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Cine-World, bienvenue dans le monde du septième art et de l'audio-visuel! Un blog consacré au cinéma!

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Description :

Bienvenue sur Cine-world!! Passionné de ciné et de DVD, je donne mon avis sur les films en salles et en DVD

Barème entre 0 et 5.
0 : A éviter!!!!!! Navet à l'horizon.
1 : Très moyen voire mauvais, passez votre chemin.
2 : Pour les amateurs du genre, sinon se loupe sans regret.
3 : Film à voir mais qui n'est pas exceptionnel.
4 : Un bon film qui vaut largement le coup d'oeil.
5 : Un très bon film à voir absolument.

Mon top 20 2006 :
1) C.R.A.Z.Y.
2) Lord of War
3) Le secret de Brokeback Mountain
4) Le Nouveau monde
5) 1...2...3 dansez
6) Munich
7) Syriana
8) Fauteuils d'orchestre
9) Jarhead - La fin de l'innocence
10) Les brigades du tigre
11) Inside man
12) V pour Vendetta
13) L'âge de glace 2
14) Essaye-moi
15) The secret life of words
16) Walk the line
17) Truman Capote
18) L'affaire Josey Aimes
19) Toi et moi
20) Renaissance






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Joaquin Phoenix dans la peau d'un chanteur de country populaire!

Walk the line
de James Mangold

Genre : Drame, Biographie, Romance, Musical
Durée : 2h17
Sortie cinéma française : 15 février 2006
Nationalité : Film américain
Tous publics

En retraçant le destin du chanteur country-rock Johnny Cash, Walk the line évoque la naissance d'un nouveau style d'artiste, celle d'un homme qui au-delà de ses colères, des ravages de la dépendance et des tentations du statut de star, a tout dépassé pour devenir une icône.
C'est aussi le parcours d'un homme qui, du fond de la période la plus noire de sa vie, a été porté par une histoire d'amour fusionnelle avec June Carter. Leur passion a nourri son art tout au long de sa vie.
Cette saga est marquée par les thèmes qui feront la force de la musique de Cash et de son style minimaliste : la mort, l'amour, la trahison, le péché, l'espoir et la foi.


Si le cinéaste américain James Mangold a déjà prouvé son talent à de multiples reprises en signant les oeuvres très réussies et brillantes qu'étaient Une vie volée et Identity, il ne se présente pas, pour autant, comme un réalisateur qui marqué les esprits et dont les spectateurs retiennent le nom, d'autant plus qu'il est également à l'origine de films bien plus quelconques comme la romance Kate & Leopold.
L'année 2006 pourrait cependant changer l'état actuel de son statut de cinéaste ordinaire pour James Mangold puisque ce dernier revient, cette année, avec Walk the line, une oeuvre bien plus ambitieuse qui a d'ores et déjà été nominée pour recevoir trois oscars.

Après Une vie volée, James Mangold s'est une fois de plus attelé à l'adaptation cinématographique d'un roman, mais a misé cette fois-ci sur une histoire très appréciée aux Etats-Unis, celle de Johnny Cash, un chanteur de country devenu une icône populaire dans l'Amérique des années 60. L'histoire de ce chanteur, racontée par le truchement de Walk the line, ne se présente pas comme un film novateur, et n'a d'ailleurs pas la prétention de constituer le renouveau du cinéma hollywoodien. James Mangold signe ainsi un drame biographique qui aucune réelle originalité par rapport aux autres films du genre et se rapproche étroitement dans sa narration et son déroulement de la biographie cinématographique de Ray Charles, sortie un an auparavant. Pourtant, Walk the line se révèle, tout de même, comme un film passionnant du début à la fin et où l'ennui n'apparaît jamais tout au long des 2h17 de pellicule. De plus, avec le récit qui associe habilement la romance à la comédie musicale et l'humour au drame, le film utilise tous les procédés habituels pour captiver le spectateur et le résultat est plus que concluant puisque l'on ne décroche à un seul moment, et que l'on est tantôt touché, tantôt ému ou tantôt révolté selon les différents passages de la vie d'un personnage hors du commun. Avec une certaine passion, le réalisateur retranscrit une partie de la vie de Johnny Cash en essayant d'être le plus authentique et le plus juste possible, en n'épargnant pas de ce fait, les passages les plus sombres de la vie du chanteur. De ce fait, bien que Walk the line se déroule à la manière traditionnelle des biographies vues au cinéma jusque là avec un schéma narratif semblable à toutes les autres, le film demeure pourtant très réussi grâce à toute l'intensité que réalisateur octroie, avec passion, à son oeuvre, mais également grâce à une mise en scène irréprochable et parfaitement maîtrisée qui bénéficie, de plus, d'une magnifique photographie aux tons orangés et chaleureux. Néanmoins, si l'on peut encore citer de somptueux décors et une retranscription historique si fidèle que certains seront assurément nostalgiques, ce qui fait de cette oeuvre un moment incontournable et qui vaut amplement le détour est la prestation éblouissante des deux acteurs principaux qui excellent et rivalisent de talent en chanteurs de country. On savait que Joaquin Phoenix (Signes, Le Village) avait du talent, mais il n'avait jamais été aussi bluffant dans aucun rôle et on le sent pleinement investit dans le personnage de Johnny Cash à tel point qu'en plus d'être épatant, il semble chercher toute sa puissance et son inspiration au plus profond de lui-même. De même, l'actrice Reese Witherspoon (La Revanche d'une blonde, Et si c'était vrai), considérée jusque là comme une comédienne plutôt moyenne et sans envergure, prouve amplement tout son talent et offre une interprétation époustouflante et un jeu d'acteur de grande qualité. Ces deux prestations sont d'autant plus remarquables que ce sont les deux comédiens, eux-mêmes, qui interprètent toutes les chansons du film. Finalement, bien que Walk the line ne soit guère très original, il a le mérite d'offrir au spectateur un grand moment de cinéma qui l'envoûte durant plus de deux heures et tout ceci au rythme entraînant et chaleureux des musiques country des années 1960. On en redemande!!!

Note film : 4/5
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#Posté le mardi 21 février 2006 02:06

Modifié le mardi 21 février 2006 10:22

Un road movie familial attachant...

Père et fils
de Michel Boujenah

Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h37
Sortie cinéma française : 20 août 2003
Nationalité : Film français, canadien
Tous publics

Léo, un vieux père de famille ancien représentant de commerce, est prêt à tout pour retrouver l'affection de ses trois fils, David, Max et Simon. Il va même jusqu'à invoquer une maladie et une intervention chirurgicale pour les convaincre de l'accompagner dans un voyage au Canada, où il tentera de refaire l'unité du clan familial. Le quatuor de Français y fera la rencontre d'une guérisseuse et de sa fille.

Célèbre pour avoir incarné des personnages, bien souvent, comiques et délirants, l'acteur français Michel Boujenah a surtout marqué la mémoire des français en apparaissant dans des comédies telles que Trois hommes et un couffin ou La Totale.
Si Michel Boujenah est, avant tout, associé à un clown drôle et attachant dont on retient essentiellement ses performances décalées d'acteur, celui-ci s'est pourtant montré bien plus sérieux, en 2003, lorsqu'il a réalisé la comédie dramatique Père et fils, son premier film.

Père et fils est une oeuvre qui permet de découvrir le comique Michel Boujenah sous un nouvel angle, puisque en plus de le retrouver à la réalisation d'un film, l'acteur nous dévoile toute la tendresse et l'humanité qui l'habitent avec ce premier film, sur lequel il s'est particulièrement investit, jusqu'à sa participation à la rédaction du scénario. A partir d'une jolie petite histoire racontée avec beaucoup de simplicité et sans prétention, Père et fils se dévoile comme une petite comédie dramatique qui, sans être très compliquée, demeure très prenante, belle et touchante. En plus de traiter, avec subtilité et sans lourdeur, de la solitude, de la tromperie, des différentes couches sociales et des tensions familiales, le film de Michel Boujenah a le mérite de ne pas se laisser guider par un récit moralisateur exacerbé, bien qu'il soit présent tout de même. Toutefois, cette morale n'est pas assommante et reste discrète et il est important de préciser qu'il semble difficile de ne pas prôner des valeurs lorsque l'on aborde le thème de la famille. Exempt d'une complexité scénaristique, Père et fils insiste sur les personnages et sur les relations qui se mettent en place entre eux. A la manière d'un film intimiste, Père et fils met en avant les personnages et toute la profondeur de l'oeuvre se situe au niveau de la description complexe et très humaine du quatuor principal. Toute la beauté du film repose, de ce fait, sur les quatre personnages principaux qui se montrent très attachants et qui décrivent, avec émotion, l'amour doux et profond qui existe entre un père et ses fils. Michel Boujenah a ainsi réalisé la reconstitution émouvante d'une famille au travers d'un road movie doté d'une grande humanité et de beaucoup de tendresse. La qualité et l'émotion de ce film doivent bien évidemment beaucoup à la présence du quatuor d'acteurs qui est tout simplement éblouissant, touchant et humain. Philippe Noiret (Les Ripoux, Les Côtelettes) est en effet impeccable dans la peau d'un père abattu par la décomposition de sa famille et Charles Berling (15 août, Un fil à la patte), Pascal Elbé (Tout pour plaire, Le Cactus) et Bruno Putzulu (Monsieur N., Holy Lola) interprètent avec justesse et émotion trois frères qui se redécouvrent. D'autre part, bien que le film souffre de quelques maladresses, mais qui sont tout à fait excusables venant de la part d'un réalisateur novice, comme une mise en scène très académique et un déroulement très prévisible, Père et fils se rattrape amplement grâce à toute sa poésie, de même qu'à sont humour irrésistible et rafraîchissant et bénéficie de très beaux décors canadiens aussi dépaysants que magnifiques.

Note film : 4/5
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#Posté le dimanche 19 février 2006 17:08

Modifié le dimanche 19 février 2006 18:25

Angelina Jolie et Winona Ryder complètement histériques...

Une vie volée
de James Mangold

Genre : Drame
Durée : 2h07
Sortie cinéma française : 29 mars 2000
Nationalité : Film américain, allemand
Tous publucs

En 1967, lors d'un entretien avec un psychanalyste, Susanna Kaysen apprend qu'elle souffre d'un trouble de la personnalité. Elle est envoyée dans un hôpital psychiatrique renommé de la Nouvelle-Angleterre et se retrouve dans un univers étrange peuplé de jeunes filles aussi séduisantes que dérangées, telle Lisa, une charmante sociopathe qui met au point avec elle une désastreuse tentative d'évasion.

Alors que le cinéaste américain James Mangold connaît, aujourd'hui, en plus d'un certain succès, une gloire et une notoriété publique croissante grâce au film très plébiscité Walk the line, qui a été nominé à trois Oscars, lors de la sélection officielle de la cérémonie des Oscars de 2006, ce dernier semble avoir, derrière lui, une filmographie très inégale avec des oeuvres brillantes telle que Identity et d'autres bien plus insipides comme en témoigne la romance Kate & Leopold.
Trois après le succès du thriller Copland sorti en 1997, James Mangold revenait en 2000 avec Une vie volée, un film très différent du précédent et assurément révélateur du talent du cinéaste.

Une vie volée, qui est tiré d'un roman autobiographique et par conséquent d'une histoire vraie, se définit comme un drame mené admirablement par James Mangold, également scénariste, qui parvient à passionner le spectateur du début à la fin, avec un thème qui pourrait pourtant rebuter les spectateurs, à savoir celui de la folie, de la psychose, de la névrose et de nombreuses maladies mentales qui peuvent exister. Le thème est d'autant plus délicat à aborder qu'il propose le cadre hospitalier psychologique, sans jamais sortir de ce milieu. Toutefois, c'est justement là où l'on perçoit la première qualité de l'oeuvre puisque le spectateur est plongé dans une sorte de huis clos, relativement original, puisqu'il se montre à la fois psychologique et troublant. Ce n'est pas le scénario qui distingue la véritable réussite de ce film, puisque en plus d'être relativement académique dans sa narration, il ne se montre pas réellement très approfondi et demeure même très simpliste, sans pour autant se caractériser par une grande superficialité. Cependant, Une vie volée apparaît comme un film remarquable parce qu'il contient bien plus de profondeur que son scénario et qu'il aborde des thèmes poignants et traités avec beaucoup de subtilité. Apparaissant comme un film intimiste mettant en avant les sentiments, James Mangold souhaite ainsi insister sur les personnages et décrit les deux protagonistes principaux de manière très approfondie, au risque de délaisser la psychologie des autres, et dévoile la folie comme on ne l'avait jamais vue, et de manière bien plus humaine que l'on pouvait le penser. De ce fait, le film devient très touchant grâce à ses personnages attachants et perturbés, et l'on suit avec intensité l'évolution et les différentes étapes de la maladie des deux femmes interprétées à la perfection par Winona Ryder (Alien, la résurrection, Un automne à New York) et Angelina Jolie (Tomb Raider, Alexandre) qui rivalisent de talent dans la peau de "folles". On peut également préciser que l'interprétation de Brittany Murphy (8 Mile, Sin City), encore peu connue à ce moment, est simplement éblouissante et déborde de justesse dans son rôle de "dérangée". Bien que le discours secondaire traité avec trop de facilité, mais néanmoins avec authenticité, qui décrit que derrière cette folie se cache, bien évidemment, un profond mal-être et une impossibilité d'atteindre le bonheur, Une vie volée se dévoile comme le témoignage de la naissance, d'écrite avec beaucoup d'émotion, d'une intense amitié entre ces femmes qui ont vécu à l'hôpital psychiatrique. Outre la morale larmoyante du film qui prône le combat pour des valeurs et pour la vie, Une vie volée possède, tout de même, une réelle force qui se traduit au travers d'une description pessimiste de l'Amérique moyenne. Cette description, qui représente un peu l'anti-thèse du rêve américain, se dévoile, bien sûr comme une critique de cette société, qui semble justement à l'origine de ces folies. D'autre part, si la mise en scène se montre très académique et enlève de la personnalité à cette oeuvre, la sobriété de la photographie , l'ambiance malsaine et dérangeante et les musiques magnifiques et entraînantes issues des sixties rehaussent nettement ce que l'on pouvait lui reprocher. Une vie volée apparaît donc comme un film fort et bouleversant qui montre, une fois de plus, que James Mangold dirige à la perfection ses acteurs.

Note film : 4/5


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#Posté le samedi 18 février 2006 16:16

Modifié le samedi 18 février 2006 17:57

Votre film préféré avec Joaquin Phoenix!

Joaquin Phoenix (Né le 28 Octobre 1974)


L'acteur

Joaquin est le seul enfant de la famille Phoenix à ne pas porter un nom en relation avec la nature (comme ses aînés River et Rain, ainsi que sa cadette Summer). Frustré, il adopte le prénom de "Leaf" (feuille) pour l'abandonner dans les années 90. Son enfance est nomade, puisque ses parents, cueilleurs de fruits itinérants, parcourent le continent nord-américain dans une caravane. Encouragé par cette famille artistico-baba, il débute très tôt sa carrière d'acteur. A peine âgé de 8 ans, Joaquin apparaît dans un téléfilm (Seven brides for seven brothers), puis deux ans plus tard, dans un épisode de la série Arabesque. Il lui faut toutefois attendre 1987 pour tourner son premier film, Spacecamp.

Fils de Dianne Wiest dans Portrait craché d'une famille modèle (1989) de Ron Howard, il se fait remarquer en incarnant le très influençable Jimmy, amoureux embobiné par Nicole Kidman dans Prête à tout (1995) de Gus Van Sant. Aimant à composer des personnages marginaux et inquiétants, il se voit confier les rôles du fiancé violent de Claire Danes dans U-Turn (1997) d'Oliver Stone, d'un gérant de sex-shop dans le thriller 8mm (1999), d'un ami peu recommandable dans The Yards (2000) et de l'empereur honni Commode que Russell Crowe poursuit de son désir de vengeance dans Gladiator. Cette galerie de personnages pour le moins antipathiques ne l'empêche pas pour autant d'interpréter de véritables "héros" : frère de Mel Gibson aux prises avec les extraterrestres de Signes (2002), il s'aventure dans les bois environnant Le Village (2004) de M. Night Shyamalan, puis s'improvise pompier pour les besoins de Piège de feu (2005).


En 2005 toujours, il apparaît brièvement dans Hotel Rwanda aux côtés de Don Cheadle et Nick Nolte. Mais c'est surtout son interprétation de Johnny Cash dans Walk the line (2006), aux côtés de Reese Witherspoon, qui reste l'un des rôles les plus marquants de sa carrière. Pour incarner le légendaire homme en noir, il apprend à jouer de la guitare et interprète lui-même les chansons du film.



Filmographie sélective

2006 - Walk The Line de James Mangold
2004 - Hotel Rwanda de Terry George
2004 - Piège De Feu de Jay Russell
2004 - Le Village de M. Night Shyamalan
2004 - Frère des ours de Bob Walker et de Aaron Blaise
2002 - Signes de M. Night Shyamalan
2002 - It'S All About Love de Thomas Vinterberg
2001 - Buffalo Soldiers de Gregor Jordan
2001 - Quills, La Plume Et Le Sang de Philip Kaufman
2000 - Gladiator de Ridley Scott
2000 - The Yards de James Gray
1999 - 8mm de Joel Schumacher
1998 - Clay Pigeons de David Dobkin
1998 - Loin Du Paradis de Todd Haynes
1997 - Les Années Rebelles de Pat O'Connor
1997 - U-turn de Oliver Stone
1995 - Prete A Tout de Gus Van Sant
1989 - Portrait Crache D'une Famille Modele de Ron Howard


Mon avis

Joaquin Phoenix est un acteur que j'aime beaucoup. Il a joué dans de très bons films et avec de très bons réalisateurs tels que Ridley Scott, Joel Schumacher, Ron Howard ou M. Night Shyamalan. Il m'impressionne toujours dans chacun de ses rôles et parvient à trouver le ton juste pour chacun de ses personnages. Bien qu'il ne soit pas un acteur considéré comme un des meilleurs et qu'il ne s'affiche pas comme une grande star, il demeure un acteur talentueux qui a de plus le mérite de rester humain. De sa filmographie, le film qui m'a le plus bouleversé est Hotel Rwanda. Néanmoins, l'acteur a un rôle bien trop peu important pour retenir ce film. C'est donc Le village de M. Night Shyamalan qui reste le film que j'ai préféré avec Joaquin Phoenix.

Et vous, quel est votre film préféré avec Joaquin Phoenix?
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#Posté le jeudi 16 février 2006 16:32

Cate Blanchett en médium harcelée par des visions...

Intuitions
de Sam Raimi

Genre : Thriller, Epouvante-horreur, Drame
Durée : 1h49
Sortie cinéma française : 18 avril 2001
Nationalité : Film américain
Interdit aux moins de 12 ans

En Géorgie, dans la petite ville de Brixton, Annie Wilson a le don de lire l'avenir des gens dans les cartes. Du fait de ses prédictions, certains s'imaginent qu'elle est une sorcière. Mais Annie n'a pas l'intention d'abandonner ses activités de diseuse de bonne aventure. Cette situation dure depuis un an, date à laquelle son mari est mort. L'une des clientes d'Annie est Valerie Barksdale, une femme qui ne se résigne pas à quitter Donnie, son mari violent. Annie lui suggère fortement de rompre avec lui, conseil que n'apprécie guère le mari en question qui se met à les menacer, elle et ses fils. La vie d'Annie bascule et sa confiance en ses visions s'ébranle avec la disparition prolongée de Jessica King, une fille de la haute bourgeoisie à la vie sentimentale mouvementée. La police n'a aucune piste concrète qui lui permettrait de retrouver sa trace. Annie dit avoir "vu" ce qui est arrivé.

Devenu célèbre grâce à la trilogie culte Evil Dead, dont le premier volet est sorti en 1983, le cinéaste américain Sam Raimi fait désormais parti des grands réalisteurs d'Hollywood, qui a longtemps été considéré comme l'un des maîtres du cinéma d'horreur avant d'apparaître, aux yeux des spectateurs, comme le metteur en scène qui, en plus d'avoir signé les meilleurs films de supers héros, adaptés de l'univers des Marvel, a créé des oeuvres spectaculaires et proches de la perfection par le biais des Spider-Man.
Quelque temps avant de s'être atteler au projet de l'adaptation cinématographique des aventures du célèbre homme-arraignée, Sam Raimi signait, en 2001, le film fantastique Intuitions.

Bien plus habitué à le voir à la tête de films d'horreur fantastiques qu'à la direction de gros blockbusters tels que Spider-man, Intuitions apparaît plus comme un film dans la lignée des oeuvres que Sam Raimi avait déjà réalisé, tant pour son budget minime de 10 millions de dollars - qui semble bien ridicule comparé aux 200 millions de dollars accordés à Spider-man 2 - que par son sujet. Grâce à son introduction captivante et particulièrement bien réalisée, Intuitions semble présager un film brillant et se démarquer des films éculés abordant le thème de la voyance et des dons surnaturels. Cependant, bien que le scénario soit très prenant durant tout le film et que l'on ne s'ennuie à aucun moment, l'histoire se montre bien plus convenue par la suite et le film de Sam Raimi déçoit quelque peu en raison de son manque indéniable d'originalité et de la sensation de déjà vu qui est présente toute la durée du visionnage. Sans parvenir à innover les films fantastiques avec la description simpliste du médium et vue sous un angle poncif, le film ne risque pas de surprendre le spectateur par ce côté surnaturel. Toutefois, à défaut de faire preuve d'originalité, Intuitions se révèle comme une excellent thriller, aux allures de policier, qui tient le spectateur en haleine jusqu'au bout. Le film repose ainsi sur un suspense maintenu grâce à l'intrigue policière qui suscite la curiosité quant à la question primordiale de savoir qui est le meurtrier. En effaçant légèrement le côté surnaturel pour laisser place au polar, Intuitions ne répond donc pas aux attentes du spectateur, mais parvient à le mener en bateau puisqu'il n'est pas aussi prévisible que l'on pourrait le croire. De plus, l'ambiance du film est particulièrement oppressante et l'angoisse du spectateur ne fait que croître, non pas devant les effets faciles, qui sont d'ailleurs annoncés par la musique, mais grâce à la mise en scène classique mais inquiétante parfaitement maîtrisée par le réalisateur et à la photographie sombre et lugubre. Néanmoins, le film ne montre pas plus effrayant, pour autant. Par ailleurs, Intuition gagne de l'intérêt avec le portrait établi de l'Amérique rurale et puritaine et apparaît comme une sorte de dénonciation de thèmes graves comme le viol et les hommes qui battent les femmes, mais ces sujets restent abordés avec beaucoup trop de superficialité pour être véritablement pertinents. Sam Raimi a ainsi réalisé un thriller fantastique assez quelconque et qui ne se démarque pas assez de nombreux films du genre. Toutefois, le suspense est garantit jusqu'à la fin et Cate Blanchett (Veronica Guerin, Aviator), l'actrice principale, entourrée tout de même de très bons acteurs tels que Keanu Reeves, (Matrix, Constantine), Hilary Swank (Insomnia ou encore Greg Kinnear (Nurse Betty, Nous étions soldats), Million dollar baby), s'est suffisamment investie dans son rôle pour ne jamais manquer de conviction, peu importe l'état dans lequel son personnage se trouve.

Note film : 3/5
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#Posté le jeudi 16 février 2006 12:36

Modifié le jeudi 16 février 2006 13:35

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