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Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!

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cine-world

Description :

Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD

Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.

Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance






Surfez bien! ;)

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Un jeu loin d'être reposant...

Jumanji
de Joe Johnston

Genre : Fantastique, Aventure
Durée : 1h40
Sortie cinéma française : 14 février 1996
Nationalité : Film américain
Tous publics

Lors d'une partie de jumanji, un jeu très ancien, le jeune Alan est propulsé sous les yeux de son amie d'enfance, Sarah, dans un étrange pays. Il ne pourra s'en échapper que lorsqu'un autre joueur reprendra la partie et le libèrera sur un coup de dés. Vingt-six ans plus tard, il retrouve le monde réel par le coup de dés de deux autres jeunes joueurs.

Très exactement dix ans après Jumanji, les créateurs de cette oeuvre, devenue culte pour beaucoup d'enfants, s'apprêtent à sortir Zathura : une aventure spatiale, une production qui semble très proche scénaristiquement du film qui fête, en 2006, ses dix ans.
Avant de se plonger dans la nouvelle aventure spatiale tout droit sorti de l'imagination des créateurs de Jumanji, rien ne vaut de revoir, avec une certaine nostalgie, ce film de 1996 réalisé par Joe Johnston, le spécialiste des divertissements à gros budgets à qui l'on doit notamment Chérie, j'ai rétréci les gosses ou encore Jurassic Park III.

Jumanji se présente comme l'un des blockbusters de l'année 1996, dont on peut d'ailleurs repérer les différents éléments propre à ce genre de production, à commencer par un budget de près de 70 millions de dollars et un casting regroupant les têtes d'affiche les plus populaires du moment. En effet, entre la présence de l'acteur Robin Williams (Madame Doubtfire, Will Hunting) qui connaissait une forte notoriété à la fin des années 1990, celle de l'actrice Kirsten Dunst (Virgin suicides, Spider-Man), considérée, à ce moment, comme l'enfant star d'Hollywood ou encore la participation de Bonnie Hunt qui venait tout juste d'apparaître au générique des comédies familiales Beethoven 1 et 2, tout était calculer pour que le spectateur se laisse facilement embarquer dans une aventure en compagnie de ces noms. Et si l'on sent bien là les intentions des producteurs, il faut avouer que le choix du casting était judicieux puisque la prestation survitaminée et délirante de Robin Williams suffisait à empêche que le spectateur ne s'ennuie à un moment ou à un autre peu importe l'histoire de ce film. Le scénario de Jumanji ne se dévoile d'ailleurs d'une grande complexité et il ne se montre d'ailleurs pas beaucoup plus recherché dans son déroulement. A vrai dire, il est même plutôt pauvre et peu consistant puisqu'il se suffit à proposer l'intrigue de personnages engagés dans un jeu de société mortel. Toutefois, il est inutile de reprocher ceci puisque avant de voir le film on sait à quoi s'attendre, à savoir un divertissement familial qui a pour but d'en mettre plein la vue au spectateur. Sur ce point, Joe Johnston réalise un film très distrayant et véritablement prenant où l'on est plongé dans une aventure haletante et composée de cascades impressionnantes, ainsi que d'une action ininterrompue. Le spectateur n'a donc pas le temps de s'ennuyer en raison de ce rythme effréné, qui est parfois pigmenté d'un humour léger, mais loin désagréable. De plus, lors de sa sortie Jumanji était véritablement impressionnant et visuellement bluffant grâce à la surenchère d'effets spéciaux remarquables et éblouissants. Malheureusement, la qualité des effets spéciaux semble s'être bien estompée aujourd'hui et l'on ne peut s'empêcher de penser que ceux-ci ont pris un énorme coup de vieux, de même que l'ensemble du film qui ne se révèle au final que comme un divertissement familial à voir au moins une fois, mais qui n'est pas incontournable pour autant. Jumanji reste toutefois très agréable à regarder.

Note film : 3/5
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#Posté le mardi 31 janvier 2006 08:25

Modifié le mardi 31 janvier 2006 17:38

Un petit tour en Alaska en compagnie de Kevin Spacey et Julianne Moore...

Terre Neuve
de Lasse Hallström

Genre : Drame
Durée : 1h52
Sortie cinéma française :
Nationalité : 27 février 2002
Tous publics

Quoyle, un imprimeur, a passé une enfance difficile à New York, maltraité par son père. Il vit marié depuis six ans avec Petal Bear, une femme infidèle qui lui a donné une jolie fille, Bunny. Son épouse meurt dans un accident de voiture. La tante de Quoyle, Agnis, propose alors à son neveu et à Bunny de venir vivre à Terre Neuve, sur la terre de leurs ancêtres. Cependant, la propriété perchée sur une falaise rocheuse est inhabitable durant l'hiver.
Quoyle réussit à se trouver un emploi de journaliste dans la gazette locale, à la rubrique des faits divers et des nouvelles de dernière minute. Sa rubrique connaît un vif succès, une popularité à laquelle il n'aurait jamais cru.
Regagnant confiance en lui, il fait la connaissance d'une veuve du nom de Wavey qui s'agrippe fermement au passé et aux souvenirs de son regretté mari, tout comme lui avec ceux de Petal.


Avant d'avoir réunit le trio Redford/Freeman/Lopez, en 2005, pour les besoins du mélo Une vie inachevée et après avoir réalisé la romance dénommée Le chocolat, en 2001, qui réunissait Juliette Binoche et Johnny Depp, le cinéaste suédois Lasse Hallström s'était attelé à la réalisation de Terre Neuve, l'adaptation cinématographique du roman d'Annie Proulx, qui n'a d'ailleurs pas connu de réel succès.

On reconnaît bien au travers de Terre Neuve, certains éléments auxquels le réalisateur s'attache avec attention et forment désormais ce que l'on pourrait appeler vulgairement sa "marque de fabrique". Si l'on reconnaît bien le ton dramatique du film cher à Lasse Hallström que l'on retrouve, de manière plus ou moins appuyée, dans chacune de ses oeuvres, l'énumération des parallèles avec ses autres réalisations ne s'arrêtent pas à ceci, et l'on peut déjà regretter de constater que le cinéaste ne s'améliore que modérément de film en film puisqu'il ne cesse de reproduire les mêmes erreurs. On peut, de ce fait, tout d'abord, citer une amorce de scénario très lente et très longue à se mettre en place qui peine énormément à démarrer le film et qui empêche ainsi de permettre au spectateur de trouver rapidement ses marques, de même que d'être ancré dans l'histoire dès le début. Cependant, Lasse Hallström ne se présente pas pour autant comme un mauvais cinéaste et il est important de préciser que malgré un début qui ne se montre que très peu prenant, le film prend beaucoup plus d'ampleur et de passion au fur et à mesure de son déroulement, et l'ennui du début suscité par une introduction maladroite se transforme en une histoire prenante et mystérieuse que l'on se plait à suivre, d'autant plus qu'il est porté par la grâce d'un rythme certes lent, mais surtout tranquille et apaisant. De plus, le scénario qui semble parfois un peu vide, acquiert une certaine profondeur, tout au long du film, et l'intérêt que le spectateur lui porte ne fait que s'accroître en fonction des différentes petites histoires qui engendrent la curiosité et surtout de la découverte des personnages d'une complexité et d'une psychologie passionnante. Terre Neuve devient ainsi un drame sublime et bouleversant qui dépeint les sentiments des personnages au grand jour et sous un regard critique de la société moderne. Malheureusement, certaines habitudes du cinéaste reprennent le dessus et empiètent sur une plausible totale réussite de l'oeuvre tant Lasse Hallström s'embourbe dans son ardente volonté de doter son film d'un aspect mélo bien trop insisté, ce qui fait, parfois, chavirer le film dans le pathos imprégné d'un sentimentalisme assez lourd. Cette impression de lourdeur est d'ailleurs amplifiée par la réalisation, particulièrement académique, que le metteur en scène semble vouloir perpétuer précautionneusement, de film en film, ce qui l'empêche bien évidemment de permettre au spectateur d'apprécier une quelconque évolution visuelle dans les oeuvres du cinéaste. Néanmoins, grâce à la sobriété et à la froideur de la photographie, le spectacle visuel reste tout de même très beau et évite d'accumuler encore le ton classique qui règne déjà fortement. Terre Neuve reproduit également un autre élément auquel Lasse Hallström semble très attaché, pour le plus grand plaisir du spectateur, à savoir son souhait de filmer la grandeur, la beauté et l'immensité de la nature, ce qui ne manque pas de l'impressionner et de lui offrir une image sublime. D'autre part, comme il en semble en être une de ses autres habitudes - Et dont on ne va pas se plaindre - le réalisateur s'entoure d'un casting toujours très luxueux et particulièrement bien choisi qui réunit des acteurs, non pas forcément à la notoriété impressionnante, mais au talent indéniable. Ainsi, Kevin Spacey (L.A. Confidential, American beauty) use de tout son charisme pour nous proposer une prestation troublante et émouvante comme à son habitude et sans véritablement se démarquer des ses autres rôles, Julianne Moore (Le Monde perdu, The Hours) incarne avec beaucoup de tendresse et de sobriété son personnage de mère désabusée et Judi Dench (Les Chroniques de Riddick, Orgueil et préjugés) nous prouve qu'elle arrive à se montrer tout aussi bouleversante que ses deux partenaires, bien loin de son rôle M dans James Bond.

Note film : 3/5

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#Posté le lundi 30 janvier 2006 16:35

Modifié le lundi 30 janvier 2006 17:51

Votre film préféré avec Jake Gyllenhaal!

Jake Gyllenhaal (Né le 19 Décembre 1980)


L'acteur

Né en 1980, dans une famille de professionnels du spectacle - son père est le réalisateur Stephen Gyllenhaal, sa s½ur l'actrice Maggie Gyllenhaal révélée par le rôle titre de La Secrètaire, il incarne à onze ans le fils de Billy Crystal dans la comédie à succès de Ron Underwood La Vie, L'Amour...les Vaches, puis tourne A Dangerous Woman sous la direction de son père et aux côtés de Debra Winger. En 1994, il joue le fils de Robin Williams dans l'épisode "Bop Gun" de la série "Homicide".

Durant ses études secondaires, Jake Gyllenhaal se produit régulièrement sur scène et participe comme chanteur à un petit groupe de rock qui s'illustrera notamment au Roxy.

En 1999, il assure le rôle principal de Ciel D'Octobre, une touchante évocation de la jeunesse du physicien Homer Hickman Jr. qui lui vaut un large succès critique. En 2001, il tient aux côtés de Drew Barrymore, Jena Malone et Noah Wyle le rôle-titre de la fable fantastique de Richard Kelly Donnie Darko pour lequel il est cité à l'Independent Spirit Award. En 2002, il tourne avec Jennifer Aniston dans un autre succès majeur du Festival de Sundance : The Good Girl de Miguel Arteta qui recueillera quatre citations à l'Independent Spirit Award. À l'automne de cette même année, il tient la vedette de Moonlight Man, drame écrit et réalisé par Brad Silberling, où il a pour partenaires Dustin Hoffman, Susan Sarandon et Holly Hunter.

Jake Gyllenhaal a fait ses débuts à la scène dans la production londonienne de "This Is Our Youth" de Kenneth Lonergan, qui lui a valu l'Evening Standard Award. On le retrouve en 2006 dans Le Secret De Brokeback Mountain d'Ang lee, Jarhead de Sam Mendes, Proof de John Madden et Zodiac de David Fincher.


Filmographie sélective

2006 - Zodiac de David Fincher
2006 - Le Secret de Brokeback Mountain de Ang Lee
2006 - Proof de John Madden
2006 - Jarhead - La fin de l'innoncence de Sam Mendes
2003 - Moonlight Mile de Brad Silberling
2003 - Le Jour D'Après de Roland Emmerich
2003 - The Good Girl de Miguel Arteta
2002 - Highway de James Cox
2002 - Donnie Darko de Richard Kelly
1999 - Ciel D'Octobre de Joe Johnston
1993 - A Dangerous Woman de Stephen Gyllenhaal
1991 - La Vie, L'Amour...les Vaches de Ron Underwood


Mon avis

J'ai découvert Jake Gyllenhaal, la première fois, dans le film Donnie Darko et il m'avait déjà particulièrement interpellé tant sa prestation était remarquable. Plus tard, je l'ai vu aux côtés de Jennifer Aniston dans The good girl, et encore une fois, il m'avait interpellé par son talent et par la douceur qui émanent de sa personne. Surpris de le voir eu coeur du blockbuster Le jour d'après en 2004, l'acteur s'en ai tout de même sorti avec les honneurs et a su interpréter son rôle sans prétention et avec sa douceur habituelle. Mais c'est en 2006 que l'acteur devient l'un de mes acteurs préférés et qu'il a véritablement montré de quoi il était capable dans les deux chef d'oeuvres que sont Jarhead et Le secret Brokeback Mountain. Jake Gyllenhaal est un acteur montant à Hollywood et on peut être sûr que l'on entendra beaucoup parler de lui à l'avenir. En tous cas, son charisme et sa douceur ont déjà réussi à me convaincre et à me bouleverser à plusieurs reprises, voilà pourquoi j'ai souhaité dédier un article à cette future figure incontournable du cinéma américain qui choisit de manière admirable ses rôles. Son interprétation dans le film de Ang Lee (Le secret de Brokeback Moutain) m'a littéralement bluffé et avec le thème fort de ce film, c'est bien évidemment celui-ci que je cite comme film mon favoris avec l'acteur.

Et vous, quel est votre film préféré avec Jake Gyllenhaal?
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#Posté le lundi 30 janvier 2006 10:39

Modifié le mardi 31 janvier 2006 05:26

Mère-grand, pourquoi tu n'es pas si drôle?

La Véritable histoire du petit chaperon rouge
de Todd Edwards, Tony Leech, Cory Edwards

Genre : Animation
Durée : 1h20
Sortie cinéma française : 25 janvier 2006
Nationalité : Film américain
Tous publics

Une petite fille avec une capuche rouge, un loup, une mère-grand, une chevillette, une bobinette, un panier avec une galette... Vous pensez connaître cette histoire ? On ne vous a pas tout dit. Toute la forêt est en émoi depuis qu'une enquête confronte tous ces personnages...

Entre Vaillant, Madagascar, Robots ou Chicken Little, l'année 2005 a proposé un grand nombre de dessins animés en images de synthèse qui semblent d'ailleurs insister sur le fait que l'animation traditionnelle paraît presque révolue. L'année 2006, qui s'annonce tout aussi riche en films d'animation de synthèse, pourrait s'annoncer comme la confirmation de cette hypothèse puisque les distributeurs sont déjà très fiers de présenter les divers projets à venir tels que Wild, Happry Feet, L'âge de glace 2, Nos voisins, les hommes, Arthur et les minimoys, Cars, Ant bully, ou encore Les rebelles de la forêt, tous ceux-ci bien sûr entièrement créés selon le procédé de l'animation de synthèse. Si certains dessins animés traditionnels sortiront tout de même en 2006, il ne forment pas la majorité, et l'on compte surtout deux principaux projets qui sont Bambi 2 et Astérix et Obélix contre les vikings.

Le premier dessin animé entièrement en numérique de l'année 2006 apparaît sous le nom de La Véritable histoire du petit chaperon rouge, et a d'ores et déjà conquis la critique. Il est vrai que ce film d'animation comporte bien des qualités et tout d'abord scénaristiques puisque ce dernier repose sur un scénario original et fort sympathique qui s'inspire du célèbre conte des frères Grimm. Cependant, si la référence au petit Chaperon rouge est plus qu'évidente - sachant que l'on se trouve là face à une adaptation - on ne retrouve que peu d'éléments de l'histoire originelle, exceptée les personnages bien évidemment. De ce fait, le scénario de La Véritable histoire du petit chaperon rouge se révèle comme une adaptation très libre du conte original pour obtenir une histoire bien différente de la version connue. Mais, ceci se présente comme l'une des qualités de ce film parce que le scénario se dévoile comme une immense parodie du conte originel, qui est agrémenté, de plus, de nombreuses références à des films cultes tels que Usual suspects, xXx, et bien d'autres. Ce conte très modernisé se situe ainsi dans la lignée de Shrek qui puise sa force sur un humour délirant et sur un ton décalé et déjanté. Malheureusement, après Toy Story et sa suite, après Shrek et sa suite, après L'âge de glace et sa suite qui s'apprête à sortir ou après Les indestructibles qui étaient déjà tous emprunts de cet esprit décalé et qui puisaient déjà de nombreuses références au sein du cinéma culte, La Véritable histoire du petit chaperon rouge ne semble que finalement s'apparenter à une énième version d'un tel film d'animation, ce qui ne peut éviter que l'impression de déjà vu atteigne le spectateur. De plus en raison d'un humour qui n'est pas assez souvent drôle et de certains détails directement issus des films d'animation cités auparavant, le film devient relativement plat par moment, et le sentiment d'ennui apparaît de temps à autres. Par ailleurs, bien que volontairement grossier pour accentuer son côté humoristique, les images de synthèse sont bien trop simplistes et presque hideuses. De ce fait, à défaut de parvenir à son but premier avec des dessins, celui de faire sourire, La Véritable histoire du petit chaperon rouge subit immanquablement des comparaisons avec d'autres oeuvres du genre qui elles sont époustouflantes et belles et bien comiques dans leurs traits. Néanmoins, ce petit dessin animé ne s'accompagne guère de prétention et l'on passe tout de même un très bon moment devant une histoire drôle et décalée, mais qui souffre d'un manque d'innovation.

Note film : 2/5
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#Posté le dimanche 29 janvier 2006 13:35

Modifié le lundi 20 mars 2006 12:13

L'après Shakespeare in love...

Stage beauty
de Richard Eyre

Genre : Drame
Durée : 1h50
Sortie cinéma française : 2 mars 2005
Nationalité : Film britannique, américain
Tous publics

Dans le Londres du XVIIe siècle, Edward Ned Kynaston est la " femme " la plus célèbre d'Angleterre. À cette époque, les femmes n'ont pas le droit de jouer sur scène, situation dont Ned profite, faisant usage de sa beauté et de son habileté à interpréter avec brio les grands rôles de femmes. Mais le roi Charles II, las de voir toujours les mêmes comédiens dans les mêmes tragédies, décrète que les femmes ont dorénavant le droit de monter sur scène et que les hommes ne pourront plus interpréter des rôles féminins. Cette décision royale bouleverse la vie de Ned qui perd sa position privilégiée de " femme " la plus désirable de Londres.

Il est de plus en plus rare de voir des films de costumes à la sauce Shakespeare en ce moment et l'on ne sait pas vraiment s'ils trouveraient son public entre la mode des remakes de films d'épouvante, celle des remakes de films d'horreur japonais ou celle des adaptations cinématographiques de toutes les BD inimaginables, d'autant plus que tous ces films sont dotés d'effets spéciaux extrêmement spectaculaire.
Pourtant, en 2005, le cinéaste Richard Eyre s'est attelé à la réalisation d'une fresque historique dans l'esprit des pièces de théâtre anglaises du 17ème siècle au travers de Stage beauty.

Stage beauty apparaît comme un excellent drame historique et romancé dans la lignée de Shakespeare in love. Toutefois, ce film reste bien mieux construit et bien plus intéressant que le film dont il s'inspire parce qu'il semble plus réaliste et surtout que la psychologie des personnages est véritablement bien travaillée ce qui rend le film passionnant et très humain aux yeux des spectateurs. De plus, grâce aux deux acteurs Billy Crudup (Presque célèbre, Big fish) et Claire Danes (Romeo + Juliette, Terminator 3 : le soulèvement des machines), Stage beauty se montre encore plus agréable à suivre en raison d'un talent inouï et d'interprétations saisissantes. Ces deux personnages se dévoilent comme l'élément principal du film et s'articulent autour d'une relation complexe où l'amitié laisse place à la une sorte de concurrence. Le scénario repose ainsi sur ces deux personnages mais permet toutefois de découvrir la rigidité de l'époque qui régnait dans le monde théâtral. Si le film demeure un drame, il n'est pas dispensé pour autant d'une petite touche d'humour et de personnages forts sympathiques. Par ailleurs, grâce à des décors relativement beaux, à une retranscription historique parfaite et à un aspect très théâtral, Stage beauty s'apparente à une véritable oeuvre emprunte d'un romantisme du XVIIème siècle que l'on se plait à suivre avec passion et que l'on déguste comme une pièce de Shakespeare. Finalement, Richard Eyre maîtrise particulièrement bien son film et cela se remarque autant grâce à une mise en scène impeccable qu'à une photographie trouble et difficile à cerner à l'image de la psychologie des personnages et de la complexité des thèmes abordés dans le film tels que la quête du soi intérieur et la recherche d'identité.

Note film : 4/5
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#Posté le jeudi 26 janvier 2006 01:11

Modifié le dimanche 29 janvier 2006 15:51

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