Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD
Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.
Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance
Surfez bien! ;)
clochette, Posté le lundi 19 décembre 2005 18:40
jai bcp aimé et bcp rigolé
tte le s ref mon fait bcp rire
Eglan, Posté le vendredi 11 novembre 2005 15:57
J'adore les Wallace et Gromit !!! Ils sont vraiment excellents !! Mais manque d'argent de poche (snif...) je ne pourrais pas aller le voir !!
http://gavanza.skyblog.com
http://cinemafrancais.skyblog.com
hollyworldsky, Posté le mercredi 26 octobre 2005 13:12
trop bien ce film.
il l'ont trop bien réalisé
hollyworldsky.skyblog.com
httpcritiques-cinema.skyblog.com, Posté le mardi 25 octobre 2005 04:56
J'ai beaucoup aimé, mais ce film est plutôt adressé aux enfants !
kamipitt, Posté le lundi 17 octobre 2005 18:23
J'ai trop adoré! C'est un film intelligent malgré les apparences, j'ai été surprise de la tournure des événements plus d'une fois! lol
---> bradandco.skyblog.com
melou3969, Posté le lundi 17 octobre 2005 16:36
a lui j aimerai bcp le voir il a lair vrai bien
Alexis, Posté le dimanche 16 octobre 2005 14:00
je sais pas lequel de Chicken run et de celui là j'ai préféré mais une chose est sure c'est qu'il m'a bcp fait marrer et j'admire enormément la technique utilisée.
Yash75, Posté le dimanche 16 octobre 2005 12:34
J'aimerais trop aller le voir !!
yash75.skyblog.com
angelina, Posté le dimanche 16 octobre 2005 11:52
je sors tout juste du cinéma et que dire à part que c'est impressionant! impressionant le temps et le travail que cela a dut coûter aux créateurs: ce sont des génies! impressionant visuellement, de très belles images et un scénario plutôt bien fait! nan franchement une superbe ambiance, on en sort tout souriant...le temps passe super vite on a l'impression d'entrer pour ressortir la seconde après!
NiCo---- hollywood-world.skyblog.com, Posté le dimanche 16 octobre 2005 11:48
Ah! Voila un film que j'aimerais bien voir! Les personnages, le scénario et ta critique! Dommage qu'il ne sorte pas dans mon ciné!
Sniff
o(----+ hollywood-world.skyblog.com
httpcinefan2005.blogtrafic.com, Posté le dimanche 16 octobre 2005 06:31
Bien mais pas exellent. L'histoire du lapin es asez ininterressante mais le reste est agreable
jess, Posté le samedi 15 octobre 2005 07:32
au départ je n'étai pas branché par wallace et gromit mzos les excellentes critiques me donne envie dy aller !!
batman1985.canalblog.com, Posté le vendredi 14 octobre 2005 17:01
Il me donne vraiment envie d aller le voir ce film! Mais j hesite, je verrai bien...
Benoît
Roxane, Posté le vendredi 14 octobre 2005 15:47
Je vais normalement bientôt aller le voir ... :D
==> cinema22.sky
tarantinette, Posté le vendredi 14 octobre 2005 09:48
Oui moi j'ai plutôt envie de le voir ! Ca a l'air drôle.
rudy, Posté le vendredi 14 octobre 2005 07:05
Je sais pas si j'irais le voir, j'ai trop de retard en ce moment sur le cinéma. Mais je compte me rattrapé.
==> steevestifler.skyblog.com
merovingien, Posté le jeudi 13 octobre 2005 18:34
j'en profite pour te répondre à ton comm :
theo : oui, c 'est certe dreamworks qui distribue le film mais ils n'ont eu en aucun cas la mainsmise sur le projet. Ce n'est pas un film dreamworks, c'est un film distribué par dreamworks. La nuance est capitale. Il n'ont pas écris le film, ni réalisé, juste produit. Par conséquent, on ne peut pas rattacher Wallace et Gromit au vilain studio d'animation opportuniste. (surtotu que w et g existaient bien avant dreamworks).
C'est comme dire que les indestructible est un film disney : c'est pixar qui réalise, c est disnet qui ditribue le film. Bref, rien à voir là non plus (la preuve; le contrat pixar/disney arrive à terme et pixar a trouvé un nouveau producteur)
httpmerovingien02.skyblog.com, Posté le jeudi 13 octobre 2005 18:08
Désormais, le monde merveilleux de l'animation est entré dans une nouvelle ère pas forcément rassurante. Les années 2000 ne laissent plus l'animation à la main qu'aux asiatiques pour mieux se concentrer sur ce qui marche (bon ou pas bon), à savoir la 3D. Un style que seul Pixar sait transcender. Le reste se divise entre Bluesky et les arnaques multimillionnaires de Dreamworks. Que reste-t-il alors pour tous les grands enfants que nous sommes fatigués d'assister à des concours de rots (bonjour Shrek !) ou des concours de pets (bonjours Robots !) ? La réponse est très simple, et elle nous vient d'Angleterre : Nick Park revient avec une extension cinématographique de ses personnages cultes : Wallace et Gromit !
Il y a 16 ans déjà qu'a déboulé sur nos écrans le premier court-métrage mettant en vedette l'inventeur fou fondu de fromage et son compagnons le chien. Leur aventure sur la Lune était déjà un monument de drôleries, suivis par deux autres histoires tout aussi géniales impliquant un pingouin psychopathe et des moutons acrobates. L'univers de ces héros avaient une ambiance inimitable, un humour so british et une patte unique (normal : c'est de la pâte à modeler : allez-y ! riez bruyamment !!! HA HA HA !!). Réalisé en stop-motion à base de figurines en plasticine, on priait le ciel que Nick Park se décide à étendre son monde miniature au format long. En réponse à cela, nous avons eu droit à un galop d'essai du nom de Chicken Run, relativement conforme dans l'esprit mais parfois handicapé par des petits problèmes de narration dû à la difficulté des créateurs à passer du court au long métrage. Quoiqu'il en soit, la Grande Evasion façon poulailler était un bon film très drôle dont les retombées sont aujourd'hui à 100% bénéfiques pour Wallace et Gromit, le film. Nick Park a su tirer des leçons permettant d'aboutir pleinement le projet du Mystère du Lapin-Garou.
En gros, le film ne se résume pas à une succession de sketch. La trame a su s'étendre sur 1h25 en tenant compte d'impératifs dramatiques indispensable au bon rythme de l'ensemble. Plus de sous-intrigues, plus de personnages secondaires, plus de rebondissements. Ca pourrait ressembler à un gros fourre-tout mal rafistolé mais c'est sans compter sur un des ingrédient qui n'a pas changé : la capacité de Nick Park à construire le scénario dans un sorte de crescendo logique évitant le vide. Par conséquent, en se modelant sur la trame des films d'horreur Universal des années 30, le Mystère du Lapin-Garou est parvenu à trouver son propre ton, entre burlesque et film de monstre, sans jamais délaisser l'épaisseur psychologique des héros, particulièrement Wallace dans un excellent rebondissement dont il veut mieux ne rien dire ici.
Comme d'habitude chez Nick Park, le plaisir des yeux cache un travail sidérant de longue haleine. Avec pas moins de 35 version différentes de Wallace (sans compter toutes celles des multiples personnages), 140 animateurs, 30 plateaux gérés en même temps, 700 légumes en plâtre... Chaque jour, ce ne sont que 10 secondes de film qui sont réalisées. A peine une minutes par semaine ! Une somme de boulot titanesque qui ne pâtit nullement d'un bâclage quelconque de la mise en scène. Les plans fixes ne sont jamais prédominants et beaucoup de mouvements de caméra compliqués laisse pantois par la précision technique qu'ils exigent (comment faire bouger un personnage en 24 positions secondes légèrement différentes quand en plus la caméra doit bouger d'un dixième de seconde toutes les 6 images ???
On relèvera toutefois une première incursion dans le numérique pour le studio Aardman, notamment lors de la transformation du lapin-garou (difficile de faire sortir des centaines de poil d'un bout de patte à modeler !) et également dans l'hilarante utilisation de l'aspirateur à lapins (magnifiquement réalisé comme une ascension au Paradis). Mais là où la facilité pourrait avoir raison de la bonne volonté de Nick Park, il faut préciser que non seulement les images de synthèse sont invisibles mais qu'en plus, les magiciens du clavier sont allé jusqu'à reproduire les traces de doigts sur la surface des lapins numérique afin de ne jamais trahir l'esprit artisanal régissant Wallace et Gromit. Soit la preuve qu'une combinaison d'anciennes et nouvelles techniques peuvent parfaitement aboutir à un résultat hautement plus spectaculaire qu'un film totalement numérique (à noter d'ailleurs que le Mystère du Lapin-Garou a coûté bien moins cher que Chicken Run !).
Tout ce savoir-faire ne prend cependant jamais le pas sur les émotions du spectateur. Bien entendu, on reste ébahis par le rythme trépidant des scènes d'action folles et inventives, bien entendu, on ne peut que craquer pour le look des petits lapinoux qui culmine dans un agréable générique de fin. Mais rien n'empiète jamais sur la trame précise capable de rallier tous les publics. Selon les propos même de Nick Park, le film Wallace et Gromit est le premier film d'horreur végétarien. Après vision de la chose, il faut bien reconnaître qu'il n'a pas tort. Citant à tour de bras les classiques avec Boris Karloff, le Docteur Jekyll ou encore le Loup-Garou de George Wagner sans oublier un remake avant l'heure de King Kong, le script ne se moque jamais de ses références, parvenant à instaurer à plusieurs reprise un authentique petit suspens qui ne nous prend jamais pour des neuneus.
Par ailleurs, on constatera que le charme inimitable de Wallace et Gromit vient directement de son héritage, à savoir les films muets. Qu'il s'agisse de la dimension « horrifique » et ou tout simplement comique de l'œuvre, Nick Park laisse toujours l'image transmettre l'émotion, jamais le dialogue. Constat visible dès l'introduction du générique qui raconte en un mouvement de caméra une petite histoire drôle par l'intermédiaire de photos accrochées au mur, les actions pouvant même se décomposer en plusieurs « plans » (l'échelle ou encore les deux héros boudant chacun dans leur cadre). Un film dans le film qui introduit à merveille l'idée d'un cinéma où l'expression des acteurs se répercute sur l'audience. Ce n'est dès lors plus un hasard si Gromit devient plus que jamais le personnage le plus drôle et émouvant du film. Sans un seul mot (c'est un chien), il parviendra à nous transmettre sa peur (superbe scène d'attente en voiture), son amour pour son ami et tout simplement son côté malicieux. Une vraie prouesse. Du Buster Keaton au pays de la patte à modeler en somme, comme en témoigne la course poursuite finale qui n'a rien à envier au Mecano de la Général ou encore à la Croisière du Navigator. La caractérisation des héros se fera donc sans cesse par l'image (la scène de la chapelle qui utilise l'arrière plan pour désigner le méchant Satan ou la joli femme angélique) et l'humour peut surgir à n'importe quel coin du cadre (étiquette sur un carton, lapin aspiré en arrière plan), expurgeant autant que possible les explications narratives pour mieux laissé le soin au public de s'immerger dans l'écran.
Imprégné d'une imagerie immortelle et enfantine de l'Angleterre forcément séduisante, le Mystère du Lapin-Garou permet donc à Wallace et Gromit d'accéder au rang sacré d'icône du Cinéma populaire avec bien plus que les honneurs. Inventif, trépidant, parfois grivois mais jamais vulgaire (les melons de Lady Tottington), l'alchimie est totale, avec ce petit plus qui fait toute la différence : la modestie et la générosité. En ces temps où l'animation devient le fruit de calcul marketing (n'est-ce pas Dreamworks animation ? N'est-ce pas Disney ?), l'œuvre de Nick Park est une bénédiction.
NOTE : 5/6
kamipitt, Posté le jeudi 13 octobre 2005 17:18
Ouais il a l'air trop drôle ce film, je vais pas manquer de le voir!!!
Rose, Posté le samedi 01 avril 2006 15:28
J'en redemande !