Jurassic Park
de Steven Spielberg
Avant de nous effrayer dans le film La guerre des mondes avec des extraterrestres, le réalisateur Steven Spielberg, malmenait déjà le spectateur en 1993 et le terrifiait, mais avec des dinosaures affamés dans le film Jurassic Park.
Jurassic Park a connu un grand succès mondial. En effet, Pour un budget de 63 millions de dollars, ce film a récolté 357 067 947 de dollars de recettes aux Etats-Unis et a attiré près de 6 700 000 personnes dans les salles françaises
Apparemment le cinéaste américain Steven Spielberg est à l'aise dans tous les genres cinématographiques. En effet, il réalise là un très bon film d'aventure avec un suspense haletant qui ne s'arrête que lorsque le générique de fin apparaît.
De plus, les effets spéciaux sont époustouflants et spectaculaires pour un film de 1993. La mise en scène et la réalisations sont parfaites, comme d'habitude lorsque Spielberg est aux commandes d'un film. D'autre part, les décors sont très beaux et la photographie assez sombre ne manque pas de nous éblouir.
Si le scénario n'est pas très complexe, il est tout à fait cohérant et on se plonge très rapidement dans ce film très prenant sur la recréation des dinosaures par l'homme. Ajouté à cela, une touche d'humour très présente et une interprétation irréprochable de tous les acteurs Sam Neill (L' Homme qui murmurait a l'oreille des chevaux, L'homme bicentenaire) et Jeff Goldblum (Independance Day, La vie aquatique) en tête.
Genre : Aventure
Synopsis : Ne pas réveiller le chat qui dort... C'est ce que le milliardaire John Hammond aurait dû se rappeler avant de se lancer dans le "clonage" de dinosaures. C'est à partir d'une goutte de sang absorbée par un moustique fossilisé que John Hammond et son équipe ont réussi à faire renaître une dizaine d'espèces de dinosaures. Il s'apprête maintenant avec la complicité du docteur Alan Grant, paléontologue de renom, et de son amie Ellie, à ouvrir le plus grand parc à thême du monde. Mais c'était sans compter la cupidité et la malveillance de l'informaticien Dennis Nedry, et éventuellement des dinosaures, seuls maîtres sur l'île...
Durée : 2h07
Sortie cinéma française : 20 octobre 1993
Sortie DVD française : Reédition DVD prévue pour le 6 septembre 2005
Nationalité : Film américain
Tous publics
Pour ceux qui ont beaucoup aimé le film et qui rêvent de le posséder en DVD, sachez que Jurassic Park resort en DVD pour une sortie prévue le 6 septembre 2005 dans une édition DVD simple ou le 27 septembre 2005 dans un coffret collector rassemblant les trois films de la trilogie.
Jurassic Par est un film désormais culte qui plonge le spectateur dans un univers où les dinosaures refont surface et croisent le chemin des humains. Sur cette histoire de base, Steven Spielberg réalise un excellent film véritablement captivant et angoissant grâce à un suspense palpitant et qui ne laisse que peu de répit au spectateur.
En plus de décors magnifiques et d'une musique sublime composée par John Williams (Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, Star wars : épisode III - La Revanche des Sith), Jurassic Park nous propose des effets spéciaux hallucinants pour un film de 1993, mais qui ont tout de même mal vieillis.
Note film : 5/5
Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!
Description :
Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD
Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.
Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance
Surfez bien! ;)
En l'espace de cinq ans, l'acteur irlandais Colin Farrell a joué dans une quinzaine de films et est devenu l'une des personnalités incontournables du cinéma hollywoodien. Si l'acteur fait chavirer le coeur de toutes les adolescentes en raison de son physique de playboy un tantinet rebelle, Colin Farrell se dévoile également comme un acteur très talentueux dont chaque apparition à l'écran est épatante.
Colin Farrell a commencé sa carrière au cinéma dans le film The War zone, sorti au début de l'année 2000, puis a suivi en jouant dans Ordinary Decent Criminal où il donnait la réplique à l'acteur Kevin Spacey. Mais c'est en interprétant un soldat dans le film Tigerland de Joel Schumacher, que l'acteur se fait remarquer et reçoit la consécration du public et de la presse.
Depuis, l'acteur irlandais croule sous les propositions et accumule les films. On le retrouve ainsi, fidèle à Joel Schumacher, en jouant le rôle principal de Phone game et en apparaissant au générique de Veronica Guerin, sous la direction de Steven Spielberg dans le thriller de science fiction Minority report, dans divers films d'action tels que Daredevil, La Recrue ou S.W.A.T. unité d'élite, mais Colin Farrell nous prouve tout son talent en nous offrant une prestation magistrale des plus éblouissantes dans la peau d'Alexandre le Grand pour les besoins du film réalisé par Oliver Stone : Alexandre
En moins de cinq ans, Colin Farrell a su démontré ses capacités au niveau de son jeu d'acteur et ainsi participer à des films très ambitieux. L'acteur est maintenant une valeur sûre du cinéma américain.
Si j'ai beaucoup aimé Minority Report et Phone Game, c'est avant tout le film largement sous-estimé Alexandre que je considère comme le meilleur film de sa filmographie.
A vous de me donner votre avis et de me dire quel est le film que vous avez préféré avec l'acteur Colin Farrell?
IIIIIIIIIIIII Phone game (2003) 14
IIIIIII Minority report (2002) 7
IIIIII Alexandre (2005) 6
IIII Tigerland (2001) 4
III La Recrue (2003) 3
II S.W.A.T. unité d'élite (2003) 2
Article dédié à Mero, qui adore Colin Farrell.
Colin Farrell a commencé sa carrière au cinéma dans le film The War zone, sorti au début de l'année 2000, puis a suivi en jouant dans Ordinary Decent Criminal où il donnait la réplique à l'acteur Kevin Spacey. Mais c'est en interprétant un soldat dans le film Tigerland de Joel Schumacher, que l'acteur se fait remarquer et reçoit la consécration du public et de la presse.
Depuis, l'acteur irlandais croule sous les propositions et accumule les films. On le retrouve ainsi, fidèle à Joel Schumacher, en jouant le rôle principal de Phone game et en apparaissant au générique de Veronica Guerin, sous la direction de Steven Spielberg dans le thriller de science fiction Minority report, dans divers films d'action tels que Daredevil, La Recrue ou S.W.A.T. unité d'élite, mais Colin Farrell nous prouve tout son talent en nous offrant une prestation magistrale des plus éblouissantes dans la peau d'Alexandre le Grand pour les besoins du film réalisé par Oliver Stone : Alexandre
En moins de cinq ans, Colin Farrell a su démontré ses capacités au niveau de son jeu d'acteur et ainsi participer à des films très ambitieux. L'acteur est maintenant une valeur sûre du cinéma américain.
Si j'ai beaucoup aimé Minority Report et Phone Game, c'est avant tout le film largement sous-estimé Alexandre que je considère comme le meilleur film de sa filmographie.
A vous de me donner votre avis et de me dire quel est le film que vous avez préféré avec l'acteur Colin Farrell?
IIIIIIIIIIIII Phone game (2003) 14
IIIIIII Minority report (2002) 7
IIIIII Alexandre (2005) 6
IIII Tigerland (2001) 4
III La Recrue (2003) 3
II S.W.A.T. unité d'élite (2003) 2
Article dédié à Mero, qui adore Colin Farrell.
Mission évasion
de Gregory Hoblit
L'acteur irlandais Colin Farrell a ébloui la critique avec sa prestation très remarquée dans le film de guerre Tigerland de Joel Schumacher, sorti en 2001. Peu de temps après, on retrouvait l'acteur dans un autre film de guerre, qui ne concernait pas le conflit vietnamien, mais cette fois-ci s'intéressait à la Seconde Guerre Mondiale. Pour cette grosse production hollywoodienne qui a coûté 70 millions de dollars, le casting a été complété par Bruce Willis, qui connaît bien ce genre de films et qui produit d'ailleurs via sa société de production, Cheyenne Enterprises, avec les studios Metro Goldwyn Mayer, ce film intitulé Mission évasion.
Mission évasion est un film avec et co-produit par Bruce Willis, il n'est dont pas surprenant de voir une histoire convenue et où les actions héroïques se multiplient.
Pourtant, force est de constater que le scénario commence de manière brillante et se montre très rapidement prenante, d'une part, en raison du thème de la Seconde Guerre mondiale abordée d'un autre point de vue qui se distingue de nombreux films du genre et d'autre part, parce qu'il est très bien mené du début à la fin, sans jamais ennuyer, même si l'histoire reste parfois très prévisible.
Il est ainsi très intéressant de voir la Seconde Guerre mondiale, vu sous un autre angle que dans d'innombrables films, autrement dit, ici, on s'intéresse à la vie des prisonniers de guerre américains.
Le spectateur n'est donc pas plongé dans l'horreur, à proprement dite, de la guerre, puisque étant obligé de respecter la Convention de Genève, les allemands doivent respecter ce code afin que les américains le respectent eux aussi. Pourtant, si l'horreur n'est pas celle que l'on peut voir sur le front, elle est belle et bien présente et passe par une horreur psychologique et par une autorité nazie abusive.
De plus, la réussite du film se révèle également par le fait de montrer le racisme entre les soldats américains, c'est à dire, du racisme des blancs envers la population noire. Ce racisme est donc très intéressant et dévoile les côtés moins patriotiques idéalisés dans tous les films et montre que le racisme était bien présent. Malheureusement, ce côté n'est pas assez approfondi et l'on passe rapidement à autre chose. Le scénario, bien que convenu, révèle quelques retournements de situations qui savent surprendre, mais qui ne font qu'insister sur le côté très américain du film.
Le film de guerre prend une tournure de thriller par le biais d'une importante manipulation qui vise donc à s'évader de ses camps pour prisonniers de guerre. Mission Evasion s'apparente aussi à un huis clos et s'accompagne ainsi d'un suspense et d'une certaine tension.
On peut donc noter que le film de guerre comporte de nombreux intérêts déjà, le fait de se différencier des films du genre et de prendre différentes tournures durant le film.
Alors que le film était prometteur de par son scénario intéressant et un thème rarement abordé - celui du racisme dans l'armée américaine - malheureusement, Mission évasion n'évite pas les éternels rebondissements très américains, les effets faciles et prévisibles ou la morale trop exagérée et un patriotisme toujours aussi énervant qu'exaspérant.
Néanmoins, Mission évasion est impeccablement réalisé et nous offre des scènes saisissantes de réalisme, surtout au début du film et nous propose une photographie superbe et véritablement soignée, ce qui aboutit à une image magnifique, et avec de très belles couleurs.
Le début du film était d'autant plus prometteur que la retranscription historique est admirablement faite et que les scènes sont choquantes et réalistes.
Malheureusement, le scénario, bien trop américain, les clichés et les personnages stéréotypés ou la musique pompeuse gâchent amplement le résultat et empêchent Mission Evasion d'être un excellent film.
Si le film se perd un peu avec son scénario qui part dans tous les sens (films qui dénonce, le racisme, film d'évasion, film de plaidoirie, film de manipulation, ...) et qui prend une tournure bien trop prévisible, il est toutefois remarquable au niveau de son casting avec des acteurs très convaincants. Bruce Willis (Le Cinquième élément, Sin City) est fidèle à lui même et est à la hauteur dans son rôle de colonel, mais sa prestation s'efface devant l'interprétation épatante de Colin Farrell (Phone game, Alexandre), simpelement exceptionnelle. D'autre part, l'acteur Terrence Dashon Howard (Angel eyes, Ray) est également très à la hauteur dans le rôle d'un soldat persécuté par le racisme et Marcel Iures (Le Pacificateur, Layer cake) ne manque pas de charisme pour interpréter un colonel nazi.
Genre : Guerre
Synopsis : Durant la Seconde Guerre mondiale, le lieutenant Tommy Hart est arrêté par les Allemands et envoyé dans un camp de prisonniers tenu par le tyrannique colonel Werner Visser. Le colonel William McNamara est chargé de surveiller les détenus américains. Deux nouveaux prisonniers de guerre font leur entrée au Stalag VI : les lieutenants Lincoln Scott et Lamar Archer, deux noirs qui ne sont pas les bienvenus. Une nuit, un soldat blanc, raciste de surcroît, est retrouvé assassiné. Lincoln a beau clamer son innocence, un témoin prétend l'avoir identifié. Le lieutenant Tommy Hart, ancien étudiant en droit, est chargé de sa défense.
Ce meurtre va donner au colonel McNamara l'occasion d'échafauder un plan audacieux. Tandis que l'attention des soldats allemands se focalisera sur le procès, lui et ses hommes mettront au point une périlleuse évasion.
Durée : 2h05
Sortie cinéma française : 29 mai 2002
Sortie DVD française : 4 février 2003, DVD édition simple
Nationalité : Film américain
Tous publics
Site officiel
Le cinéaste américain Gregory Hoblit, qui avait déjà réalisé Le Temoin du mal et Fréquence interdite revient donc avec un film de guerre qui aurait pu être un film vraiment de grande qualité autant de par son scénario qui prend des allures de film de guerre, de thriller, de huis clos, de drame, mais qui se perd que par son originalité d'aborder une autre vision de la guerre. Malheureusement, le film se perd dans toutes les voies et finit par n'aborder que superficiellement chacune d'entre elle. Mais, il est encore moins agréable de voir le film abuser des effets faciles, des rebondissements prévisibles, d'un côté américain exacerbant et d'un patriotisme qui a de quoi largement nous irriter.
Cependant, Mission évasion demeure un film poignant et difficile, qui est d'autant plus réussi que les images du film sont spectaculaires et simplement magnifiques et que les acteurs son à la hauteur, Colin Farrell en tête.
Un film qui n'est donc pas mauvais, mais qui semble bien trop américain.
Note film : 3/5
de Gregory Hoblit
L'acteur irlandais Colin Farrell a ébloui la critique avec sa prestation très remarquée dans le film de guerre Tigerland de Joel Schumacher, sorti en 2001. Peu de temps après, on retrouvait l'acteur dans un autre film de guerre, qui ne concernait pas le conflit vietnamien, mais cette fois-ci s'intéressait à la Seconde Guerre Mondiale. Pour cette grosse production hollywoodienne qui a coûté 70 millions de dollars, le casting a été complété par Bruce Willis, qui connaît bien ce genre de films et qui produit d'ailleurs via sa société de production, Cheyenne Enterprises, avec les studios Metro Goldwyn Mayer, ce film intitulé Mission évasion.
Mission évasion est un film avec et co-produit par Bruce Willis, il n'est dont pas surprenant de voir une histoire convenue et où les actions héroïques se multiplient.
Pourtant, force est de constater que le scénario commence de manière brillante et se montre très rapidement prenante, d'une part, en raison du thème de la Seconde Guerre mondiale abordée d'un autre point de vue qui se distingue de nombreux films du genre et d'autre part, parce qu'il est très bien mené du début à la fin, sans jamais ennuyer, même si l'histoire reste parfois très prévisible.
Il est ainsi très intéressant de voir la Seconde Guerre mondiale, vu sous un autre angle que dans d'innombrables films, autrement dit, ici, on s'intéresse à la vie des prisonniers de guerre américains.
Le spectateur n'est donc pas plongé dans l'horreur, à proprement dite, de la guerre, puisque étant obligé de respecter la Convention de Genève, les allemands doivent respecter ce code afin que les américains le respectent eux aussi. Pourtant, si l'horreur n'est pas celle que l'on peut voir sur le front, elle est belle et bien présente et passe par une horreur psychologique et par une autorité nazie abusive.
De plus, la réussite du film se révèle également par le fait de montrer le racisme entre les soldats américains, c'est à dire, du racisme des blancs envers la population noire. Ce racisme est donc très intéressant et dévoile les côtés moins patriotiques idéalisés dans tous les films et montre que le racisme était bien présent. Malheureusement, ce côté n'est pas assez approfondi et l'on passe rapidement à autre chose. Le scénario, bien que convenu, révèle quelques retournements de situations qui savent surprendre, mais qui ne font qu'insister sur le côté très américain du film.
Le film de guerre prend une tournure de thriller par le biais d'une importante manipulation qui vise donc à s'évader de ses camps pour prisonniers de guerre. Mission Evasion s'apparente aussi à un huis clos et s'accompagne ainsi d'un suspense et d'une certaine tension.
On peut donc noter que le film de guerre comporte de nombreux intérêts déjà, le fait de se différencier des films du genre et de prendre différentes tournures durant le film.
Alors que le film était prometteur de par son scénario intéressant et un thème rarement abordé - celui du racisme dans l'armée américaine - malheureusement, Mission évasion n'évite pas les éternels rebondissements très américains, les effets faciles et prévisibles ou la morale trop exagérée et un patriotisme toujours aussi énervant qu'exaspérant.
Néanmoins, Mission évasion est impeccablement réalisé et nous offre des scènes saisissantes de réalisme, surtout au début du film et nous propose une photographie superbe et véritablement soignée, ce qui aboutit à une image magnifique, et avec de très belles couleurs.
Le début du film était d'autant plus prometteur que la retranscription historique est admirablement faite et que les scènes sont choquantes et réalistes.
Malheureusement, le scénario, bien trop américain, les clichés et les personnages stéréotypés ou la musique pompeuse gâchent amplement le résultat et empêchent Mission Evasion d'être un excellent film.
Si le film se perd un peu avec son scénario qui part dans tous les sens (films qui dénonce, le racisme, film d'évasion, film de plaidoirie, film de manipulation, ...) et qui prend une tournure bien trop prévisible, il est toutefois remarquable au niveau de son casting avec des acteurs très convaincants. Bruce Willis (Le Cinquième élément, Sin City) est fidèle à lui même et est à la hauteur dans son rôle de colonel, mais sa prestation s'efface devant l'interprétation épatante de Colin Farrell (Phone game, Alexandre), simpelement exceptionnelle. D'autre part, l'acteur Terrence Dashon Howard (Angel eyes, Ray) est également très à la hauteur dans le rôle d'un soldat persécuté par le racisme et Marcel Iures (Le Pacificateur, Layer cake) ne manque pas de charisme pour interpréter un colonel nazi.
Genre : Guerre
Synopsis : Durant la Seconde Guerre mondiale, le lieutenant Tommy Hart est arrêté par les Allemands et envoyé dans un camp de prisonniers tenu par le tyrannique colonel Werner Visser. Le colonel William McNamara est chargé de surveiller les détenus américains. Deux nouveaux prisonniers de guerre font leur entrée au Stalag VI : les lieutenants Lincoln Scott et Lamar Archer, deux noirs qui ne sont pas les bienvenus. Une nuit, un soldat blanc, raciste de surcroît, est retrouvé assassiné. Lincoln a beau clamer son innocence, un témoin prétend l'avoir identifié. Le lieutenant Tommy Hart, ancien étudiant en droit, est chargé de sa défense.
Ce meurtre va donner au colonel McNamara l'occasion d'échafauder un plan audacieux. Tandis que l'attention des soldats allemands se focalisera sur le procès, lui et ses hommes mettront au point une périlleuse évasion.
Durée : 2h05
Sortie cinéma française : 29 mai 2002
Sortie DVD française : 4 février 2003, DVD édition simple
Nationalité : Film américain
Tous publics
Site officiel
Le cinéaste américain Gregory Hoblit, qui avait déjà réalisé Le Temoin du mal et Fréquence interdite revient donc avec un film de guerre qui aurait pu être un film vraiment de grande qualité autant de par son scénario qui prend des allures de film de guerre, de thriller, de huis clos, de drame, mais qui se perd que par son originalité d'aborder une autre vision de la guerre. Malheureusement, le film se perd dans toutes les voies et finit par n'aborder que superficiellement chacune d'entre elle. Mais, il est encore moins agréable de voir le film abuser des effets faciles, des rebondissements prévisibles, d'un côté américain exacerbant et d'un patriotisme qui a de quoi largement nous irriter.
Cependant, Mission évasion demeure un film poignant et difficile, qui est d'autant plus réussi que les images du film sont spectaculaires et simplement magnifiques et que les acteurs son à la hauteur, Colin Farrell en tête.
Un film qui n'est donc pas mauvais, mais qui semble bien trop américain.
Note film : 3/5
Le Cercle des poètes disparus
de Peter Weir
Le cinéaste australien Peter Weir est connu pour ses films qui se montrent souvent réfléchis et qui abordent avec beaucoup d'authenticité et de finesse des thèmes graves ou percutants. On peut notamment parler du magnifique film The Truman Show qui dénonce les reality-show ou le très réussi Master and commander de l'autre côté du monde, un film d'aventure historique parfaitement réalisé.
Si le cinéaste avait déjà réalisé quelques films entre les années 1970 et les années 1990, c'est avec la sortie, en 1990, du film Le Cercle des poètes disparus que le talent de Peter Weir est reconnu mondialement et qu'il atteint le statut de grand réalisateur.
Le Cercle des poètes disparus a ainsi été très plébiscité, a engendré un succès international énorme et a attiré près de sept millions de téléspectateurs en France. Ce succès international est amplement mérité et pourtant, les producteurs ne pensaient, en aucune manière, voir tant de critiques élogieuses et percevoir à tant de recettes.
Cependant, Le Cercle des poètes disparus se révèle comme un magnifique film avec une histoire sublime, passionnante et surtout très émouvante, il n'était donc pas difficile de prévoir le succès pour ce film qui avait de quoi largement toucher le spectateur. En effet, le film se montre particulièrement émouvant et très touchant, mais le drame ne tombe jamais dans le mélo et le sentimentalisme abusif, ce qui évite les effets lourds ou larmoyants inutiles.
Au contraire, si l'ambiance du film est d'une intensité dramatique élevée, le spectateur n'en reste pas moins émerveillé grâce aux amitiés qui se créent entre les élèves, mais surtout grâce à l'amitié qui se crée entre les élèves et le professeur John Keating incarné par Robin Williams. On est de plus touché par les divers personnages véritablement attachants et par la gentillesse de ce professeur John Keating. Ce professeur n'a que pour but de voir les étudiants à qui il enseigne la littérature, d'atteindre une maturité suffisante pour accepter la vie comme elle vient et de surtout pouvoir tenter de préparer un avenir comme ils en rêvent. Mais cette éducation va, d'une part, à l'encontre de la volonté des parents qui prévoient un avenir tout tracé à leurs enfants, et d'autre part à l'encontre de cette école figée par des valeurs qui existent depuis très longtemps.
Ce professeur subversif apparaît donc comme une menace autant pour l'école que pour les parents. A partir de là, le film nous plonge dans un univers particulièrement dramatique où l'on découvre un professeur qui souhaiterait voir les mentalités évoluer, mais qui est pourtant étouffé par les préjugés et les regards qui le cataloguent comme un marginal et entre des élèves gérés par une institution vieux jeu et qui ne se préoccupe pas de leur choix. Par cette intensité dramatique qui découle de la description de personnages, loin de nager en plein bonheur, le film s'approprie un caractère émotionnel très fort. Le film possède tout de même une petite note d'humour très agréable, subtilement apportée par ce professeur Keating.
De plus, le réalisateur filme avec une grande finesse et beaucoup de justesse son film et nous plonge dans un univers toujours plus émouvant grâce à des personnages sincères et qui évitent de tomber dans la caricature.
Ces personnages sont, en plus, brillamment interprétés par des acteurs éblouissants tels que Robin Williams (Madame Doubtfire, Insomnia) qui nous offre sa meilleure prestation, Robert Sean Leonard (Beaucoup de bruit pour rien, Memories) qui se montre véritablement touchant ou Ethan Hawke (Training day, Assaut sur le central 13) qui est épatant dans l'un de ses premiers rôles au cinéma.
Genre : Comédie dramatique
Synopsis : Todd Anderson, un garçon plutôt timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton, réputée pour être l'une des plus fermées et austères des Etats-Unis, là où son frère avait connu de brillantes études.
C'est dans cette université qu'il va faire la rencontre d'un professeur de lettres anglaises plutôt étrange, Mr Keating, qui les encourage à toujours refuser l'ordre établi. Les cours de Mr Keating vont bouleverser la vie de l'étudiant reservé et de ses amis...
Durée : 2h08
Sortie cinéma française : 17 janvier 1990
Sortie DVD française : Septembre 2003, DVD édition simple
Nationalité : Film américain
Tous publics
Peter Weir a réalisé un magnifique film véritablement poignant et émouvant qui nous propose une histoire très touchante sur les institutions, les universités et les idées figées et fermées de l'époque.
Le Cercle des poètes disparus apparaît comme un film qui sans tomber dans la morale, donne une très belle leçon de vie, et sans tomber dans le mélo nous émeut largement, notamment grâce au portrait de personnages attachants et par l'arrivée d'un professeur marginal qui perturbe les valeurs de cette école figée et offre un point de vue novateur à ces jeunes dominés par des idées très autoritaires. Le film est d'autant plus prenant et qu'il est composé d'acteurs brillants et très largement épatants et que l'on retrouve Robin Williams dans l'un de ses meilleurs films.
Le Cercle des poètes disparus est un film bouleversant qui ne peut laisser indifférent personne.
Note film : 5/5
de Peter Weir
Le cinéaste australien Peter Weir est connu pour ses films qui se montrent souvent réfléchis et qui abordent avec beaucoup d'authenticité et de finesse des thèmes graves ou percutants. On peut notamment parler du magnifique film The Truman Show qui dénonce les reality-show ou le très réussi Master and commander de l'autre côté du monde, un film d'aventure historique parfaitement réalisé.
Si le cinéaste avait déjà réalisé quelques films entre les années 1970 et les années 1990, c'est avec la sortie, en 1990, du film Le Cercle des poètes disparus que le talent de Peter Weir est reconnu mondialement et qu'il atteint le statut de grand réalisateur.
Le Cercle des poètes disparus a ainsi été très plébiscité, a engendré un succès international énorme et a attiré près de sept millions de téléspectateurs en France. Ce succès international est amplement mérité et pourtant, les producteurs ne pensaient, en aucune manière, voir tant de critiques élogieuses et percevoir à tant de recettes.
Cependant, Le Cercle des poètes disparus se révèle comme un magnifique film avec une histoire sublime, passionnante et surtout très émouvante, il n'était donc pas difficile de prévoir le succès pour ce film qui avait de quoi largement toucher le spectateur. En effet, le film se montre particulièrement émouvant et très touchant, mais le drame ne tombe jamais dans le mélo et le sentimentalisme abusif, ce qui évite les effets lourds ou larmoyants inutiles.
Au contraire, si l'ambiance du film est d'une intensité dramatique élevée, le spectateur n'en reste pas moins émerveillé grâce aux amitiés qui se créent entre les élèves, mais surtout grâce à l'amitié qui se crée entre les élèves et le professeur John Keating incarné par Robin Williams. On est de plus touché par les divers personnages véritablement attachants et par la gentillesse de ce professeur John Keating. Ce professeur n'a que pour but de voir les étudiants à qui il enseigne la littérature, d'atteindre une maturité suffisante pour accepter la vie comme elle vient et de surtout pouvoir tenter de préparer un avenir comme ils en rêvent. Mais cette éducation va, d'une part, à l'encontre de la volonté des parents qui prévoient un avenir tout tracé à leurs enfants, et d'autre part à l'encontre de cette école figée par des valeurs qui existent depuis très longtemps.
Ce professeur subversif apparaît donc comme une menace autant pour l'école que pour les parents. A partir de là, le film nous plonge dans un univers particulièrement dramatique où l'on découvre un professeur qui souhaiterait voir les mentalités évoluer, mais qui est pourtant étouffé par les préjugés et les regards qui le cataloguent comme un marginal et entre des élèves gérés par une institution vieux jeu et qui ne se préoccupe pas de leur choix. Par cette intensité dramatique qui découle de la description de personnages, loin de nager en plein bonheur, le film s'approprie un caractère émotionnel très fort. Le film possède tout de même une petite note d'humour très agréable, subtilement apportée par ce professeur Keating.
De plus, le réalisateur filme avec une grande finesse et beaucoup de justesse son film et nous plonge dans un univers toujours plus émouvant grâce à des personnages sincères et qui évitent de tomber dans la caricature.
Ces personnages sont, en plus, brillamment interprétés par des acteurs éblouissants tels que Robin Williams (Madame Doubtfire, Insomnia) qui nous offre sa meilleure prestation, Robert Sean Leonard (Beaucoup de bruit pour rien, Memories) qui se montre véritablement touchant ou Ethan Hawke (Training day, Assaut sur le central 13) qui est épatant dans l'un de ses premiers rôles au cinéma.
Genre : Comédie dramatique
Synopsis : Todd Anderson, un garçon plutôt timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton, réputée pour être l'une des plus fermées et austères des Etats-Unis, là où son frère avait connu de brillantes études.
C'est dans cette université qu'il va faire la rencontre d'un professeur de lettres anglaises plutôt étrange, Mr Keating, qui les encourage à toujours refuser l'ordre établi. Les cours de Mr Keating vont bouleverser la vie de l'étudiant reservé et de ses amis...
Durée : 2h08
Sortie cinéma française : 17 janvier 1990
Sortie DVD française : Septembre 2003, DVD édition simple
Nationalité : Film américain
Tous publics
Peter Weir a réalisé un magnifique film véritablement poignant et émouvant qui nous propose une histoire très touchante sur les institutions, les universités et les idées figées et fermées de l'époque.
Le Cercle des poètes disparus apparaît comme un film qui sans tomber dans la morale, donne une très belle leçon de vie, et sans tomber dans le mélo nous émeut largement, notamment grâce au portrait de personnages attachants et par l'arrivée d'un professeur marginal qui perturbe les valeurs de cette école figée et offre un point de vue novateur à ces jeunes dominés par des idées très autoritaires. Le film est d'autant plus prenant et qu'il est composé d'acteurs brillants et très largement épatants et que l'on retrouve Robin Williams dans l'un de ses meilleurs films.
Le Cercle des poètes disparus est un film bouleversant qui ne peut laisser indifférent personne.
Note film : 5/5
Après Le printemps du cinéma, La fête du cinéma et Ciné-cool, la Fédération Nationale des Cinémas Français, à nouveau en partenariat avec BNP PARIBAS présente un nouvel évènement qui vise à accueillir le plus de gens dans les sales : La rentrée du cinéma.
Le concept de La rentrée du cinéma est très simple : Pour une place achetée au plein tarif, une place vous est offerte. C'est à dire que si vous voulez profitez de cet évènement, vous devez y aller à deux.
La bande annonce de cet évènement et nous présente quelques comiques tels que Elie Semoun ou Titoff dans des numéros bien sympathiques.
Cet évènement vous donnera l'occasion de voir des films qui semblent prometteurs comme Dark water, qui est déjà très apprécié par la presse, Broken flowers, un film avec Bill Murray, le film coup de poing Collision ou encore De l'ombre à la lumière, le nouveau film de Ron Howard.
Cet évènement vous permettra bien évidemment de vous rattraper et de voir quelques films incontournables de cet été s'ils sont toujours à l'affiche tels que Charlie et la chocolaterie ou La guerre des mondes.
Pour en savoir plus : Site officiel de La rentrée du cinéma
Bon cinéma à tous!
Théo
Le concept de La rentrée du cinéma est très simple : Pour une place achetée au plein tarif, une place vous est offerte. C'est à dire que si vous voulez profitez de cet évènement, vous devez y aller à deux.
La bande annonce de cet évènement et nous présente quelques comiques tels que Elie Semoun ou Titoff dans des numéros bien sympathiques.
Cet évènement vous donnera l'occasion de voir des films qui semblent prometteurs comme Dark water, qui est déjà très apprécié par la presse, Broken flowers, un film avec Bill Murray, le film coup de poing Collision ou encore De l'ombre à la lumière, le nouveau film de Ron Howard.
Cet évènement vous permettra bien évidemment de vous rattraper et de voir quelques films incontournables de cet été s'ils sont toujours à l'affiche tels que Charlie et la chocolaterie ou La guerre des mondes.
Pour en savoir plus : Site officiel de La rentrée du cinéma
Bon cinéma à tous!
Théo
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