Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD
Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.
Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance
Surfez bien! ;)
Severine, Posté le mercredi 01 février 2006 06:41
Je l'ai trouvé bizarre ce film, Robin Williams me faisait presque peur...
Bizcotte.sky, Posté le dimanche 08 janvier 2006 11:23
Il est génial <3 C'est vrai que ça change de registre mais cet acteur est très bon partout ^^
laurene, Posté le dimanche 04 décembre 2005 15:49
Un thriller super , ou Robin Williams devoile une de ses faces cacher
Adrien hollywood-world, Posté le samedi 01 octobre 2005 13:57
Un thriller jouant beaucoup sur le psychologique. Robin Williams dans un rôle a contre emploi est attachant et paradoxalement terrifiant tandis que les autres interpretes y trouvent toute leur justesse.
Chrislynch, Posté le samedi 10 septembre 2005 13:08
Une variation sur le thème du voyeurisme au cinéma. Un sujet qui a fait la gloire du septième art, avec notamment des ½uvres majeures telles que « Fenêtre sur cour » d'Alfred Hitchcock, « Blue Velvet de David Lynch, « Le voyeur » de Michael Powell. « Voyeurisme », tel le cinéma et sa caméra qui observe sans être vue, qui s'immisce dans des espaces qui nous seraient interdits. Normal que certains grands cinéastes se soient penchés sur cet ½il pervers qui observe, presque illégitimement, comme un viol. Dans « Blue Velvet », Lynch avait magnifiquement relié tous ces points symboliques pour proposer une couche de plus au sublime « Fenêtre sur cour » d'Hitchcock qu'il vénère. Le voyeurisme, résultante d'une société moderne, où le développement des villes et des populations débouche sur une plus grande proximité qui, paradoxalement, engendre inexorablement une augmentation de la solitude. « Proximité », « solitude », « voyeurisme », profondément unis dans la société moderne, un thème universel, pour quelques cinéastes qui recherchent l'intimité avec leur temps.
« Voyeurisme » et « solitude », également au menu de ce « Photo obsession », avec de personnage de Seymour Parish qui, dans une solitude absolue, s'est recréé un monde nouveau, un univers artificiel chargé émotionnellement de la vie des autres. Un univers fictif, qu'il s'est petit à petit approprié, qu'il a filtré, pour obtenir finalement un monde idéal dans lequel il recherche par dessus tout à se fondre. Un monde idéal qui bien sûr n'existe pas, avec ses faiblesses humaines auxquelles Parish va lourdement se heurter. Désemparé, blessé de désillusion et de trahison, Parish, obsédé de perfection, va transformer son rêve fictif en cauchemar réel.
Beaucoup de très bonnes choses dans ce film : outre le pari difficile de cheminer sur le symbole du voyeurisme et de la solitude, le réalisateur Mark Romanek, va superbement observer les mécanismes de la désillusion, ces rêves et ces idéaux brisés, dont on n'arrive pas ou difficilement à se remettre.
Jusque-là, le tableau est assurément réussi mais voilà que le réalisateur qui tenait le bon bout, commence à s'expliquer, justifier les actes de son personnage par un discours moralisateur lourd. Dommage que le réalisateur ne soit pas resté dans la nuance, le non-dit, la suggestion et soit tombé dans une certaine uniformisation fade que nous offre souvent le cinéma américain. Dommage, très dommage !
Enfin, Robin Williams, qui offre une nouvelle dimension à sa filmographie, comme il l'avait entamé dans « Insomnia » de Christopher Nolan. Il semble être l'acteur idéal pour jouer ce personnage de désillusion. Et c'est peut-être normal pour ce comédien qui a baigné sa carrière et ses personnages dans le monde de l'enfance, monde du rêve illusoire par excellence. Il est touchant autant que troublant, très nuancé dans son personnage, et l'on ne sait jamais très bien si on doit l'aimer ou en avoir peur. Assurément, il est l'une des grandes attractions de ce spectacle.
Roxane, Posté le samedi 10 septembre 2005 07:38
Cette fois-ci, c'est moi qui n'ait pas vu ce film ;) Il a pourtant l'air bien :D
==> cinema22.skyblog.com
rudy, Posté le samedi 10 septembre 2005 06:16
Je ne l'ai va pas celui ci malheureusement.
==> steevestifler.skyblog.com
jeSs Bestactors, Posté le samedi 10 septembre 2005 03:48
très bonne critique !! jsui daccord avec toi en tout point !
jeSs Bestactors, Posté le vendredi 09 septembre 2005 12:21
un super film où robin williams nous montre une autre face de lui, il est extraordinaire
Med, Posté le vendredi 09 septembre 2005 11:07
Pas mal ce film,j'ai bien aimé,il fait parti de ma dvdthèque
medino01.skyblog.com
Rose, Posté le dimanche 02 avril 2006 04:00
Film à voir.