Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD
Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.
Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance
Surfez bien! ;)
LiTtLe-MuZe-JuLy, Posté le samedi 04 novembre 2006 14:40
Camping a la ferme merrite plus que 2/5!!!!
je lui mettré 3/5!
clochette, Posté le lundi 19 décembre 2005 19:10
decue par les poupees russes.. cest pas lameme ambiance que lauberge et wendy qui joue sa bimbo menerve je le préférais ds lauberge
ok la bo est geniale et des moments tres droles mais le coup du "je change la coiffure de tt le monde pour montrer kil on chnagé " cest nul
httpbenoit7801.skyblog.com, Posté le vendredi 26 août 2005 12:29
5/5 pr les poupées russes !!!!
Yash75, Posté le jeudi 04 août 2005 12:53
Les Poupées Russes: un des films ou j'ai le plus rigolé !! Il est génial !!
yash75.skyblog.com
httpcinefan2005.blogtrafic.com, Posté le samedi 30 juillet 2005 19:17
Les poupées russes immanquable. Lun des films de l'année.
Camping à la ferme me tentait pas mal j'adore Roshdy Zem
Emmenez-moi je te trouve dur. le film est certes pas une grande reussite il reste plaisant
L'avion là aussi me tente pas mal si l'occas se présente
httpmerovingien02.skyblog.com, Posté le mardi 26 juillet 2005 10:00
Ravis de voir que tu a fini par allé voir les Poupées Russes!
Et ravis de voir que tu a adoré!
allez op, je rplace ma ctritique complète ici :
Truffaut avait Antoine Doinel, Klapish a désormais Xavier. Xavier, ou le nouveau héros d'une série de films générationnels dont on suit le cheminement de la vie à travers ses rencontres et les préoccupations de son âge. L'Auberge Espagnole était un très joli film sur l'amitié et l'ouverture sur le monde, les Poupées Russes sera un film sur l'Amour.
En clair, il s'agit d'une suite qui n'en est pas une. La plupart des personnages principaux sont de retour, le style visuel est là aussi mais les problèmes du jour sont complètement différents. Loin du temps de l'insouciance qui baignait l'année à Barcelone, il est temps désormais de faire le premier bilan de sa vie à l'orée de la trentaine. Et de constater qu'on appartient à une nouvelle génération paumée, sans repères, en vrac. Xavier rêvait de devenir écrivain, il est scénariste sur des séries de merde. Xavier est en manque d'amour, Xavier n'arrive pas à mener une vraie relation de couple. Xavier va avoir 30 ans et il ne sait plus trop où il en est. Comme le montre l'affiche, le film se recentre nettement sur Xavier, au centre de l'image, entouré des diverses femmes de sa vie. Ces femmes, ces fameuses Poupées Russes du film, sont le c½ur même du film. Elles évoquent la quête d'idéal féminin et amoureux. Alors bien entendu, c'est un peu là que se situe le seul gros défaut du film, à savoir une sous-exploitation d'une large partie du casting du premier film, certains étant même réduit à de la simple figuration éclair lors du mariage final. Une petite déception donc, surtout que même les autres réguliers (Audrey Tautou et Cecil de France qui illumine l'écran à chaque apparition) sont aussi oubliés dans la deuxième partie du film. Un peu dommage, surtout pour les amoureux de nostalgie. D'un autre côté, s'encombrer d'une fouel de personnage pour le simple plaisir des fans auraient pu être désastreux et aurait parasitée l'orientation globale de ce nouveau chapitre.
La légèreté du premier volet laisse place ici à d'avantage de maturité et de tristesse, que ce soit le nouveau copain américain et con de Wendy ou bien l'enfant de Martine. L'amour et ses petits tracas. Les Poupées Russes est un film sur ce qui fait qu'on aime, ce qui fait qu'on aime plus, qu' un couple marche ou ne marche pas, comme c'est souvent le cas. Pourquoi on choisit telle ou telle personne, quelle place occupe le sexe dans le couple... Tous ces sujets d'or pour film d'ôôôôteur sont passés en revue l'air de rien par la caméra intimiste de Klapish. Par une mise en beauté des décors cartes postales de Londres ou St Peters bourg, il rappelle à quel point l'être humain est un incurable romantique. Il suffira d'une Wendy en larmes, belle à se damner et perdue dans un décor trop grand (déclaration d'amour en gros plan, puis plan séquence rapproché sur la solitude de la jeune fille et enfin plan large où elle est égaré dans la rue) pour nous faire fondre littéralement et titiller nos plus profondes blessures d'amour. Il suffira d'une longue séquence fantasmée au ralenti sur une jupe qui danse avec le vent pour rappeler à quel point les hommes pensent en premier lieux avec leur queue avant de vraiment comprendre ce qu'est l'amour véritable, le beau, le pur. La voix-off de Romain Duris accompagne ainsi ses états d'âme, ses coups de colère et ses doutes. Xavier est un homme qui doute, qui cherche et qui SE cherche.
Par sa multitude de personnages, Klapish nous renvoie à la notion universelle de l'âme s½ur et rappelle qu'il n'y a pas d'âge ni de situations sociale pour tomber amoureux. Que ce soit la mère de Xavier refaisant sa vie avec un autre homme, Martine en proie à une remise ne question sur son propre comportement ou bien Isabelle faisant défiler les coups d'un soir sans se soucier du lendemain, voilà un joli panorama de cette confusion des voies guidant vers l'amour véritable.
Comme d'habitude, Klapish excelle à capturer l'indicible de la vie, ces petites choses anodines qui font un grand tout magique. Que ce soit les mains moites qui se cherchent et se trouvent pendant une fraction de seconde qui semble durer des heures, ou bien ces moments de folie où l'on n'a pas peur de courir à poil en pleine rue pour rattraper celle qu'on aime... Des instants de pures magies qui font toujours cogiter et rende nerveux. Comment savoir si une personne est faite pour nous ? Par exemple, alors que Martine et Xavier viennent de se disputer, Martine tente d'appeler Xavier. La caméra fixe notre héros marchant avec dans la profondeur de champ, en haut d'un balcon, Martine, floue. Un moyen de rappeler que les deux individus seront à la fois toujours unis et toujours séparés. On retrouvera une séquence similaire avec la top model qui observera Xavier de son balcon au téléphone mais là, les deux individus ne seront pas dans le même plan, comme s'il n'appartenait pas au même monde. Ces deux exemples sont finalement parlant de la thématique du film et des 2 façons de concevoir l'Amour. Il y a les rêves d'enfants et la réalité. La top model n'est jamais qu'un rêve à priori accessible mais qui peut disparaître d'un coup dans une limousine alors que Martine a un côté plus réel et tangible (donc en un sens moins désirable). Heureusement, le tableau n'est pas binaire et, au contraire, Klapish insiste pour que les héros grandissent et deviennent adulte (la conversation avec Isabelle sur le bord d'un trottoir) sans pour autant abandonner totalement leur rêve. C'est le cas par exemple de la jolie envolée où Martine se métamorphose en princesse pour expliquer les choses de l'amour à son fils où encore de Xavier qui écrit ses textes à l'eau de rose en s'amusant à placer son voisin terne en jeu (il met sur papiers ses rêves d'une vie agitée en la transposant sur un autre), jusqu'à se décider à se mettre enfin en scène (la déclaration d'amour à l'arrière du bateau évoquant une fiction, et pour cause, c'est un rêve) avant de se jeter enfin à l'eau en assumant la vie (la déclaration d'amour final).
Les poupées Russes ne manque pas au passage de pointer du doigt la motivation principale qui nous pousse à chercher l'Amour : la solitude. Ce qui fait peur en vieillissant, c'est la peur de finir seul. C'est peut être pour cela que Xavier est aussi déphasé depuis la fin de l'Auberge Espagnole : il avait trouvé des amis et une sorte de famille de substitution à Barcelone et le voilà seul, alors que sa mère et ses amis vont de l'avant. Il ne peut d'ailleurs pas s'empêcher de se créer une liaison fictive avec Isabelle (la scène la plus drôle du film où Cecil de France s'impose comme une comédienne au potentiel comique ENORME) pour faire plaisir à son grand-père et flippe intérieurement à l'idée que désormais, sa mère n'est plus besoin de lui. Au fond de lui, Xavier est encore un grand enfant (le gag récurent du pipeau) égarés. Ainsi, lors d'un retour à Londres, il revivra la même scène qu'à sa première arrivée mais constatera à quel point il est seul, Isabelle n'étant plus à la télé et le bus étant désespérément vide à ses côtés.
Si le film de Klapish vise aussi juste, c'est bien parce qu'il y a du vécu derrière (le mariage avec le mari malade, c'est une scène à laquelle il a assisté, les multiples liaisons amoureuses aussi) et que le ton bricolé est toujours particulièrement approprié à ces études des comportements humains. Parce que personne dans le film n'est parfait (même Wendy recraque pour son abruti de yankee), ces imperfections inerrantes à chacun trouvent une résonance troublante avec le vécu de chaque spectateur. Et la conclusion évite l'happy end facile en nuançant sa vision finale d'un goût d'incertitude quand à l'avenir (les parents de Wendy et l'avenir incertain de William). Comme quoi l'Amour n'est jamais acquis et évolue chaque jour.
Alternant petits moments soufflant un souffle de romantisme comme on en rêve (l'apparition de la danseuse russe, émotion garantie) et choc de la réalité qu'on aimerait fuir, Klapish frappe à nouveau très fort avec cette suite plus posée (paraissant sans doute un peu plus longue) mais d'une infinie justesse qui en font un film plus intéressant et mature. En dépit de notre déception de ne pas retrouver les anciens personnages autant q'on le voudrait, on ne peut que se réjouir de cette étude le vie dont un nouveau volet et à prévoir. Dans quelques années, quand le grand bilan de l'âge adulte se fera sentir ?
NOTE : 5/6
Lquipe de challenge-blog.skyblog.com, Posté le lundi 25 juillet 2005 18:33
Felicitation tu a été selctionnée parmi les 25 meilleurs blogs a teheme cinéma!
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Merci toute léquipe de http://challenge-blog.skyblog.com/
Roxane, Posté le dimanche 24 juillet 2005 19:45
J'ai vu les Poupées Russes, j'ai vraiment bien aimé ... une suite de l'Auberge Espagnole sans vraiment en etre une. Et puis, j'aime les films de Klapish et Romain Duris en tant qu'acteur. J'adore la complexité du personnage de Xavier.
Pour le reste ... pas vu !
==> cinema22.skyblog.com
Jeje, Posté le samedi 23 juillet 2005 16:51
Ton blog est fun, vraiment super!!
Si tu aimes les voitures tunées passe sur mon blog!
big-tuning.skyblog.com
xxcycy22xx, Posté le dimanche 15 juillet 2007 19:13
L'avion très beau film, emouvant, pleins de magie aussi, j'ai beaucoup aimé!!!
Les poupées russes, ah j'ai adoré ce film, je le trouve vraiment genial, marrant, pleins de rencontres, d'amour, d'amitié, jai vriament aimé ce film !
Gros bisous Théo ! ♥