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Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!

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cine-world

Description :

Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD

Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.

Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance






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Le nouveau James Bond a un nom!

Le sixième acteur de la saga James Bond

Cela faisait des mois que l'on entendait des échos quant à l'acteur qui incarnerait le personnage James Bond dans le prochain film de la célèbre saga créée il y a plus de vingt ans.

Après Sean Connery, Roger Moore ou Pierce Brosnan, c'est l'acteur Daniel Craig qui incarnera le prochain James Bond dans le 21ème long métrage de l'agent 007, intitulé Casino Royale, qui sera d'ailleurs réalisé par Martin Campbell, à qui l'on doit GoldenEye ou Le Masque de Zorro.

L'acteur britannique Daniel Craig n'est pas un acteur très connu en France, mais il a déjà remporté des prix pour ses interprétations dans The mother (2004) ou Layer cake (2005) et a tout de même participé à des grosses productions hollywoodiennes telles que Lara Croft : Tomb raider (2001) ou Les Sentiers de la perdition (2002).



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Le sondage de la semaine sera donc un petit peu différent des autres car cette fois-ci, je vous invite à me faire part de votre avis sur le choix de l'acteur qui va incarner James Bond et à me dire quel acteur vous auriez souhaité voir dans la peau du célèbre agent secret ou quel acteur vous semble avoir le charisme et le charme nécéssaire?

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#Posté le lundi 17 octobre 2005 13:13

Modifié le lundi 17 octobre 2005 18:40

Six Lara Corft enfermées dans une grotte!

The Descent
de Neil Marshall

Le cinéaste britannique Neil Marshall, réalisateur du film d'horreur moyennement apprécié Dog soldiers, sorti en 2002 sur les écrans français, revient avec un second film dans la lignée de l'œuvre qui lui a permis de se faire remarquer, à savoir un film d'épouvante.
Néanmoins, après s'être inspiré de l'univers de la guerre pour créer une ambiance de film d'horreur, qui mettait en avant six soldats en proie à des créatures sanguinolentes, le réalisateur délaisse les personnages virils du premier film pour nous proposer de suivre six jeunes femmes séduisantes enfermées dans une grotte terrifiante pour une véritable descente aux enfers, d'où le nom du film, The descent.

Vu les critiques élogieuses de la presse quant à ce film en le caractérisant de référence dans le genre et en le classant parmi les meilleurs films d'horreur de ces derniers temps, le spectateur attendait beaucoup de The descent, sans doute trop d'ailleurs. Malheureusement, le résultat ne semble pas à la hauteur et l'on cherche d'ailleurs en quoi le film est si révolutionnaire.
En effet, il ne l'est pas du tout et se dévoile plutôt dans la lignée de tant de films du genre déjà vus et revus au cinéma. On peut d'ailleurs commencer par parler du scénario, qui ne se révèle ni original, ni surprenant ni même vraiment très recherché. Celui-ci ne se distingue pas des films d'épouvante habituels et se déroule de manière très prévisible tout en suivant un schéma de base très linéaire dont le spectateur peut largement prédire les évènements à venir.

De ce fait, le spectateur n'est jamais réellement surpris par l'histoire puisque, s'inspirant de nombreux films, The descent sent le réchauffé et n'apporte guère d'originalité à sa narration. On peut tout de même préciser que la fin se différencie un peu de ce que l'on a vu et que l'on se pose des questions pour tenter de bien comprendre le dénouement, qui reste, néanmoins, ambigu. En plus d'un scénario qui n'est pas très recherché, le film accumule les clichés, ce qui atténue encore l'intérêt que l'on peut porter au film. La maison perdue au beau milieu de nulle part, les bruits étranges, les personnages toujours curieux d'en savoir plus et les personnages stéréotypés ne nous sont pas épargnés.

Les personnages rassemblent, en effet, beaucoup de stéréotypes, ce qui agace relativement le spectateur. Pourtant, on sent que le réalisateur tente à plusieurs reprises que le spectateur s'identifie aux personnages pour être plus ancrés dans le film et plus tendus. Mais, même si The descent est production britannique, les personnages apparaissent comme caricaturaux et stéréotypés, tels ceux que l'on peut voir dans les films américains. De plus, chacune des femmes ont leurs particularités dignes des séries télévisées. On retrouve notamment la sportive qui connaît tout, la rebelle un peu gothique, l'étudiante en médecine, la meilleure amie dévouée, la fille bien sage ou encore celle qui est censée faire rire. On croirait voir un défilé de Spice Girls, c'est navrant. Bien évidemment, les tentatives pour que le spectateur s'identifie aux personnages échouent devant ces filles stéréotypées et complètement creuses et niaises.

Ces personnages semblent encore plus énervants et surtout moins crédibles que ces derniers agissent de manière complètement irresponsable et ne prennent aucune mesure de sécurité, malgré leur soit disant statut. Inutile d'être professionnel pour s'en rendre compte, derrière leur fausse assurance, ces femmes agissent comme des amateurs et ne font aucun effort pour crédibilser leurs personnages. A moins d'être totalement stupide, il semble logique que, même dans le cas de sports extrêmes, l'on s'y connaisse un minimum et l'on ne part pas en excursion sans précaution. Il est également très difficile de s'identifier à ces femmes lorsqu'elles se transforment en Hulk et qu'elles pulvérisent, à deux, une dizaine de créatures féroces, voire plus.

Mais, ce qui déçoit le plus dans ce film semble bien évidemment le fait que le spectateur ne soit jamais effrayé et qu'il ne sursaute pas à un seul moment. En raison d'une trame particulièrement prévisible, mais surtout d'un déroulement que l'on peut entirèrement deviner, le film ne fait jamais peur et il est rare que l'on soit surpris. De plus, si un rebondissement pouvait peut-être nous surprendre, il n'arrive pas à nous effrayer parce que les musiques, dignes d'un téléfilm diffusé à 22 heures, nous annoncent tout ce qui va se passer à l'avance. Et puis, les longs silences nous en disent tout autant, puisqu'ils s'interrompent juste au moment où l'on devrait sursauter.

Si l'on peut énumérer un tas de lacunes, The descent n'est pourtant pas raté et arrive à captiver le spectateur et à ne jamais l'ennuyer même s'il n'est jamais imprévisible et si l'on devine plus ou moins le tout. Le spectateur se prend ainsi au jeu et, sans jamais être terrifié, ne décroche pourtant pas des deux heures de projection.
Si The Descent n'atteint pas son premier objectif, celui de terroriser le spectateur, il arrive cependant à mettre mal à l'aise et à le plonger dans un sentiment d'angoisse. Ce malaise est créé grâce à une ambiance morbide, oppressante et dérangeante qui découle d'une mise en scène exceptionnelle et d'une photographie ultra sombre où il est difficile de percevoir la moindre chose.

Cette mise en scène très travaillée et très soignée s'accompagne de scènes très gores et trash qui devraient plaire aux amateurs du genre en n'omettant pas de montrer des choses relativement crues et très sanglantes. Si les amateurs du gore sont ravis, les autres risquent d'être mal à l'aise devant des images nauséabondes et la surenchère de sang coulant flot.
La réussite du film passe surtout par le fait d'instaurer une ambiance sombre et particulièrement pesante où l'on étouffe et où l'on devient rapidement claustrophobe. Cette ambiance de claustrophobie se montre relativement insoutenable et difficile à supporter.

Genre : Epouvante-horreur
Synopsis : En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique.
Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour. Alors qu'elles tentent de trouver une autre issue, elles réalisent qu'elles ne sont pas seules. Quelque chose est là, sous terre, avec elles... Quelque chose de terriblement dangereux décidé à les traquer une à une...

Durée : 1h49
Sortie cinéma française : 12 octobre 2005
Nationalité : Film britannique
Interdit aux moins de 16 ans
Site officiel

Neil Marshall signe un film d'horreur qui n'arrive que rarement à effrayer le spectateur et ne le fait presque jamais sursauter. De plus, en raison d'une histoire éculée et trop prévisible, le résultat semble dépourvu de toute originalité.
Néanmoins, The Descent se montre très prenant et arrive à captiver le spectateur pendant près de deux heures sans jamais l'ennuyer, ce qui est déjà pas mal.
Si la peur ne se fait que rarement ressentir, le cinéaste tente de consoler le spectateur dans la surenchère de scènes gores, sanguinolentes et particulièrement dérangeantes. De ce fait, si la peur n'est que peu présente, l'intérêt est tout aussi réduit et l'on peut se demander à quoi cela sert-il de regarder un film très gore si ce n'est que pour donner la nausée?
En ce qui me concerne, je ne vois pas l'intérêt de regarder un film nauséabond juste pour le plaisir de ressortir de la salle écoeuré.

Note film : 2/5
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#Posté le vendredi 14 octobre 2005 08:25

Modifié le mardi 18 octobre 2005 17:33

Wallace et Gromit sur grand écran!

Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou
de Nick Park et Steve Box

Découvert par des millions de téléspectateurs sur le petit écran au début des années 1990, les aventures de Wallace, un inventeur qui ne vit que pour le fromage et Gromit, son fidèle chien aussi malin qu'attachant, ont rapidement eu un grand succès et passionné petits et grands.
Si Wallace et Gromit captivent les télé-spetateurs qui regardent, chaque année, les mêmes épisodes restreints à quelques courts métrages, ce n'est pas seulement en raison des situations tordantes dans lesquelles ils se mettent, mais ils sont surtout célèbres pour être fabriqués en pâte à modeler et pour évoluer dans un univers ou tout ou presque est également constituer de pâte à modeler.
Suite au succès de ces petits héros à la télévision et à l'accueil très chaleureux qu'a reçu Chicken run en 2000, film d'animation créé entièrement en pâte à modeler selon le même procédé utilisé pour créer les deux compères et tout droit sorti de l'imagination des créateurs de Wallace et Gromit, il était évident que les deux personnages auraient leur propre long métrages. Après avoir envahi les petits écrans, les deux hilarants personnages ont ainsi enfin leur propre film intitulé Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou, de quoi ravir les fans.

Il aura fallu attendre près de quinze ans pour que les créateurs de Wallace et Gromit se décident à adapter la série sur grand écran. Mais vu le résultat, l'attente n'aura pas été inutile puisque Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou apparaît comme un film brillant, réussi et simplement grandiose.
Le génie des deux réalisateurs se constate déjà dans le titre attribué au film. En effet, derrière le titre particulièrement intriguant, se cache le ton du film ainsi que son ambiance et nous indique clairement à quoi l'on peut s'attendre, à savoir une histoire passionnante, mystérieuse, à l'humour décalé et irrésistible.

D'autre part, le scénario démontre encore le talent des cinéastes puisque celui-ci a été rédigé avec le plus grand soin afin de proposer une histoire originale, sympathique, mais surtout captivante et remplie d'ingéniosité scénaristique qui surprennent le spectateur à de nombreuses reprises. Le spectateur suit ainsi une intrigue passionnante où l'on est plongé en plein mystère et où les questions se multiplient durant le film. On a beau se retrouver devant un film d'animation, le scénario se montre très recherché qui induit le spectateur en erreur en l'emmenant dans diverses fausses pistes et en laissant le suspenses à son comble quant à l'identité du lapin-garou.

En plus de ce scénario passionnant et véritablement bien mené, Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou apparaît comme un bel hommage aux films noirs d'antan, aux polars, aux cinéma d'épouvante des années 1940/50 ou encore aux films fantastiques qui ont marqué les mémoires dans ces mêmes années. On se rend compte, de ce fait, de tout le talent des cinéastes qui incluent à leur oeuvre, bon nombre de références aux films cultes en parodiant certaines scènes ou en faisant des petits clins d'oeil. Difficile de ne pas crier au génie tant le spectateur prend plaisir à retrouver certaines des scènes du cinéma d'horreur se retrouver dans l'univers de Wallace et Gromit, ou à voir un immense lapin faire des acrobaties à la manière de King Kong.

Pour se rapprocher au mieux des films dont ils s'inspirent, les cinéastes mettent en place une ambiance sombre et oppressante à la manière de celle des films d'horreur ou des films noirs, qui de surcroît se révèle magnifique et octroie u film une esthétique sublime et de grande qualité. Cette esthétique éblouissante est d'ailleurs amplifiée par des décors extraordinaires et tout aussi beaux, minutieusement réalisés, avec grand soin et beaucoup de précision, à l'aide e pâte à modeler et de divers matériaux. Encore une fois, le spectateur reste ébahi devant le résultat simplement épatant qui a d'ailleurs demandé près de cinq ans de fabrication d'éléments de décors et de personnages.

Par ailleurs, le film se dévoile encore plus prenant et plus captivant grâce à des aventures trépidantes qui ne laissent aucun répit au spectateur et lui proposent, au contraire, des cascades hallucinantes et des scènes d'action plutôt impressionnante. En plus de ces rebondissement, Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou comporte une bonne dose d'humour so british et particulièrement déjanté qui finit par donner des crampes au niveau de la machoir tant on est hilare devant les situations abracadabrantes délirantes et les gags simplement irrésistibles. L'humour de ce film d'animation se montre d'ailleurs comme un humour très subtil puisque l'on peut le prendre à différents degrés tant pour plaire aux enfants qu'à leurs parents et grâce à des jeux de mots recherchés qui ne cessent d'accroître le ton ultra comique du film.

Finalement, le film s'accompagne de personnaghes toujours plus extravagants, plus déjantés et plus atypiques les uns que les autres pour offrir au spectateur un spectacle encore plus hilarant et plus déjanté. De plus, la célèbre musique de la série originale ainsi que les multiples inventions de Wallace sont présentes pour nous rappeler les épisodes que l'on adorait tant, mais surtout pour nous distraire et nous faire sourire.

Genre : Animation
Synopsis : Une "fièvre végétarienne" intense règne dans la petite ville de Wallace et Gromit, et l'ingénieux duo a mis à profit cet engouement en inventant un produit anti-nuisibles humain et écolo, qui épargne la vie des lapins. L'astuce consiste simplement à capturer, à la main, un maximum de ces rongeurs et à les mettre en cage.
A quelques jours du Grand Concours Annuel de Légumes, les affaires de Wallace et Gromit n'ont jamais été aussi florissantes, et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, si un lapin-garou géant ne venait soudain s'attaquer aux sacro-saints potagers de la ville. Pour faire face à ce péril inédit, l'organisatrice du concours, Lady Tottington, se tourne vers nos deux "spécialistes" et leur demande d'appréhender le monstre.

Durée : 1h25
Sortie cinéma française : 12 octobre 2005
Nationalité : Film britannique
Tous publics
Site officiel

Pour le passage au grand écran de Wallace et Gromit, les créateurs Nick Park et Steve Box nous propose une petite merveille cinématographique tant visuelle qu'au niveau du scénario.
Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou se révèle en effet comme un film passionnant et hilarant, mais surtout très inventif, très créatif et diffère un peu des productions animées actuelles, presque toutes en images de synthèse qui résultent de la course au numériques que tous les studios se sont lancés.
Quoiqu'il en soit, les aventures de Wallace et Gromit sont passionnates, pleines d'humour et surtout contiennent de nombreuses références à des films cultes que tous les cinéphiles prendront un plaisir à tenter de repérer.
De plus visuellement, c'est simplement splendide et l'on ressent tout le travail minutieux qui a été nécessaire.

Un film brillant, trépidant, passionnant et hilarant. Mais à quand la suite??

Note film : 4/5
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#Posté le jeudi 13 octobre 2005 13:16

Modifié le vendredi 14 octobre 2005 08:17

Agnès Jaoui au grand coeur!

La Maison de Nina
de Richard Dembo

Décédé durant le montage de son dernier film, Richard Dembo, à qui l'on doit La Diagonale du fou, n'a pas eu l'occasion de voir son œuvre achevée, à savoir La Maison de Nina, son troisième et dernier long métrage mettant en avant la remarquable Agnès Jaoui, figure incontournable du cinéma français.
Avec l'actrice figurant au casting, un thème fort et une bande annonce prometteuse, inutile de préciser que beaucoup attendaient de ce film une véritable merveille.

Malheureusement, La Maison de Nina n'atteint pas tous ses objectifs et laisse dans notre esprit une petite impression de déception, mais une légère, très légère impression tout de même. Pourtant, ce n'est pas la conséquence d'un scénario très léger ou bâclé. En effet, celui-ci traite d'un thème aussi intéressant que bouleversant et ne peut donc laisser indifférent personne. De plus, bien que l'originalité ne constitue pas le principal atout de ce film, puisque le thème de la seconde guerre mondiale et de la condition des juifs a été maintes fois abordé au cinéma, il n'en reste pas moins un sujet fort et admirablement bien traité au travers d'une histoire très belle, très touchante et étudiée avec beaucoup de sensibilité.

De plus, La Maison de Nina a le mérite de présenter au spectateur une autre facette de la guerre tout aussi dramatique, tout aussi choquante et tout aussi bouleversante. On ne voit donc jamais aucune scène de grande violence, de guerre ou de combat, mais on découvre la volonté d'une femme de participer passivement à cette guerre, en hébergeant dans son Auberge, sa maison, beaucoup d'enfants et d'adolescents juifs qui ont échappé aux nazis, ou rescapés de camps de concentration.

Si aucune scène n'est choquante et ne montre pas de manière crue la guerre, le discours du film n'en demeure pas moins bouleversant et dérangeant. Le film s'accorde donc à dévoiler au spectateur l'état d'esprit de ces jeunes réfugiés juifs. La Maison de Nina apparaît donc comme une oeuvre plus psychologique que visuelle et arrive tout autant à interpeller le spectateur avec des analyses très approfondies et particulièrement bouleversantes de la personnalité de chacun de ces jeunes, traumatisés à vie.

Inutile de dire que le spectateur ne peut pas résister à l'émotion dégagée par ces enfants et ces jeunes adultes qui ont du faire face à l'horreur et qui tantôt passent de la larme de joie à la larme de désespoir. En outre de ces états d'esprit fragilisés par une guerre antisémite simplement inhumaine, le cinéaste nous propose, avec beaucoup de tendresse, de suivre la difficulté de la cohabitation, de la vie en communauté qui résulte des différences culturelles, des habitudes de chacun et de la diversité des caractères.

Sous ses airs de chamailleries, les enfants traduisent leur volonté de penser à autre chose, de se préoccuper de problèmes secondaires, mais découle surtout du désespoir, de la tristesse et de leurs histoires personnelles, composées des pires atrocités qui leur ont enlevé toutes possibilités d'avoir une enfance joyeuse et heureuse. L'histoire est donc bouleversante et l'on est constamment touché durant le film par les personnages aussi complexes que déboussolés ou perdus.

Néanmoins, au beau milieu de cette horreur et de cette période de désespoir, des personnages sont là pour tenter de redonner de l'espoir et redonner le sourire. Ce personnage remarquable et très humain, Nina une femme dévouée aux autres, apparaît sous les traits de Agnès Jaoui (Un air de famille, Comme une image) qui n'a jamais été aussi bouleversante et touchante et que l'on sent surtout très investit dans son rôle. Tous les autres acteurs font preuve de tout autant d'humanité et arrivent à toucher le spectateur du plus profond de son coeur en nous offrant des prestations magistrales autant de la part des petits que des grands. A noter également la prestation émouvante et sans fausse note Vincent Rottiers (Les Diables, Mon ange), à qui l'on prédit une longue carrière. Après nous avoir touché dans Les Egarés et nous avoir émerveillé dans Un long dimanche de fiançailles, Gaspard Ulliel interprète, encore une fois, à la perfection un personnage troublant et touchant.

Pourtant, malgré un thème fort et bouleversant, des acteurs tous exceptionnels et un ton dramatique très présent, La Maison de Nina n'arrive pas à passionner le spectateur parce qu'il manque une certaine âme au film. Si celui-ci est très souvent émouvant, cette émotion s'efface devant la musique, certes belle, mais trop lourde et censée créer des passages larmoyants.
De plus, malgré des décors magnifiques et une retranscription historique très fidèle, la mise en scène trop académique et très classique donne une impression de travail inachevé, mais surtout nous propose un film complètement impersonnel et dénué de scène qui se distingue du lot.
Il est d'autant plus dommage que le film perde encore de sa passion en raison d'une narration très lente et parfois ennuyeuse.

Genre : Drame
Synopsis : Créées dans l'urgence de la Libération, les maisons d'enfants ont accueilli, dès 1944, les gamins sans famille, cachés dans la France profonde puis, dès juin 1945, les enfants déportés, survivants des camps de concentration. Des milliers d'enfants s'y sont reconstruits...
L'action de notre film se déroule entre septembre 1944 et janvier 1946. En racontant l'apprentissage de l'espoir, comment revivre après la catastrophe et l'anéantissement, ce film ne parle pas du passé mais de l'avenir. C'est un hymne à la vie et au bonheur d'être vivant.

Durée : 1h50
Sortie cinéma française : 12 octobre 2005
Nationalité : Film français
Tous publics
Site officiel

Richard Dembo signe un film poignant, simplement bouleversant, et vraiment très émouvant. De plus, avec des acteurs très impressionnants et plein de talent, le film touche énormément le spectateur en raison de prestations dotées de beaucoup d'humanité et d'émotion qui retranscrivent brillamment l'état d'esprit des personnages du films très attachants et très touchants.
Avec son thème fort et son histoire bouleversante, La Maison de Nina apparaît comme un film qui interpelle le spectateur et qui rend hommage aux personnes qui ont géré ce genre d'établissements, où les enfants et les adolescents juifs pouvaient se réfugier.
Malheureusement, le film manque de personnalité, d'âme et se compose d'une mise en scène trop classique pour véritablement passionner le spectateur puisque l'on se retrouve ainsi devant une histoire, certes, émouvante mais que l'on perçoit plus comme une narration extérieure aux personnages qu'une histoire vécue. De ce fait et en plus d'un manque de rythme, on ne ressent aucune véritable passion.

Note film : 3/5
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#Posté le mercredi 12 octobre 2005 01:23

Modifié le jeudi 13 octobre 2005 13:04

Votre film préféré avec Morgan Freeman!

Morgan Freeman est diplômé du lycée de Greenwood, dans le Mississippi. A dix-huit ans, il s'engage dans l'Air Force et, une fois ses obligations militaires accomplies, s'installe en Californie pour étudier la danse et l'art dramatique au Los Angeles City College. C'est à Broadway qu'il fait ses débuts de comédien en 1967 dans la reprise de Hello Dolly ! avec Pearl Bailey. La même année, il se fait remarquer, toujours au théâtre, pour son interprétation dans The Nigger lovers aux côtés de Stacy Keach et Viveca Lindfors. A la télévision, c'est en incarnant le personnage populaire et récurrent d'Easy Rider dans la série The Electric company qu'il se fait connaître du public américain.

Morgan Freeman s'impose sur le tard au cinéma. En 1987, son rôle de Fast Black dans La Rue lui vaut de nombreuses récompenses (Prix du Meilleur second rôle masculin par les New York Film Critics, les Los Angeles Film Critics et la National Society of Film Critics), ainsi qu'une nomination aux Golden Globes. Il fait mieux avec Miss Daisy et son chauffeur, qui lui permet de remporter en 1990 un Golden Globe, un Ours d'argent et une nomination aux Oscars pour sa prestation de chauffeur noir. Dès lors, il enchaîne les succès commerciaux comme Glory (1989) de Edward Zwick, Robin des Bois, prince des voleurs (1991) de Kevin Reynolds ou encore Impitoyable (1992) de Clint Eastwood.

On lui confie souvent des personnages qui s'illustre par leur sagesse et leur détermination : il est le juge Leonard White dans Le Bûcher des vanités (1991), le prisonnier modèle dans Les Evadés (1995), le détective lucide et expérimenté face à l'impétueux Brad Pitt dans Seven (1996), le Président des Etats-Unis dans Deep impact (1997), le tenace inspecteur interrogeant Gene Hackman dans Suspicion (2000), le supérieur hiérarchique de l'analyste de la CIA Jack Ryan (Ben Affleck) dans La Somme de toutes les peurs (2002) ou encore l'artiste aveugle prenant sous son aile Jet Li dans Danny the dog (2004). C'est en campant le profiler Alex Cross dans Le Collectionneur (1997) et Le Masque de l'araignée (2001) que Morgan Freeman retrouve un rôle de tout premier plan.

Par ses choix d'acteur, il fait preuve d'un engagement politique certain. Prenant fait et cause pour la population noire-américaine, il incarne Malcom X à la télévision dans Death of the prophet (1981), un abolitionniste dans Amistad (1997), et dénonce les horreurs de l'apartheid dans Bopha ! (1993), son premier film en tant que réalisateur. Parallèlement à ses rôles de vieux sages, il tente de diversifier son jeu en apparaissant là où on ne l'attend pas : truand sauvage dans Nurse Betty (2000), il est un colonel aux ambitions troubles dans Dreamcatcher, l'attrape-rêves (2003), voire Dieu dans la comédie Bruce tout puissant. A 68 ans, il obtient enfin la reconnaissance de la profession en remportant l'Oscar du Meilleur second rôle masculin pour sa prestation d'ancien boxeur borgne dans Million dollar baby (2005) de son fidèle ami Clint Eastwood.

Désolé, pour la seconde fois, ce n'est pas moi qui ait rédigé les biographies des acteur parce que je manque un peu de temps à cause de mon travail perso pour les cours. La biographie de l'acteur provient du site Allociné

En ce qui me concerne, Morgan Freeman fait parti de mes acteurs préférés et j'aime énormément de films dans lesquels il a joué et il m'a impressionné. Mais, le film qui m'a le plus bouleversé et le plus ému autant par l'histoire que par sa prestation reste bien sûr Million dollar baby.


IIIIIIIIIIIIIII Million dollar baby (2005) 15

IIIII Seven (1996) 5

III Bruce tout-puissant (2003) 3

III Robin des Bois, prince des voleurs (1991) 3

II Les Evadés (1995) 2

I Danny the dog (2005) 1

I Impitoyable (1992) 1
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#Posté le mardi 11 octobre 2005 13:22

Modifié le mardi 20 décembre 2005 08:42

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