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Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!

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Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD

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8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
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18) L'affaire Josey Aimes
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L'un des chef d'oeuvre de 2005...

Mysterious skin
de Gregg Araki

Genre : Drame
Durée : 1h39
Sortie cinéma française : 30 mars 2005
Nationalité : Film américain
Interdit aux moins de 16 ans

A huit ans, Brian Lackey se réveille dans la cave de sa maison, le nez en sang, sans aucune idée de ce qui a pu lui arriver. Sa vie change complètement après cet incident : peur du noir, cauchemars, évanouissements...
Dix ans plus tard, il est certain d'avoir été enlevé par des extraterrestres et pense que seul Neil Mc Cormick pourrait avoir la clé de l'énigme. Ce dernier est un outsider à la beauté du diable, une petite frappe dont tout le monde tombe amoureux mais qui ne s'attache à personne.
Il regrette encore la relation qu'il avait établie avec son coach de baseball quand il avait huit ans. Brian tente de retrouver Neil pour dénouer le mystère qui les empêche de vivre.


Connu par une infime partie de spectateurs et plus largement par la presse spécialisée et les cinéphiles avertis, le cinéaste américain d'origine asiatique Gregg Araki s'est composé une filmographie dont les oeuvres s'intéressent presque toute à l'homosexualité. Mais le cinéaste accompagne systématiquement ce thème, qui connaît une émergence aujourd'hui dans le monde du cinéma, mais que Araki a abordé bien avant tout le monde et très tôt, d'une profonde réflexion qui doit d'ailleurs induire le spectateur à l'ouverture d'esprit et à comprendre ou alarmer.
Après des oeuvres qui ne connaissent que véritablement de succès auprès de la critique et de différents festivals dédiés au cinéma, ainsi que après quelques films très controversés pour ses côtés choquants, le cinéaste revient, en 2005, avec Mysterious skin, un film qui marque apparemment une rupture avec ses oeuvres précédentes tout en traitant, bien évidemment, encore de l'homosexualité.

Le nouveau film de Gregg Araki - Nom qui se dissimule sous les casquettes de réalisateur, producteur et scénariste - révèle l'énorme talent de ce metteur en scène atypique, que le spectateur peut découvrir, avec passion, tout au long de ce petit bijou cinématographique. Et parler de bijou n'est encore, de loin, pas suffisant pour qualifier cette oeuvre magistrale qui repose, tout d'abord, sur un scénario intelligent, fort et particulièrement bien maîtrisé du début à la fin. En effet, à partir d'une histoire très troublante et surtout très poignante, Araki sait comment susciter l'attention du spectateur pour aborder des thèmes difficiles, graves et insoutenables, notamment en faisant appel à l'émotion la plus intense qui est enfuit en chacun de nous et qui ne peut rester endormie plus longtemps à la vision d'une oeuvre aussi bouleversante. Avec une délicatesse impressionnante et une justesse des plus déconcertante, le cinéaste traite ainsi de l'homosexualité et de son affirmation, de même que de son rejet au cours de l'histoire, et argumente son récit en prenant à témoin des réactions qui différent. Cependant, c'est par la dénonciation de la pédophilie qui s'éloigne de la facilité de narration à laquelle on nous a habitué pour ce genre de drames, et qui dépeint une pédophilie troublante car les personnages décrits ne suivent pas le schéma manichéen de la victime et du criminel, que ce film prend toute son ampleur. De ce fait, Mysterious skin apparaît également comme un témoignage de l'enfance bafouée et mutilée, et en découle ainsi une thèse sur les conséquences catastrophiques d'un avenir incertain ou simplement qui rime avec impossibilité de trouver le bien-être et la satisfaction personnelle. Paradoxalement à la monstruosité et à l'atrocité du thème abordé, dont on reste bouleversé et mal à l'aise face à celui-ci, Gregg Araki réalise avec beaucoup de lyrisme et de poésie son film, en optant pour une narration sublime et passionnante et sur une mise en scène simple, sobre et sombre. C'est grâce à ce procédé que le film semble emprunt d'un réalisme exceptionnel, qu'il règne une ambiance de malaise et que l'on est encore plus bouleversé, retourné et révolté lorsque le cinéaste aborde le thème de la prostitution. Exempt de toute morale, le cinéaste montre que si la prostitution est bien dangereuse, il ne souhaite pas en faire un débat ici, car elle n'est pas, dans ce cas, la source d'un mal-être, mais elle permet au contraire, au personnage d'isoler les souvenirs de son enfance meurtrie, bien loin, afin de ne pas y penser, tandis qu'un autre refoule ses souvenirs et s'invente les théories les plus farfelues pour ne avoir à s'expliquer les évènements atroces survenus lors de son enfance. Mysterious skin se dévoile donc comme un film très psychologique où tout repose sur les personnalités de chacun et notamment des deux protagonistes principaux qui n'arrivent pas à trouver le bonheur et qui sont constitués des blocages similaires. Pour faire de ce film, une oeuvre sublime en tous points, on peut encore citer chacun des acteurs qui excellent et qui font preuve d'un talent époustouflant. Joseph Gordon-Levitt (Halloween, 20 ans après, 10 Bonnes Raisons de te larguer) et Jeffrey Licon sont simplement exceptionnels et très convaincants dans leurs rôles de jeunes adultes meurtris. Il n'y a aucune fausse note dans le reste du casting qui sont tous brillants. Finalement, Mysterious skin se dévoile comme une oeuvre splendide, émouvante, et marquante qui bouleverse le spectateur avec son histoire déroutante, mais plausible, avec son rythme lent et avec sa musique magnifique. Ce film se présente comme un petit chef d'oeuvre dont on ne ressort, toutefois, pas indemne.

Note film : 5/5

Mysterious skin de Gregg Araki Genre : Drame Durée : 1h39 Sortie cinéma française : 30 mars 2005 Nationalité : Film américain Interdit aux moins de 16 ans A huit ans, Brian Lackey se réveille dans la cave de sa maison, le nez en sang, sans aucune idée de ce qui a pu lui arriver. Sa vie change complètement après cet incident : peur du noir, cauchemars, évanouissements... Dix ans plus tard, il est certain d'avoir été enlevé par des...

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#Posté le jeudi 02 février 2006 05:11

Modifié le samedi 04 février 2006 10:22

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gollumalex, Posté le mercredi 28 juin 2006 10:31

putain je veu tro le voir celui la


Rose, Posté le samedi 01 avril 2006 14:50

Film COUP DE POING
Scènes chocs ( prostitution )et crues mais qui reflètent une triste et sinistre réalité. Un chef d'oeuvre bouleversant. Film que je ne reverrais pas parce que je ne l'oublie tjrs pas ( comme REQUIEM FOR A DREAM )


commeauciinema, Posté le jeudi 16 février 2006 12:54

salut, tavais laissé d com sur mon blog alor jme sui di ke jme devai de fair pareil, jador ce film oci..
o fait just une ptite remark sur t comme: tu di ke jdi tjs moué bof bien, et ke je done pas assez mon avis, ms bon toi tu sur tou les coms ke tu ma laissé c tjs pareil : boulversant magnifik prenant..ça fai un peu "tro" koi, surtou kan tu parle de la presatation d acteur alor ke t persone pr dir ça..voila pa mal le blog bonne continuation :)


Un ange venu du ciel, Posté le dimanche 12 février 2006 09:12

je tinvite a voir mon blog http://petitange282.skyblog.com
je te promet tu ne seras pas dessu !!!
au passage 10 com's mis = mm chose pour le tien voir + bisous jtaten avec impatience!


httpmerovingien02.skyblog.com, Posté le vendredi 10 février 2006 13:38

Gregg Araki a beau être un cinéaste doué et majeur du circuit indépendant, ses films ne parvenaient pas vraiment à se sortir de la case « gay branchos MTV sur la jeunesse qui se la joue faussement paumée ». Son esthétique soignée n'empêchait pas des débordements trashS certes plaisant mais révélant un cinéaste nihiliste au possible, bien que passionnant. Chose nouvelle : pour une fois, le scénario est tiré d'un livre et le sujet sensible marque d'emblée une orientation plus adulte et mature.


Et ça paye. Comme s'il était obligé de canaliser ses ardeurs déviantes, Araki fait preuve d'une plus grande rigueur, montre une vraie sensibilité (à ne pas confondre avec sensiblerie) et au final, livre son métrage le plus aboutit et le plus mature, partant pourtant sur une base similaire à tous ses autres opus (l'adolescence perdue). Le thème délicat sera traité de la même manière : avec délicatesse, sans tomber dans le pathos ni la diabolisation à outrance. Où comment 2 gamins abusés sexuellement vont gérer de leur propre manière le trauma. On ne se place pas du côté du bourreau et encore moins du côté des ligues de vertus prêtes à bondir pour dire que la pédophilie, c'est maaaaaaaaaaaaaaaaaaal. Non, Araki choisis le regard sans complaisance des victimes, offrant deux facettes d'une même personne (la victime de pédophilie) par l'intermédiaire de Neil, adolescent extraverti et Brian, adolescent introverti. Deux individus pour renforcer l'ambiguïté des relations avec le bourreau.
Le film se déroule sur une longue période, narré par les voix-off évoquant les tourments des héros. Selon que l'on passe sur Brian ou Neil, le traitement graphique sera différent. Pour Brian, le trauma (qui ne sera explicite qu'à la fin du récit) se manifeste par des trous noirs, comme une plongée dans la 4em dimension. Pour fuir ses démons, l'enfant à lunette se construit un délire où des extraterrestres (réminiscence du Nowhere d'Araki et annonçant déjà son prochain métrage de SF, « CrEEEEps ! »). A grands coups de merveilleux, de mystère OVNI et d'expériences sortis des X-Files, l'enfant assimile le viol de son corps mais aussi de son âme (voir son regard vide du début à la fin) à des expériences inconnues qui laisse des cicatrices non visibles dans son nez, là où une femme porte une marque sur la hanche. L'individu qui va le souiller n'a pas de visage dans un premier temps. Il n'est qu'une forme longiligne, flous, semblable à un OVNI, vision étrange causée par une perte des lunettes qui modifie par la même occasion le regard sur le monde. Le sexe, pour l'enfant, est comme un vaisseaux spatial qui survole sa maison : un monde inconnu. Un monde étrange nimbé de lumière bleuté, renvoyant aussi à la couleur associé aux garçons et dans lequel il est seul, ne parvenant même plus à assouvir ses désirs sexuels lorsqu'une fille se présente à lui.


En contrepoint, Araki pose la figure de Neil. Contrairement à l'autre, il n'est pas à première vue mal dans sa peau. Il n'est pas celui qui va se refermer sur lui-même mais plutôt celui qui va se révéler à lui-même. Précoce, le gamin va découvrir sa sexualité avec son entraîneur de baseball (le viril à tomber Bill Sage) et s'assumer. La relation qui le lie à l'entraîneur est bien entendu malsaine mais Araki évite l'aspect choc pour mieux déranger. Car Neil est, à l'inverse de Brian, vit très bien cette relation. S'il va de soit que l'enfant est manipulé par un homme bien plus détraqué que l'on croit (d'amour pédophile, il se révèle être encore plus détraqué, demandant carrément à être fisté par les enfants contre de l'argent), on s'aperçoit néanmoins que l'enfant aime encore plus son bourreau. Victime consentante, Araki ne peut s'empêcher de mettre le doigt là où ça dérange en adoptant le point de vue de l'enfant pour qui l'abus sexuel est vécu comme un jeu et une source de plaisir. La question n'est pas de savoir si l'entraîneur est amoureux de l'enfant (la réponse est des plus évidente) mais bien de voir si le gamin n'est pas lui aussi attaché à l'adulte. C'est finalement ça le plus dérangeant dans le film : le fait qu'un jeune gamin très précoce soit aussi attaché à un homme qui le manipule. Car au final, le gamin ne retient pas tant les jeux sexuels auxquels il s'est adonné avec plaisir (entraînant même d'autres enfants) que les moments de joie où les céréales pleuvent sur lui. On pourra ensuite à loisir disserter sur le fait que cette expérience sexuelle précoce ait complètement transformer Neil, faisant de lui un tapineur autodestructeur pris dans une spirale. Mais on pourra également se demander si ce n'est pas le fait que son histoire n'est pas durée qui l'a mené à s'autodétruire, l'entraîneur ayant disparu (partis ? En prison ? le film ne le précise pas pour mieux laisser libre cours aux interprétations). D'ailleurs, des propos même d'Araki, Mysterious Skin est une histoire d'amour. Et c'est finalement ça qui semble déranger : le fait qu'un gamin abusé puisse être heureux et amoureux avant l'âge. Polémique en vue.


Il serait d'ailleurs trop facile de dire que parce que Neil est abusé, il va forcément se mettre à tapiner. Bien entendu, le sexe et les jeux de l'enfance sont étroitement liés dans son esprit, au point de fixer des rendez-vous aux hommes dans un parc à enfants. Mais on oublierait alors qu'il y a des clients pour Neil, des clients qu'il s'est déjà tous fait 2 fois dans son bled. Ces clients ont-ils aussi leur propre histoire ? Sont-ils tous tellement en manque de sexe qu'ils doivent forcément aller voir Neil ? Et Neil ne prend-t-il finalement pas du plaisir à s'envoyer en l'air avec tous ces hommes en dépit des risques de morts qu'on lui martel et dont il se moque (on ignore même s'il va se prendre en main après le film) ? Il le dit lui-même : ce qui est arrivé cet été là fait partie de moi ». Il ne dit pas que c'est ce qui a fait l'homme qu'il est devenu. Si cette accumulation de queues sert à brosser le tableau d'une société à la dérive, allant crescendo dans les délires sexuels et les dangers encourus (bleus, morpions, sida, viol... Araki, t'était peut être pas obligé de surligner le message à ce point !), elle permet surtout de représenter l'homme comme un être déviant et perdu. Que ce soit le père absent auquel l'entraîneur se substitue ou le malade du sida qui ne cherche qu'un contact humain, le mec viril qui ne cherche qu'à se faire prendre comme une salope ou au contraire le type ultra violent qui confond fantasme avec réalité. Une vraie galerie de détraqués heureusement nuancée par le final onirique en forme de retour à l'innocence (chant de Noël à l'appuie). L'homme n'est finalement pas si perdu que ça, pouvant d'ailleurs compter sur le soutient d'une fille et d'un ami gay très efféminé. Si la génération adulte n'est pas capable de transmettre quoique ce soit à ses enfants, les enfants doivent se serrer les coudes pour ne pas suivre le même chemin (la neige tombe d'ailleurs lorsque Neil est avec Wendy, campé d'ailleurs par la toujours aussi craquante Michelle Trachtenberg).


Assez proche de Larry Clark et de son Ken Park, Gregg Araki livre un film touchant à ses thèmes de prédilections en délaissant ses tics habituels. Son film est beau sans être aussi voyant qu'avant (le scène de viol est tout sauf esthétique), dure sans être trashouille, pop sans être MTVisé. Et comme souvent chez Araki, le film est désespéré, les deux jeunes ne pouvant plus que disparaître du monde (la caméra s'éloignant et les faisant s'effacer dans le noir), ne saisissant la gravité de ce qui leur est arrivé que trop tard, ayant vécu une chose que le monde extérieur ne peut comprendre.


NOTE : 5/6


WonDer-Boy, Posté le lundi 06 février 2006 16:47

po vu non plu ='( [ inculte ]


Nina, Posté le lundi 06 février 2006 12:33

Un film que je veux voir !!

PS : OoOhhH Tu as mis Mon Jake chéri d'Amour en Photo ^^

cinemwaah.skyblog.com


charlotte, Posté le dimanche 05 février 2006 13:28

Ce film bien qu'il soit trés dur est trés bien joué, beau et touchant. Par ailleurs La bande son est magnifique et le concept trés bien pensé. Une perle a voiiiir!
--> comme-au-cinema.skyblog.com


Tarantinette, Posté le dimanche 05 février 2006 11:14

J'ai détesté ce film. Il m'a mis mal à l'aise, le sujet était trop fort pour en faire un film. On s'attend à tout et je ne peux pas croire à tout ça. Il y a des films bien plus subtils que cela sur le sujet. Des films beaucoup moins "voyeurs", avec des acteurs à la hauteur !


Tom, Posté le dimanche 05 février 2006 09:58

Je devrais le voir sous peu de temps!!!

amblin7


Ryan, Posté le dimanche 05 février 2006 06:52

slt, juste pour te dire que je t' ai ajouter à mes préf dans mon nouvo blog.

==> **hollywood-movies**<==
.skyblog.com


rudy, Posté le samedi 04 février 2006 12:49

Alors comme ça, ce film est un des chef d'oeuvre de 2005. Si j'ai l'ocas je le louerais en DVD.

--> steevestifler.skyblog.com
--> sondage-actors.skyblog.com (nouvel article)


cinemaniax, Posté le samedi 04 février 2006 11:26

Un sujet très dur abordé sans complaisance, sans pathos, et avec un excellent sens de la mise en scène, abordant chaque fois le scabreux sans tomber dans le voyeurisme : certaines scènes sont très choquantes, mais jamais dans ce qu'elles montrent, toujours dans ce qu'elles impliquent. Ainsi, paradoxalement, le sordide est traité avec pudeur, il en émane même parfois une certaine délicatesse (la scène du Vermeer). Le décalages entre les images et le propos renforce le côté sordides des actes dénoncés et nous fait nous poser une question : les chimères peuvent-elles définitivement masquer la réalité ? Le message souvent occulté dans ce genre d'affaire, se veut clair et implacable, les victimes pourtant innocentes, n'auront jamais de salut, et l'horreur subie les hantera à tout moment salissant à jamais leur futur. On s'attache facilement aux personnages grâce à des acteurs tous plus épatants les uns que les autres, en particulier l'excellent Joseph Gordon-Levitt et Michelle Tratchenberg. Mystérious Skin est un film cru, dur, dont on ne sort pas indemne.


sebtheking01.skyblog.com, Posté le samedi 04 février 2006 10:56

Au fait, j'ai établis un nouveau barême sur mon blog qui permet de donner ta propre note. A partir de là, je pourrai comptabiliser les notes des ciné blogueurs et en faire une note globale afin de voir la popularité du film (et d'en faire la pub lol).
Merci à toi d'avance!


www.sebtheking01.skyblog.com, Posté le samedi 04 février 2006 10:50

Tu m'avais demandé lors de ton dernier passage sur mon blog pourquoi j'étais contre ce film. Je t'ai fait un copié collé de ma critique rédigée il y a presque 1 an:

"Mysterious Skin est le film le plus dérangeant de tous les films que j'ai vu cette année et mme avant. Traitant du thème de la pédophilie à travers des scènes monstrueuses où un jeune garçon découvre le plaisir du sexe à l'âge de huit ans avec son entraîneur de base-ball, le réalisateur Greg Araki se prend un plaisir pervers à tourner ses scènes d'acte pédophile. C'est ignoble!! Et en plus de cela, il va plus fort avec la prostitution homosexuelle, pour chaque client de Neil, une scène est montrée. Bien sûr qu'il ne montre pas tout, nous ne sommes pas dans un réseau de films pédophiles à caractère pornographique, c'est ça qui choque encore plus le public. Bien sûr qu'il faut faire passer le message comme quoi cet acte sur les enfants est ignoble. En dehors de cela, on peut qd mme souligner une originalité de la linéarité scénaristique à travers, les flashbacks, les ralentis, et le parallélisme de l'histoire de 2 jeunes mecs qui ont vécus une mme histoire, et dont l'un des 2 traumatisé par les Extraterrestres va ccher à reconstituer un puzzle afin de mieux comprendre ses cauchemars. Au passage, cette idée d'E.T. n'est pas crédible. Bref Araki utilise bien la grammaire cinématographique mais pas à bon escient.
En conclusion un film minable, choquant, violent et pervers !!!!!!!!!!!!!!!!!!! J'en ai eu la nausée...."

En fait, ce que je veux dire par là c'est que j'ai été choqué par le fond de l'histoire et notamment par les actes pédophiles. Je ne trouve aucune émotion, aucune poésie sur une scène d'abus sexuel sur un gosse ! Peut-être j'aime trop les enfants et c'est une question de principe moral. Et je trouve qu'Arraki va trop loin avec la scène de prostitution entre le jeune et un séropositif! Quand je revois l'affiche du film, elle me fait frémir et elle m'hérisse. Je n'ai trouvé aucun message dans ce film !
Paradoxalement je ne renie pas la forme intelligible de Mysterious skin (scénario, montage, interprétation).
Beaucoup ont eu la même sensation que toi, et je respecte l'avis de chacun mais on oublie souvent le fond pour dire que Mysterious skin est un chef d'oeuvre.


dean, Posté le samedi 04 février 2006 10:41

oyé jvien de crer un blog sur le ciné moi aussi. chui pas tres original menfin si sa vs tente venez y jeter un oeil.

http://bartaba93.skyblog.com/


angelina, Posté le samedi 04 février 2006 10:21

j'aimerais bien le voir, je ne savais pas qu'il était sorti en DVD!


chrislynch, Posté le samedi 04 février 2006 09:59

Oui, il est déjà sorti en Belgique en DVD Benoît.


batman1985, Posté le samedi 04 février 2006 09:47

Je ne l'ai pas vu et malgré ce que tu en dis, je n'ai pas trop envie de le voir pour l'instant. D'ailleurs je ne sais pas si il est déjà sorti en DVD en Belgique!

Benoît


cinefan, Posté le samedi 04 février 2006 09:14

Entierrement d'accord ! Ce film est un petit chef d'oeuvre à voir à tout prix


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