'oublie pas d'inclure son lot d'action habituel, mais The Island reste, tout de même, un film où l'histoire existe belle et bien et qui sensibilise le spectateur autant sur le thème du clonage que sur la nature humaine.
Il est vraiment dommage de voir le spectacle gâché par une réalisation hideuse et épileptique où le spectateur gagnera à la fin une migraine assurée.
Un très bon film tout de même malgré son happy end.
Je ne vais pas pénaliser The Island pour sa réalisation horrible parce que j'ai passé un très bon moment devant le film et que pour une fois, Bay réalise un film au scénario intelligent et pas abrutissant.

Note film : 4/5
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#Posté le mercredi 17 août 2005 07:54

Modifié le mardi 27 décembre 2005 13:33

Ashton Kutcher joue les séducteurs...

Black/white
de Kevin Rodney Sullivan

Avec une histoire adaptée d'un film des années 1960 et remise au goût du jour, des acteurs tout de mêmes talentueux tels que Ashton Kutcher qui nous a prouvé tout son talent dans L'effet papillon et le sympathique Bernie Mac (Ocean's eleven, Bad Santa) et finalement, le thème de l'acceptation de différentes cultures et de la question sociale promettait un film plus que plaisant.

Malheureusement, Black/White est loin d'être satisfaisant et même, pourrait-on dire, loin d'atteindre le niveau d'un film moyen. Le spectateur se retrouve, en effet, plongé dans un film totalement dépourvu de consistance.
Tout d'abord, Black/White ennuie rapidement et n'arrive à aucun moment à captiver le spectateur ou à lui donner une quelconque envie de poursuivre la vision du film. Si l'on peut reprocher au scénario d'être d'une médiocrité lamentable parce qu'il ne fait jamais preuve d'originalité ni dans le déroulement de l'histoire, ni dans les personnages stéréotypés, il n'arrive surtout jamais à intéresser le spectateur en raison de son scénario qui se dévoile vide, plat et qui use, abuse et surexploite tous les éléments habituels du genre sans jamais y inclure la moindre originalité ou faire preuve de singularité et de distinction par rapport à d'innombrables comédies.
Sur fond de politique raciale aussi superficiellement abordée qu'inutile, le film n'est bien évidemment que prétexte à voir un futur mari se faire harceler par un beau-père très encombrant. Black/White n'apparaît, dès lors, plus comme une comédie où l'on voit l'acceptation d'une ethnie différente au sein d'une famille, mais où l'on voit un beau-père mettre des bâtons dans les roues à son gendre, un peu à la manière de Mon beau-père et moi ou Sa mère ou moi, mais en largement moins réussie et largement mois consistante.

De plus, l'humour ne fait jamais rire, ni même sourire et aucune situation ne prêtent à rire tant le ton comique est insipide et se montre d'une mièvrerie insupportable.
Il est encore plus désagréable de voir le film accumuler les clichés sur la famille afro-américaine, sur la famille américaine et sur les personnages aussi peu consistants que le reste du film.
Black/White est encore plus énervant que les bons sentiments pullulent et que la morale tombe dans la facilité la plus extrême et empiète sur une éventuelle idée politique et raciale.
On pourra finalement encore regretter un film véritablement prévisible où l'on peut annoncer la moindre scène, pour finir par un insoutenable happy end. Même la musique est ratée et les acteurs sont largement sous exploités et offrent tous des prestations pathétiques, alors que l'on sait qu'ils sont capable de beaucoup mieux.
Black/White fait parti des films qui nous laissent un goût amer et que l'on regrette d'avoir vu tant il semble se rapprocher, à tout point de vue, d'un sitcom. Je suis très bon public, mais il y a des limites à tout. A éviter!

Genre : Comédie
Synopsis : Percy Jones est un chef de famille à l'ancienne, pétri de mâles certitudes, qui se targue d'avoir toujours raison. Lorsque sa fille, Theresa lui annonce la visite de son nouveau petit ami, Simon, Percy ne soupçonne guère que celui-ci s'apprête à annoncer leurs fiançailles : aux yeux du redoutable pater familias, aucun homme ne sera jamais digne de son "bébé"...
Durée : 1h45
Sortie cinéma française : 3 août 2005
Nationalité : Film américain
Tous publics

Note film : 1/5

7 ans de séduction
de Nigel Cole

En 2003, le cinéaste britannique Nigel Cole nous avait beaucoup touché avec sa sympathique comédie Calendar girls. Il revient en 2005, avec la comédie romantique 7 ans de séduction, qui se rapproche de l'esprit de la romance Quand Harry rencontre Sally avec Meg ryan et Billy Cristal.

7 ans de séduction est une comédie romantique qui utilise certes de nombreux clichés et qui comporte les bons sentiments que l'on retrouve dans les romances, mais contrairement à Black/White, ils ne sont pas balancés à la figure, mais amenés avec beaucoup plus de finesse.
De plus, cette comédie romantique est très agréable à regarder et n'ennuie que rarement lors des quelques cas où le film traîne en longueur, ce qui ne compose q'une infime partie du film.
Mais, 7 ans de séduction séduit surtout grâce à ses deux interprètes qui se montrent très attachants, humains, qui forment un couple véritablement envoûtant et qui fonctionne à merveille. Amanda Peet (Identity, Tout peut arriver) interprète avec beaucoup de douceur et de charme une femme qui ne trouve son bonheur qu'en la compagnie du personnage interprété par Ashton Kutcher bien plus crédible que dans Black/White, mais tout de même moins épatant que dans L'effet papillon.

Si l'on ne s'éloigne pas des nombreuses comédies romantiques, 7 ans de séduction nous réserve pourtant un très bon moment qui nous procure de temps en temps un petit frisson, nous touche, fait apparaître un sourire au coin de nos lèvres, mais surtout nous plonge dans une sensation de bien être et de bonne humeur très agréable.
Ces sensations sont avant tout le résultat d'un film drôle et touchant accompagné de magnifiques scènes, ressemblant à des expositions de magnifique tableaux qui font rêver, mais malheureusement gâchées par une réalisation légèrement trouble et plutôt digne d'un téléfilm.
Il est d'autant plus agréable de regarder le film que le tout s'accompagne d'une sublime bande originale comme sait nous en offrir les romances, mais également d'amitié, de désir, d'amour et de complicité qui aboutissent à un moment très distrayant et très touchant. Ce n'est pas un grand film, certes, mais c'est divertissant, touchant et particulièrement mignon.

Genre : Comédie romantique
Synopsis : Après une rencontre peu ordinaire dans un avion, Oliver et Emily reprennent le cours de leurs vies respectives, persuadés de ne plus jamais se revoir. Pourtant, le hasard ne cesse de les remettre en contact dans les mois et les années qui suivent. Ils sont bien forcés de constater qu'au-delà de l'attirance physique initiale, et au gré de leurs courtes liaisons, une véritable complicité s'est étonnamment installée entre eux.
Durée : 1h47
Nationalité : Film américain
Tous publics

Note film : 3/5
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#Posté le mardi 16 août 2005 13:26

Modifié le mardi 27 décembre 2005 13:33

Votre film préféré avec Robin Williams!

Avec près de quarante films à son actif, l'acteur Robin Williams est une des figures incontournables du cinéma hollywoodien!

Alors que l'acteur américain a commencé sa carrière avec des comédies relativement peu connues telles que The Survivors ou Club Paradise, c'est avec la comédie dramatique Good morning Vietnam que Robin Williams acquiert une certaine notoriété, mais c'est avec le magnifique drame Le Cercle des poètes disparus, réalisé par Peter Weir en 1989 que l'acteur se fait remarquer par le public international et accumule les propositions de la part des producteurs.

Après être apparu dans les deux drames L' Eveil et Fisher King en 1991, Robin Williams semble s'investir entièrement dans la comédie où il fréquente les grands réalisateurs tels que Steven Spielberg en interprétant Peter Pan dans Hook ou la revanche du Capitaine Crochet (1992), Barry Levinson en jouant dans la comédie Toys (1992), Chris Colombus qui confie à Robin Williams le rôle principal de Madame Doubtfire et le fait apparaître dans le remake Neuf mois aussi ou encore Francis Ford Coppola qui montre le talent de R. Williams pour le rire et l'émotion dans la comédie dramatique Jack.

On retiend également des années 1990, les très bons Jumanji, Will Hunting, Au-delà de nos rêves, Docteur Patch et L' Homme bicentenaire où Robin Williams ne cesse de nous confirmer son talent.

Tout comme pour Brad Pitt, les années 2000 marquent un tournant dans la carrière de Robin Williams. En effet, en 2002, il nous surprend en apparaissant au générique des deux thrillers Photo Obsession et Insomnia où ses mimiques et ses grimaces n'apparaissent pas mais au contraire où l'acteur incarne des psychopathes manipulateurs. Et si l'on voit, pour la première fois, l'acteur dans ce genre de rôle, Robin Williams se révèle tout aussi à l'aise dans le genre de la comédie que celui du thriller. Il est même épatant dans Photo Obsession et m'a littéralement glacé le sang!

Dans la lignée des thrillers, Robin Williams revient en 2005, dans le thriller de science-fiction Final cut, un film très particulier, mais également réussi où l'acteur est comme à son habitude, impeccable.

Si Robin Williams a réussi a prendre un nouveau tournant dans sa carrière avec brio et s'est montré tout aussi talentueux dans le drame, que dans la comédie dans les années 1980/90 ou dans le thriller et la science fiction dans les années 2000, je m'intéresse maintenant sur les avis en général afin de savoir à quel moment de la carrière vous avez préféré l'acteur. Dans le drame? la comédie? le thriller?

En ce qui me concerne, j'ai aimé toute la filmographie de cet acteur qui n'a pas cessé de m'éblouir. Mais puisqu'il faut choisir un film, je dirais que j'ai particulièrement aimé Le cercle des poètes disparus.

A vous de me donner votre avis et de me dire quel est le film que vous avez préféré avec l'acteur Robin Williams?


IIIIIIIIIII Le Cercle des poètes disparus (1989) 12

IIIIIII Madame Doubtfire (1994) 7

IIIIII Jack (1996) 6

IIII Photo obsession (2002) 4

IIII Jimanji (1996) 4

III Hook ou la revanche du Capitaine Crochet (1992) 3

III Fisher King (1991) 3

II Insomnia (2002) 2

I Will Hunting (1998) 1

I La voix du Génie dans Aladdin (1993) 1

I Good morning Vietnam (1988) 1

I Le Monde selon Garp (1983) 1
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#Posté le lundi 15 août 2005 10:46

Modifié le mercredi 26 octobre 2005 15:07

Owen Wilson et Vince Vaughn se tapent l'incruste!

Serial noceurs
de David Dobkin

Owen Wilson est avec Ben Stiller, l'un des acteurs comiques les plus appréciés à Hollywood et accumule les comédies. On retrouve, bien souvent, l'acteur dans des comédies reposant sur des duos. Ainsi, après avoir formé des duos avec Jackie Chan dans Shanghaï kid et sa suite, avec Ben Stiller dans Zoolander et Starsky et Hutch ou encore avec Eddie Murphy dans la comédie d'espionnage Espion et demi, Owen Wilson fait son retour avec l'acteur Vince Vaughn pour composer le nouveau duo de comique dans le film Serial noceurs, produit par les studios New Line Cinema et réalisée par David Dobkin.

Il est évident que devant le scénario éculé et ultra prévisible de Serial Noceurs, l'histoire ne se démarque ni par son originalité ni par ses surprises. Au contraire, dès le départ, le spectateur sait de quelle manière va se dérouler le film et il n'est d'ailleurs pas difficile non plus de prévoir comment celui-ci va se terminer et quels personnages vont se tomber dans les bras.
Cependant, lorsque l'on va voir un tel film, on sait pertinemment que l'histoire ne va pas briller par son inventivité ou par son originalité, d'autant plus que la bande annonce nous indiquais clairement le ton du film et son histoire simpliste et qu'il est rare de voir une comédie romantique qui n'ait pas un air de déjà vu.

A partir du moment où l'on sait à quoi s'attendre, il ne faut pas tenir compte des clichés du genre comme le baiser amoureux sur la plage, certains personnages caricaturaux ou des passages imprégnés de sentimentalisme, car même s'ils peuvent exacerber et donner l'impression d'être dans un film aussi mièvre que dénué d'intérêt, Serial Noceurs comporte des qualités qui sont loin d'être dérisoires.
Tout d'abord, le film se compose du duo d'acteur Owen Wilson/Vince Vaughn qui se révèle simplement irrésistible et qui fonctionne à merveille. Ce duo offre au spectateur quelques passages hilarants et transmet autant de bonne humeur que de joie, largement amplifiées par une authenticité dans la relation des deux personnages qui ne sont, nul ombre d'un doute, le résultat à l'écran de la complicité entre les deux acteurs.

Mais la véritable réussite du film se dévoile dans le ton humoristique qui ne faillit jamais, mais qui se révèle bien plus drôle et osé que dans les comédies romantiques habituelles. Ainsi, si le film n'apparaît guère original par son scénario ou son thème, le spectateur entre sans problème dans l'esprit complètement fou du film où entre les situations abracadabrantes, les gags délirants et certains passages rocambolesques, les fous rires sont assurés du début à la fin. Le spectateur est encore amusé au plus au point devant la famille totalement déjantée que doivent affronter les deux compères. Entre la "vielle folle", la mère désemparée et dépressive, la père un tantinet menaçant, la soeur nymphomane, le frère aussi caricatural dans son côté artistique de peintre que dans son côté soit disant homosexuel, ou le petit copain violent et effrayant, le spectateur n'a que peu de répit pour se reposer et reprendre son souffle avant de retomber dans le délire et l'hilarité la plus profonde.
En effet, cette famille Grey un peu folle n'est pas sans rappeler la famille Furniquer dans Mon beau-père, mes parents et moi, mais ici, le spectateur rit encore plus et si l'humour est parfois exagéré et douteux, il ne s'en révèle pas moins très efficace.

Quoi pouvait-on espérer de mieux pour incarner cette famille foldingue que des acteurs biens choisis et qui semblent tout aussi fous comme le grand Christopher Walken (Et l'homme créa la femme, Man on fire), habitué au rôles de cinglés, qui incarne ici le papa gâteux ou la sublime Rachel McAdams (N'oublie jamais, Lolita malgré moi) dont chaque prestation est épatante et qui ne manque pas de charisme.
On ne retrouve à leurs côtés que majoritairement des acteurs de séries télévisée tels que Bradley Cooper loin de son rôle dans Alias ou Jane Seymour (ancienne actrice des années 1960/80 repêchée par différentes séries telles que Smallville) irréprochable dans son rôle de mère en manqua d'attention.
Mais la palme revient, bien sûr, à Owen Wilson (Armageddon, Starsky et Hutch) et Vince Vaughn (Même pas mal ! (Dodgeball), Mr and Mrs Smith) aussi drôles l'un que l'autre et parfait dans leur rôles respectifs.
Finalement on peut noter la courte mais délirante participation de Will Ferrell (Elfe, Melinda et Melinda).

On pourrait bien évidemment reprocher au film le happy end et sa morale, mais si dès le départ, on connaît le genre du film, on peut faire abstraction de ces détails.
Il est en revanche bien plus difficile de ne pas tenir compte de la réalisation, véritablement hideuse. S'il n'est déjà pas agréable de voir dans des films d'action, des réalisation de clip et d'une grande imprécision, il est encore moins agréable de voir une telle réalisation dans les comédies romantiques. L'image n'est donc ni chaleureuse, ni douce, ni même belle. L'image est en plus moche et ne convient pas du tout aux comédies romantiques censées êtres colorées et rassurantes. Heureusement, l'ensemble est rehaussé par de très beaux mouvements de caméra, mais la fadeur et la froideur de l'image générale apparaît comme l'un des gros défauts du film.

Genre : Comédie, Romance
Synopsis : John et Jeremy adorent s'inviter aux mariages de parfaits inconnus, profiter de la table, du bar et des jeunes filles qui sont toujours plus romantiques ces jours-là. Leurs méthodes sont infaillibles et leur palmarès impressionnant.
Lorsqu'ils apprennent que la fille de William Cleary, un haut fonctionnaire, va se marier, l'occasion est trop belle. Cette incruste-là sera leur chef-d'oeuvre, l'éclate totale au milieu du gratin à qui ils vont encore raconter n'importe quoi.
Pourtant, cette fois, les choses dérapent...

Durée : 2h00
Sortie cinéma française : 10 août 2005
Nationalité : Film américain
Tous publics

Serial noceurs est une comédie romantique sans prétention qui n'a pour seul but que de faire rire et sur ce point, c'est très réussi. On est hilare pendant tout le film et la bonne humeur est transmise au spectateur avec brio par les acteurs Owen Wilson et Vince Vaughn, tous deux irrésistibles.
Après avoir réalisé Shagaï Kid II, le cinéaste David Dobkin signe, avec cette comédie, un pur moment de divertissant très agréable, non par son originalité mais ses situations hilarantes et ses personnages aussi hétérogènes que loufoques.
Le tout est agrébalement accompagné d'une musique magnifique qui s'associe à la perfection au film et dont on retient des airs très entrainants.
L'un des films les plus drôles de cet été et un moment d'euphorie assuré!

Note film : 4/5
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#Posté le dimanche 14 août 2005 07:48

Modifié le mardi 27 décembre 2005 13:34

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